Les
Childish Gambino

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Baby, you're the baddest.
Baby, you're the baddest boy, and, uh...

Nobody else matters.
Nobody else matters, boy, and, uh...

We're kissing in the bathroom.
We're kissing in the bathroom boy, and, uh...

I hope nobody catch us.
But I kinda hope they catch us, anyway...

⋆ ⋆ ⋆

Viní savait qu'il n'aurait jamais dû aller à cette fête idiote organisée par ses tout autant idiots coéquipiers brésiliens chez Rodrygo. Ces événements étaient bien trop imprévisibles pour pouvoir gérer quoi que ce soit.

En particulier si il risquait de se retrouver face à face avec un certain petit barcelonais rageur invité par Rapinha en compagnie de son inséparable ami.

Gavi et Pedri, bien habillées avec leurs tenues, étaient là pour gâcher la soirée brésilienne. Génial, il ne pouvait pas prétendre mieux.

En particulier car le plus âgé des deux barcelonais ne le lâchait pas du regard, comme si il avait peur que d'un moment à l'autre Viní allait péter un câble et venir lui piquer son gamin avec des angry issues.

Gamin avec lequel Viní avait eut des précédents. Son lien avec Gavi était particulier. Leurs uniques échanges étaient sur le terrain et dans les vestiaires après les matchs.

Mais ce soir là, le brésilien avait qu'une intention. S'amuser. Sans faire attention à ces deux gamins qui semblaient déteindre au milieu de tous ces joueurs qui dansaient au rythme de la musique.

Eduardo et Aurelien, pour la plus grande joie de Viní, étaient là aussi. Le plus jeune des français ne manquait plus une seule occasion qui se présentait pour participer à leurs fêtes brésiliennes.

Et il traînait à leurs événements aussi son pauvre copain, très peu fan de musique brésilienne. Le pauvre Aurelien restait quand même très proche de son copain pour contrôler que celui-ci n'abuse pas avec l'alcool.

Car oui, qui dit fêtes dit aussi boissons avec un taux d'alcool non négligeable qui se présentaient avec un air invitant sur les grandes tables.

Viní n'y avait pas touché pour ne pas risquer de coucher n'importe qui lors de cette soirée déchaînée.

Malgré lui il devait admettre que la seule personne avec qui il avait envie de faire quoi que ce soit était bel et bien à cette fête, mais sa liberté de mouvement était réduite par Pedri qui ne le lâchait pas une seconde.

Son regard avait plusieurs fois croisé celui de Gavi, qui semblait malgré tout intentionné à venir lui parler. Mais jusqu'à là, les deux rivaux n'avaient pas eut l'occasion de s'adresser la parole.

La musique continuait à résonner à tout volume dans la villa de Rodrygo pendant que la soirée poursuivait durant la nuit.

Au bout d'un moment, Viní en eut assez de toute cette cacophonie, et se dirigea en direction de l'étage.

La villa de son coéquipier avait l'avantage d'avoir un étage totalement à l'air libre, et par chance celui-ci était désert vu que tous les invités se trouvaient à l'intérieur de la structure.

Viní se posa debout contre le mur de l'habitation et resta profiter de la vue sur la ville depuis cette sorte de balcon, où personne n'allait venir le déranger.

Tout du moins, c'est ce qu'il croyait, car quelques instants après une petite main se posa sur son épaule, le faisant sursauter. Avec la musique qui résonnait ici aussi il n'avait pas entendu Gavi arriver.

- Bonsoir, Viní. - Fit le barcelonais d'un ton poli qui lui était inhabituel. Il tenait un verre dans la main rempli avec une boisson d'origine douteuse, mais sans aucun doute alcoolique.

- Tu as appris les bonnes manières, Gavi ? - Lui demanda Viní, décidé à ne pas perdre cette notre d'ironie bien présente dans sa voix à chaque fois qu'il parlait au barcelonais. - Tu devrais pas boire ça, tu sais ? Je pense pas que à ton âge tu arrives à y-

- J'ai 19 ans, je te signale. - Lui coupa le plus jeune sur le même ton, en se posant près de lui contre le mur de l'habitation de Rodrygo.

- Mais tu es sûr que Papa Pedri te laissera y boire ? - Enchaîna le madrilène. - D'ailleurs, comment c'est possible qu'il t'ai laissé sans surveillance ?

