19. « Robert Lewandowski × Marco Reus »

I was always there.
J'étais toujours là.

12 Novembre 2023
FC Barcelone - Deportivo Alavés

Robert n'en croyait pas ses yeux. Il en avait vus des matchs étranges et farfelus et aux résultats les plus inimaginables.

Tout type de partie de foot insolites qu'il avait pu voir et jouer tout au long de sa carrière en tant que footballeur professionnel.

Mais là, ça dépassait grande partie de ce à quoi il avait assisté.

Le FC Barcelone ? Mené dès la première minute par le Deportivo Alavés ? Ils étaient en train de perdre contre le quinzième club de Liga ! Eux, le FC Barcelone !

Le polonais se sentait responsable de toute l'équipe et toutes les défaites du club. Parce que c'était lui le plus âgé et expérimenté de l'équipe. Et c'était à lui de marquer des buts pour faire gagner l'équipe catalane.

Car à chaque fois que ce n'était pas le cas, la faute était de Tap-inowski qui n'avait pas été foutu de marquer

Sur le coup, Robert avait lui seul, après maintes et maintes tentatives, réussi à coller le 1 - 1 sur le tableau des scores quelques minutes après le début de la deuxième mi-temps.

Ils ne prenaient pas en considération le reste de l'équipe. Une passe ratée peut tout chambouler. Un carton jaune de trop peut déstabiliser l'équipe. Et être menés dès la première minute terassait les esprits.

Mais la majeure partie des joueurs étaient jeunes, il fallait les pardonner et comprendre pourquoi est-ce qu'ils agissaient ainsi. Des jeunes indisciplinés et égoïstes.

Pardonner Gavi qui provoque les adversaires en pensant ainsi maintenir vif l'esprit du club.

Pardonner Pedri qui essaye de jouer le grand frère mais qui au final ne fait qu'empirer la situation.

Pardonner Fermín qui ne recouvrait pas bien son rôle de milieu offensif car il avait tendance à reculer plutôt qu'aller vers l'avant.

Pardonner João qui semble plus focalisé sur la perfection de sa coupe de cheveux plutôt que sur la réussite de l'équipe.

Et pardonner Lamine qui n'était pas capable de lui faire un bon centre au deuxième poteau pour qu'il puisse marquer et entraîner ainsi la remontée de Barça. Les 3 points évaporés ainsi à cause de l'inexpérience du plus jeune.

Robert n'en pouvait plus. Cela faisait  70 minutes qu'il essayait de marquer pour apporter la réussite à l'équipe. Et bien entendu sans le moindre effort de la part de ses coéquipiers.

Alors il avait bien le droit de laisser paraître son énervement face à l'incapacité des jeunes du club. Il ne prétendait pas tellement, juste un peu de cran pour travailler en équipe et se hisser à la première place de la Liga.

C'est pour ceci que, après avoir clairement crié à distance contre Lamine, il s'était refusé de lui taper dans la main lorsque celui-ci était passé à ses côtés.

Il avait vu la main tendue de son jeune coéquipier peu après la fameuse action qui l'avait dérouté, et il avait délibérément tracé sur son chemin, en ne répondant pas au le plus jeune des joueurs barcelonais.

Oui, il n'avait que 15 ans.

Oui, c'était humain de se tromper.

Oui, c'était un des premiers matchs qu'il jouait avec le club de Barcelone.

Mais il fallait bien montrer un peu de dureté d'esprit dans ce genre de situation. En pro, rien de tout ceci était permis. Et plus vite Lamine le comprenait, plus vite il allait s'améliorer.

Lewandowski était là pour la réussite de son club. Et dans un club, on joue en équipe. Ce n'était pas uniquement à lui de tout faire, pour après recevoir des critiques à tord et à travers.

Deux Ballons D'Or étaient passés sous son nez sans qu'il puisse faire quelque chose pour les obtenir. Deux années d'affilié, et beaucoup, beaucoup de déception.

Cela l'avait forgé. Les départs l'avaient forgé. Les réussites tout comme les défaites. Sans que plus rien ne puisse atteindre ce qui était au delà de l'armure qu'il avait bâti pour se protéger.