- Pepi s'est laissé aller avec les drinks, donc j'en ai profité pour... m'échapper. - Lui répondit Gavi en faisant bouger légèrement le verre pour remuer son contenu. - Et pour venir te voir. Cette soirée est ennuyeuse.

Viní pencha légèrement la tête pour lancer un regard amusé au plus jeune. La manière dont ils arrivaient à enchaîner les discours malgré la rivalité toujours présente entre eux était curieuse. Et il appréciait.

- Tu es en train d'insulter les soirées brésiliennes, mon petit. Tu t'attaques à plus fort que toi. - Fit-il, en regardant le plus jeune se décider à finalement avaler une gorgée de sa boisson.

- Mais c'est comme ça pour toi aussi, non ? - Lui répondit le brun une fois fini son verre. - Sinon tu serais resté au milieu des autres et tu n'aurais pas tiré une tête de six pieds de long comme tu faisais avant.

Le brésilien resta un instant en silence, la tête légèrement penchée vers son interlocuteur.

- Comment tu sais ça ? - L'interrogea-t-il finalement, lorsque Gavi tourna la tête et que leurs regards se croisèrent. - Tu m'a observé pendant toute la soirée ?

Gavi esquissa un petit sourire, légèrement différent de ceux provocateurs que Vinícius avait l'habitude de voir sur le visage de son adversaire barcelonais.

- C'est possible. - Répondit-il en haussant les épaules. - Peut-être que je pensais à une solution pour rendre cette soirée plus intéressante, pour tous les deux.

Une fois que le plus jeune termina sa phrase, les deux joueurs restèrent un instant en silence à se dévisager sans un bruit.

Viní se demandait si le barcelonais avait dit ça à cause du haut taux d'alcool dans son sang, mais vu le discours sensé qu'avait entretenu Gavi avec lui, il aurait pû dire le contraire.

- Tu es ivre ? - Lui demanda par précaution le madrilène, en déplaçant son regard sur le verre à présent vide du brun. - J'aimerais dire que c'est l'alcool qui te rend si provocateur mais tu l'es déjà en temps normal...

- J'ai juste envie de toi... et je t'assure que ce n'est pas l'alcool qui me fait ça. - Murmura le barcelonais en posant son verre au sol et en se redressant pour se positionner en face à lui, ses yeux sombres toisant chaque centimètre du visage du brésilien.

Viní n'hésita pas. En étant sincère, il le voulait lui aussi. Le proposition de son adversaire tenait parfaitement à ses yeux.

Lorsque le barcelonais se rapprocha légèrement de lui, Viní posa ses mains sur les hanches du plus jeune pour rapprocher leurs corps et venir scellér leurs lèvres à l'occasion.

Le baiser débuta de manière douce, avant que Viní ne vienne demander accès à la bouche du plus jeune. Lorsque celui-ci le lui concéda, le baiser prit peu à peu de l'ampleur.

Les mains de Gavi se posèrent sur la nuque du plus âgé pour exercer une légère pression, leurs corps bouillonnants d'envie se rapprochant ultérieurement l'un de l'autre.

Le brésilien sentit le plus jeune gémir d'aise contre ses lèvres, et décida donc d'interrompre le baiser en saisissant doucement les joues du plus jeune pour l'éloigner.

- Trouvons un endroit plus approprié, tu veux bien ? - Proposa-t-il d'une voix rauque en coupant Gavi qui s'apprêtait à protester probablement en l'insultant de tous les noms.

Finalement, le barcelonais hocha la tête et Viní prit la main du plus jeune dans la sienne pour le reconduire à l'intérieur de l'habitation ou la fête se déroulait comme il l'avait laissée.

La musique était passée de mélodies brésiliennes à anciennes hit américaines et anglaises sûrement ayant été mises par Jude, lui aussi bien entendu présent à la fête.

Ils apercevaient dans la foule Eduardo danser au rythme de la musique, couvert par le regard protecteur d'Aurelien. Pedri était lui affalé sur l'un des canapés, semblant endormi. Chose qui fit pouffer Viní.

Quant à Rodrygo, il devait avoir filé dans sa chambre en compagnie de Militão pour se dédier aux mêmes activités qui promettaient d'avenir entre Viní et Pablo.