Cette dernière avait pourtant des failles. Car certaines fois, en repensant au passé, la star polonaise se retrouvait à remettre en question ses choix, et même des traits de sa personnalité.

Assis sur le canapé de son habitation, après le match, Lewandowski se retrouvait en tête à tête avec ses pensées.

Avait-il été trop dur avec le jeune barcelonais ? Comment aurait-il lui agi si quelque chose dans le genre lui était arrivé lors de ses débuts dans le monde du foot ? Et surtout, pourquoi était-il venu jouer à Barcelone ?

Le départ du Bayern l'avait partiellement anéanti. Car le club bavarois était sa maison, sa place, et les supporters auraient tout donné pour lui. Il aimait la compagnie des allemands et l'ambiance des propriétaires de la Bundesliga.

Il avait plusieurs fois songé à un possible retour à Munich. En style Griezmann qui, après son année à Barcelone, était revenu dans le club qui détenait son cœur, l'Atletico de Madrid.

Lewandowski n'arrivait pourtant pas à y voir clair. Même tranquillement assis sur son canapé sans aucune distraction comme il l'était à présent. Enveloppé dans une couverture face à l'écran de la télé éteint.

Des pensées confuses n'arrêtaient pas de danser dans sa tête, ne faisant rien d'autre que lui provoquer une migraine insupportable qui ne se résoudrait dans un aucun cas.

Quitter Barcelone.

Rester à Barcelone.

Faire cause à la FIFA pour l'attribution du Ballon d'Or 2020.

Retourner à Munich.

Aller voir Messi pour réclamer son Ballon d'Or 2021 en compagnie de Haaland pour celui de 2023.

Abandonner la carrière de footballeur.

Retourner à Dortmund pour retrouver l'homme qu'il aimait.

Cette dernière idée comparait souvent dans les options qui se déployaient dans sa tête. Impossible et totalement irréel. Mais peut-être une partie de son inconscient désirait uniquement ça.

Le BVB était le club qui l'avait découvert et que lui-même avait abandonné pour rejoindre un club plus grand et prestigieux où sa carrière aurait éclaté. Et la rancune que les supporters et les joueurs portaient pour lui était totalement justifiée.

Un joueur en particulier avait été influencé de manière négative par le départ du polonais du club où ils avaient tous deux comme projet d'en devenir les stars.

Un certain allemand, blond et aux fascinants yeux verts. Devenu à lui seul le phare de Dortmund, devant tous les départs des joueurs cadres, de ceux qu'il avait aimé.

Robert était toujours en contact avec Marco. Et c'était le seule lien qu'il maintenait avec un joueur de Dortmund, et pas pour les raisons les plus banales du monde.

Reus était son copain depuis quelques années maintenant. Ils avaient décidé de se voir malgré la rivalité entre leurs clubs, et avaient laissé leurs cœurs parler.

Leur couple réussissait à fonctionner même malgré la distance interminable qui les séparait. Car la seule chose de laquelle Lewandowski n'avait jamais douté, était de l'amour qu'il portait pour le blond.

Ce dernier était d'ailleurs devenu encore plus blond qu'auparavant, avec une teinture platine que Robert lui avait déconseillé fortement. Mais il devait admettre que tout lui allait, à Marco.

Reus était le seul qu'il acceptait comme il était, et qui l'acceptait en tant que tel. Le seul avec lequel il pouvait être totalement sincère, en recevant tout autant de sincérité en retour, que cela soit sérieusement ou ironiquement.

Le plus ne se retenait pas de lui faire remarquer à plusieurs reprises son départ de Dortmund, même si au fil du temps ceci était devenu quelque chose de taquin.

Le polonais se demandait parfois si Marco rendait ceci amusant pour masquer la tristesse et la mélancolie qui l'attegnait les rares fois où le sujet sortait, durant leurs longs et interminables appels où lors des rares fois où ils pouvaient se voir.

Le pilier du BVB avait lui aussi été forgé par tout type d'événements. Les défaites s'enchaînant et faisant plomber son club et la bonne volonté des joueurs de celui-ci. La victoire du Bayern de chaque Bundesliga. Le départ de tous ceux qu'il chérissait.

Mais malgré ça, il restait lui-même. Sans besoin de crier sur les plus jeunes du club et s'emporter à chacune de leurs erreurs. Il prenait le temps de se concentrer et les guider, comme le vrai leader qu'il était.

Car tout le monde respectait Marco Reus. Celui qui était resté jouer à Dortmund malgré les nombreuses offres des grands clubs qui s'étaient présentes à lui. La loyauté incarnée, et un homme extraordinaire qui s'était fait un nom dans le monde du foot, après s'être tracé un chemin sur cette route abrupte.

Pas un ridicule joueur capable uniquement de marquer des taps-in et a crier sur ses coéquipiers dans un club qu'il avait rejoint pour maintenir son budget le plus élevé possible.

Robert lâcha un soupir en s'appuyant contre le dos du canapé et en allongeant ses jambes le long de celui-ci. Le plaid ne couvrait pourtant pas la pointe de ses pieds, et c'était énervant.

La seule chose dont il avait à présent besoin était de parler à son bien aimé, ou d'entendre sa voix. Mais lui écrire une fois de plus en premier pour discuter de ses soucis n'était pas une bonne idée.

Car Marco avait ses propres problèmes à gérer et le polonais ne voulait pas en rajouter. Surtout concernant un match que Barcelone avait au final gagné grâce à lui, s'assurant la deuxième place de la Liga.

Mais, comme invoqué par ses pensées arrivant jusqu'à Dortmund, le téléphone du polonais se mit à vibrer sur la table basse en face au canapé, près de la tasse de camomille à moitié bue posée dessus.

Le polonais attrapa son portable, en le déverrouillant et en ouvrant la messagerie où apparaissait un petit 1 pour signaler l'arrivée d'un message.

Le message en question venait de la part du blond encore plus blond qu'il chérissait.

De: Marco
J'ai vu le replay du match de ce soir.
Tu as bien pris ta camomille avant, vrai ?
Car en te voyant on aurait dit que Yamal t'avait fait un tort existentiel.
Il s'est passé quelque chose avant ?

Un petit sourire prit place sur le visage de Robert. Avec le temps, le caractère de son bien aimé s'était fait plus taquin, avec bien entendu des intervalles dans lesquels il se montrait romantique et émotif, dévoilant le vrai Marco.

Le polonais se dépêcha d'écrire sa réponse.

De: Robert
Pourquoi quand je pense à toi, tu m'écris magiquement ?
La camomille j'étais en train de la boire il y a quelques instants.
En repensant d'ailleurs à ce qui s'est passé.
J'étais en tension, je pense que je prends trop à cœur les victoires du club.

Et la réponse de la part de Reus ne se fit pas attendre.

De Marco
Parce que je suis ton copain. Donc je sais.
Je déclanche un appel, réponds Rob.

Immédiatement, le polonais s'empressa de cliquer sur la touche du téléphone vert sur la notification de l'appel rentrant provenant de son copain.

Son visage apparut un instant sur l'écran, avant de glisser sur l'angle gauche de l'écran pour laisser la place à celui de son bien aimé et ses cheveux platine semblant illuminer son visage.

Tu m'émerveille chaque jour plus avec ta beauté, Marco Reus. - Fit Robert, un sourire prenant place sur son visage en voyant l'allemand galérer un instant tandis qu'il ajustait la caméra de son téléphone. - Même uniquement te voir à travers l'écran rend ma fin de soirée meilleure.

« Pfft » Souffla le joueur du Borussia Dortmund, en roulant presque les yeux face à la remarque du polonais. « Tu n'étais pas celui qui aimait pas ma coupe de cheveux, dernièrement ? »

Si. - Confirma Lewandowski, soulagé de ne pas être arrivé directement à la discussion sur le match de ce soir là. - Mais c'est de ton visage que je suis amoureux...