Discrètement, les deux rivaux entrèrent dans la première pièce qu'ils trouvèrent, qui s'avéra être une des salles de bain modernes de la villa de Rodrygo.

Ils ne reflechirent pas deux fois, et le brésilien ferma à clé de la salle de bain en venant ensuite s'attaquer une nouvelle fois aux lèvres du barcelonais avec le dos pressé contre le porte de la grande pièce.

« Lemon !! »
Abstenez-vous si vous pensez que ceci vous dérangera.
Vous êtes avertis !

Leur baiser reprit de manière plus torride qu'il y a quelques instants lorsque Viní glissa son genoux entre les cuisses du plus jeune, remontant légèrement pour entrer en contact à travers le tissu avec le membre du barcelonais.

Gavi laissa échapper un léger gémissement, en s'accrochant à la nuque du brésilien tandis que la bouche de celui-ci deviait vers le cou de son adversaire.

Il parsema la peau de celui-ci de baisers humides, en baissant légèrement le col de la chemise du barcelonais à l'aide de ses doigts, qui bientôt auraient été bien plus utiles pour le brun.

Pablo le repoussa un instant pour venir commencer à déboutonner sa propre chemise. Viní s'empressa de l'aider et le tissu blanc termina bientôt sur le sol de la salle de bain.

Le brésilien laissa ses mains défiler le long du torse nu du barcelonais pour accéder aux boutons du pantalon du plus jeune.

Il redressa un instant la tête pour obtenir le consentement du plus jeune, puis il commença à déboutonner le pantalon de celui-ci tandis que Gavi lui demandait de se dépêcher d'une voix presque suppliante.

Le pantalon quitta bien vite les jambes du plus jeune, se retrouvant sur le carlage de la salle de bain pour accompagner le reste des vêtements.

Viní glissa sa main à l'intérieur du boxer du plus jeune, qui glissa le long des jambes de celui-ci. Le brésilien vint dépasser la barrière du tissu pour venir glisser ses doigts autour de la longueur du plus jeune en commençant quelques mouvements de poignet.

- Viní... - Murmura le barcelonais en penchant légèrement la tête vers l'arrière, la bouche entre-ouverte à la recherche de l'air qui lui manquait. - Continue...

Le brésilien s'empressa de s'exécuter, en augmentant la rapidité de ses mouvements de poignet qui semblaient si bien donner du plaisir au plus jeune.

Il continua ainsi encore quelques instants, en profitant pour entrer un premier doigt dans l'antre du plus jeune en commençant à exécuter quelques mouvements pour le préparer.

Le premier doigt fût suivi d'un deuxième et accompagné par un léger gémissement de la part du barcelonais tandis que Viní continuait ses mouvements sur le membre du plus jeune.

Tout allait si vite, mais le rythme pressant et rapide de la musique qui résonnait désormais dans la pièce où les invités faisaient la fête entraînait Viní à augmenter la rapidité de leurs actes.

Mouvements qu'il arrêta lorsque le brun lui fit signe qu'il allait venir, en se dédiant plutôt à la préparation du plus jeune en insérant un troisième doigt.

Il continua ainsi avec quelques mouvements jusqu'à ce qu'il estima le plus jeune assez préparé.

Le brésilien pencha donc légèrement la tête vers l'avant pour commencer à ôter sa chemise et à déboutonner son propre pantalon tandis que le barcelonais attendait avec une patience qui lui était inhabituelle.

Une fois qu'il se fût séparé de tout ce qui était superflu, Viní rapporta son attention sur le plus jeune, et celui-ci se tourna sans que le madrilène n'ait besoin de lui demander. Leurs précédentes fois ensemble les avaient portés vers l'habitude.

Le madrilène posa ses mains sur les hanches du plus jeune, en venant poser son menton sur l'épaule de celui-ci pour venir murmurer dans son oreille.

- Tu me dis quand je peux y aller, Pablo. - Fit-il d'une voix à peine audible, en venant poser un doux baiser dans le cou du brun qui lâcha un soupir d'aise.

- Tu peux y aller, Viní. - Lui répondit presque immédiatement le plus jeune, en penchant légèrement la tête vers le côté pour laisser au brésilien plus de peau à recouvrir avec ses baisers.