Il retint quand même une remarque sur la vivacité de la couleur platine des cheveux de son ex coéquipier, et celui-ci enchaîna en venant au but de cette discussion à travers un écran.

« Bon, gardes tes remarques de play-boy pour quand on se verra, Lewandowski. » Pouffa l'allemand, en souriant légèrement. « Ou pour te faire pardonner d'avoir grondé un pauvre gamin innocent pour un centre manqué. »

Le polonais se retint de lâcher un soupir. Marco avait en partie raison, il le savait. Mais il avait tout de même envie de se défendre en lui exposant les raisons de ses actes.

J'avais mes raisons. - Dit-il, en se passant une main sur la tête pour réajuster ses cheveux bruns. - L'équipe en ce moment c'est pas top. Les autres ne foutent rien sur le terrain. J'ai l'impression d'être le seul qui essaye réellement de faire quelque chose pour faire avancer la situation.

Après ces mots là, Robert vit une lueur triste traverser le regard pétillant de l'homme qui aimait. Un éclat de mélancolie, car il était exactement dans la même situation et qu'il ne voulait pas l'admettre.

Car Marco Reus, c'était avant tout l'homme qui avait tout donné pour le Borussia Dortmund, en se battant pour essayer de faire gagner la Bundesliga à son club alors que tout le monde lui avait tourné le dos.

Celui qui revenait d'une défaire 2 - 1 contre Stuttgart, qui avait porté son club à 8 points de distance du Bayern en tête dans un match où il avait tout tenté.

« Tu n'as pas essayé de te mettre à leur place ? » Suggéra finalement le blond, reprenant un air que l'on pouvait qualifier de normal. « Ça doit pas être facile pour eux non plus. Peut-être qu'ils font des efforts et que tu ne te rends pas compte. Car tu es en pointe. Et que tu ne regardes pas en arrière, dans tous les sens du terme. Tu restes focalisé sur ce qui est devant toi. »

Le polonais rêvait, ou bien son homme venait de lui sortir une des métaphores les plus symboliques et articulés qu'il ait pu entendre dans sa vie ? Décidément, son compagnon était plein de surprises.

Non. - Admit Robert, en baissant le regard. - Je ne l'ai jamais fait probablement car je fais ce que tu viens de dire. Et que... je ne pense que à moi... mais je jure que tous les efforts que je fais sont pour le club ! Ça n'a plus aucun intérêt de se concentrer sur le succès individuel.

« Tu es un buteur, Robert. C'est normal que tu te concentres sur marquer des buts. » Répondit Marco, d'une voix calme. « Et tu méritais un Ballon d'Or... malgré ton culot et tes quelques accès de grosse tête et de narcissisme... »

Le polonais souria, avant de réaliser que la fin de la phrase de son bien aimé était tout sauf en sa faveur. Ses sourcils se fronçerent légèrement, en provoquant un rictus chez l'allemand.

Il attrapa donc le téléphone d'un air menaçant, sa susceptibilité induisant son doigt à se rapprocher du bouton rouge pour terminer l'appel.

« Je rigole, je rigole... » S'empressa de dire le milieu de terrain du Borussia Dortmund, en affichant un sourire de coin. « ...ou pas. Ne raccroche pas Robert, ou je jure que je viens jusqu'à Barcelone à pieds ! J'essaye de t'aider. »

Tu ne m'aides pas trop, là, si je dois être sincère. - Fit le polonais, en reposant le téléphone avec une mine vexée.

« Comment ça ? c'est pas toi qui juste avant a dit que même me voir uniquement t'aidait ? » Fit Reus en révoquant les paroles prononcés par le plus âgé au début de leur appel.

Devant le silence de Lewandowski et les yeux bleus de celui-ci le toisant, sceptique, l'allemand reprit d'un ton un peu plus sérieux.

« La seule chose que je te dis, c'est d'essayer de te mettre à la place de tes coéquipiers. » Enchaîna le joueur de Dortmund. « Peut-être qu'ils sont frustrés comme toi par rapport aux performances du Barça. Et que probablement ils le vivent mal et essayent de faire de tout pour t'aider. Parles avec eux, d'accord ? Tu me promets que tu y pensera sincèrement, Robert ? »

Promis. - Répondit le barcelonais, n'arrivant pas à rester vexé ultérieurement devant les efforts que faisait son bien aimé pour le comprendre, même à distance. - Merci Marco, vraiment.

« Tu n'as rien de quoi me remercier. » Fit Reus avec un petit sourire. « Je dois bien protéger les petits barcelonais de LewanGOALski, qui risque de se transformer en LewanJEVAISTOUSVOUSTUERdowski. Je suis altruiste. »

Tu es surtout bête. - Lui répondit Robert, en souriant à son tour. - Mais je t'aime quand même. Comment vont les gars de Dortmund ?

« C'est quoi la prochaine question ? » Répondit l'allemand, sceptique. « Est-ce qu'on va un jour réussir à battre le Bayern ? Est-ce que Kobel a récupéré sa confiance en lui ? Est-ce que la Bundesliga sera un jour à nous ? »

Il vous faudrait un Lewandowski, dans ce cas là. - Enchaîna le polonais, d'un œil taquin. - Mais grâce à ton discours diplomate j'ai envie de renouer avec mes coéquipiers et rester à Barcelone pour gagner la Liga.

« J'espère que le Réal va vous rouler dessus et passer une deuxième fois. » Lâcha froidement Marco, ses yeux verts fixes sur le polonais.

Mon copain est madrilène. Quelle déception... - Répondit Lewandowski, amusé. - ...tu n'as donc toujours pas mit le maillot du Barça floqué Lewandowski que je t'ai envoyé ?

« J'en veux pas de ton truc. » Fit l'allemand, en posant ses coudes sur la table en face à lui, avec un regard sceptique. « Si je dois me prendre quelque chose du FC Barcelone, ce sera directement sur place la semaine prochaine. »

Tu viens à Barcelone ? - S'exclama Robert, en se redressant à l'écoute de son copain qui venait de lui lâcher la nouvelle qui avait amélioré sa journée.

« Avant la trêve nationale, oui. » Confirma Marco, avec un sourire affiché sur son visage. « Comme ça je vais te traîner par l'oreille jusqu'au centre d'entraînement du Barça pour que tu t'excuses publiquement auprès de Lamine Yamal. »

Le polonais ne pût s'empêcher de sourire devant l'attitude taquine de son bien aimé. Le discours de celui-ci avait d'ailleurs eut ses effets. Il n'allait pas l'attendre pour s'excuser auprès du plus jeune des barcelonais.

Son orgueil allait être mis de côté uniquement à cause de ce blond un peu trop blond qui arrivait à chaque fois à trouver les mots pour le conforter.

J'ai hâte de te voir, alors. - Fit-il, en souriant. - Je te laisse raccrocher. Je t'aime, Marcinho.

« Je t'aime aussi, Robert. » Lui répondit l'allemand, en lui souriant avant que son visage ne disparaisse en laissant la place à l'écran noir, signalant que l'appel était terminé.

Bonjour tout le monde !

Comment allez-vous ?

Celui que vous venez de lire est le vingtième OS de ce recueil ( à cause de l'intro il apparaît comme étant le numéro dix-neuf, bon- ).

J'espère que ça vous a plu. Celui-ci était un peu plus long que d'habitude, mais il y avait beaucoup à écrire !

Il fallait absolument que j'écrive un OS Leweus qui ne soit pas triste, car on a assez pleuré comme ça.

La première partie est basée sur une scène réelle, lors du match du Barça qui a été cité. Vous pouvez tranquillement retrouver la vidéo !

J'avais promis à jayisoustonlit d'écrire sur cet événement ( trop de choses en vrai- ), donc voilà ! Promis j'écris au plus vite aussi l'autre-

Ainsi dit, je vous donne rendez-vous à la semaine prochaine pour l'OS habituel du Samedi !

Bisousssss !
Lily qui a le seum car la France est maudite à cause des TAB.

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