Ce dernier hocha imperceptiblement la tête et attendit un instant avant de commencer à s'introduire peu à peu dans le barcelonais, les paroies de celui-ci accueillant son membre d'une manière parfaite. Comme si ils avaient été conçus l'un pour l'autre.

Le madrilène attendit que Gavi s'habitue à sa présence non peu imposante, puis commença avec un premier coup de reins qui servit à signer le début de leur montée jusqu'au septième ciel.

Il enchaîna ensuite avec d'abord un deuxième, puis un troisième coup de reins, sa tête toujours penchée vers l'avant pour pouvoir murmurer à l'oreille du plus jeune.

Ce dernier se laissa guider par le brésilien, en murmurant de temps à autres le prénom de celui-ci accompagné par quelques doux gémissements.

Ceux-ci s'intensifièrent au fur et à mesure que les deux footballeurs se rapprochaient chacun de l'orgasme, qui s'empressa de les atteindre après quelques ultérieurs coups bien placés.

Gavi vint en premier, de près suivi par le brésilien qui atteint le septième ciel en gémissant faiblement le prénom du plus jeune avec qui il venait de partager un moment si intense.

Ils restèrent un instant ainsi, avant que le plus âgé ne se retires en s'empressant d'attraper de quoi nettoyer provisoirement son corps et celui du joueur qu'il considérait comme son adversaire.

Il se dépêcha de le faire, en réservant au barcelonais un traitement doux que celui-ci ne refusa certainement pas.

Après ça, il alla rapidement jeter les papiers avant de s'approcher un nouveau du plus jeune pour récupérer et remettre ses habits comme celui-ci l'avait fait.

Ils ne prononcèrent initialement pas un mot, comme ils le faisaient souvent après ce genre d'échange dans les vestiaires ou dans quelconque lieux où recoin caché.

C'est pour ça que la voix de Gavi surprit Viní lorsque le barcelonais s'adressa à lui.

- Merci... - Murmura le plus jeune, en continuant sa phrase avant que le brésilien n'ait le temps de formuler une réponse. - De toujours accepter de partager ça avec moi. Même si on se déteste. Même si tu as sûrement d'autres personnes qui te courent après.

Viní ne répondit pas immédiatement. Décidément, si Gavi avait réellement bu de l'alcool, il avait abusé. Car ce genre de mots provenant de sa part était tout sauf habituel.

Mais le brun semblait sérieux et conscient de ses paroles, et probablement aussi un peu honteux.

- Je ne sais pas si je veux continuer à te détester. - Avoua finalement le madrilène après un instant de silence. - Personne d'autre ne compte à mes yeux, si j'y réfléchis bien. Il n'y a que toi. Dans mes pensées, dans mon cœur...

Il n'eut pas le temps de conclure sa phrase que le barcelonais s'approcha doucement pour scellér leurs lèvres dans un baiser doux qui dura à peine quelques secondes, tandis que le refrain d'une des chansons mises par Jude s'entendait à l'autre bout de la pièce.

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Baby, you're the baddest.
Baby, you're the baddest boy, and, uh...

Nobody else matters.
Nobody else matters, boy, and, uh...

We're kissing in the bathroom.
We're kissing in the bathroom boy, and, uh...

I hope nobody catch us.
But I kinda hope they catch us, anyway...

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HEYA ! Comment allez vous ?

Excusez-moi cette fin un peu forcée, mais continuer à écrire aurait signifié diviser l'OS en deux partie sinon il aurait été bien plus long.

Et je n'avais pas envie de vous faire attendre deux semaines pour la suite.

Car oui, ni la semaine prochaine ni celle d'après ne présentera la publication d'un OS à 19 heures le samedi comme je l'ai longuement fait. Et de même pour mon histoire Tchouamavinga en cours.

La raison est simple, mais vous devrez attendre le Lundi qui arrive pour la connaître... je suis diabolique !

Je vous conseille donc de jeter un coup d'œil sur mon profil ce jour là, spécialement vers la soirée.

Ainsi dit, je vous laisse avec le doute... ne me détestez pas surtout !

Bisouss <3
- Lily Camavinga la prophète mystérieuse (surtout très débile).