" L'amour peut être aveugle mais pas a ce point."

Kenny était assis sur sa table et n'écoutais pas le cours que donnait le professeur, le professeur énerver dit a Kenny

Professeur : Kenny assied toi correctement sur cette foutu chaise !

Kenny : Non, vous n'êtes pas mon père donc vous ne me commandais pas !

Professeur : Kenny, fait ce que je te dit !

Kenny : Allez vous faire foutre !

Toute la classe se met a ricané a la réflexion de Kenny

Professeur : Tu trouvera ça moins drôle quand j'aurais envoyé mon rapport et tes 2 heures de colle lundi matin !

Kenny : Bah ouais bien-sûr !

Enervé le professeur mis Kenny en dehors de la salle, Kenny partis dans le bureau de la CPE

CPE : Qu'est ce que tu a encore fait Kenny ?

Kenny : Le prof m'a chercher alors je me suis défendu et il m'a foutu de dehors.

CPE : Tu sait que si tu continue comme ça, on risque de prévenir l'académie ?

Kenny : Rien a foutre ! *Se lève et sort*

CPE : Ou tu va ?

Kenny : Je me casse !

CPE : Bon et bien tu l'a chercher, je ne peut plus rien faire pour toi si tu ne communique que par la violence je vais devoir te viré !

Kenny : Bas les couilles. *Il part*

La CPE pris l'initiative d'appeler les parents de Kenny, c'est sa mère Carol qui décrocha le téléphone.

Carol : Allo ?

CPE : Allo ici la CPE du lycée de South park... Vous avez une minute pour parler de votre fils Kenny ?

Carol : Kenny ? Mais qu'est ce qu'il a encore fait ?

CPE : Aujourd'hui il a répondu a son professeur, il était question de deux heures de colles et d'un rapport mais nous avons décidé de viré votre fils.

Carol : Je suis désolée en ce moment il est ingérable depuis que son frère est partis.

CPE : Je suis vraiment navrée madame, mais depuis ces quelques temps Kenny est imprévisible, l'académie va être prévenue mais de plus il nous faut une enquête sociale, nous devons savoir les condition de vie que vous donnait a vos enfants.

Carol : D'accord...

CPE : Merci de votre compréhension, au revoir.

Carol : Au revoir.

Quelques jours passent, tout a fait banal pour Kenny, il rentra chez lui un jour vers 18h, une assistante sociale était présente a cet heure.

AS : Bonjour Kenny.

Kenny : Qui êtes vous ? Qu'est ce que c'est ce bordel ?

AS : On est venu pour toi mon grand.

Un homme qui accompagné l'assistante sociale pris Kenny par les épaules.

Kenny : Lâcher moi !!

AS : Tu es un grand garçon ? Alors essaie de te contrôler et tout ira bien !

Kenny : Putain, mais vous êtes qui ?!

AS : Tu vois, c'est de ça que je parle. Je suis assistante sociale, on viens faire une enquête sur ton mode de vie qui n'a pas l'air saint, alors il va falloir que tu suive une thérapie pour les gens débordant de colère comme toi.

Kenny fût emmené quelques jours pour la thérapie qu'il devait suivre.

Karen : Maman, il est ou Kenny ?

Carol : Il a était emmener, il doit suivre une thérapie pour se contrôler, il reviendra dans quelques temps.

Karen : Mais j'ai besoin de lui moi...

Carol : Il va revenir ma chérie...

Karen : Il a toujours était là pour moi, il a toujours était doux et gentil avec moi et jamais il n'a était comme ils le prétendent !

Stuart : Mais pourquoi autant t'accrocher a ton frère ?

Karen : Vous ne comprendriez pas !!!

Kenny était seul dans sa chambre d'où il ne pouvait sortir, il regardait par la fenêtre en pensant qu'a une personne, sa petite sur Karen a qui il était très attaché depuis toujours.

AS : Venait avec moi Kenny. * Marche avec lui jusqu'à une salle*

Kenny : Je veut sortir d'ici.

AS : Quand tu changera, qui est la personne a qui tu tiens le plus ?

Kenny : Ma sur, Karen.

AS : Et bien si tu veut revoir Karen, il faudra que tu fournisse des efforts.

Kenny : Je ne marche pas au chantage.

AS : Pourquoi tu es tant attacher a ta sur ?

Kenny : Mais sa vous regarde ?

AS : Tu a déjà touché ta sur ?

Kenny : Ah ouais je vois.

AS : Alors ?

Kenny : Vous avez une clope ?

AS : Tu ne fumera pas ici, serais tu pervers avec ta propre famille ?

Kenny : Je peut prendre l'air ?

AS : Max accompagne le !

Le jeune homme s'exécute et accompagne Kenny dehors.

Max : Comment tu es arrivé ici ?

Kenny : J'ai répondu a un prof, et cette satanée assistante de mes couilles crois que j'ai fait des attouchements a ma petite sœur.

Max : Ce sont vraiment des cons, pourtant tu a l'air d'un type bien.

Kenny : Me faudrait un téléphone pour qu'un pote m'aide a sortir de là.

Max : Tu veut mon téléphone ?

Kenny : Pourquoi tu m'aiderais ?

Max : Mon frère c'est retrouvé ici, suite a ça je ne l'est pas revue durant des mois jusqu'à ce que j'apprenne son suicide.. Alors tiens... *lui tend son téléphone*

Kenny : Je suis vraiment désolé... Merci beaucoup..

Kenny pris le téléphone de Max et compose le numéro de l'un de ses amis, Cartman.

Cartman : Allo, c'est qui ?

Kenny : C'est moi, Kenny. J'ai besoin de ton aide.

Cartman : Pourquoi ?

Kenny : Pour sortir du foyer social, il faut vraiment que tu me sorte de là

Cartman : Oh... Je vois... Je vais essayé de trouver un plan, arrange toi pour être dehors a minuit.

Kenny : Merci, a ce soir vieux.

Kenny avais rendu le portable a Max, il finit par rentré a l'intérieur du bâtiment, le temps passent a une vitesse, Cartman avais fini par aider Kenny a s'échapper de ce centre. Ce soir là, Karen était sur son lit a pensé a son frère, Kenny arriva habiller en Mysterion sur le bord de la fenêtre de Karen.

Mysterion : Karen.

Karen : Oh... Mysterion ! J'ai garder espoir, je savait que tu reviendrait !

Mysterion : Je te l'es promis, je serais toujours là pour toi.

Karen : Je le sais, tu m'a manquer tu sais... *Elle se jeta a son coup*

Mysterion : Je te l'avais dit... Je reviendrais.

Karen : Oui... *Elle pose tendrement ses lèvre sur les siennes* Montre moi qui tu es...

Mysterion : Tu es sûre ?

Karen : Oui... *Elle lui hôte son masque* Kenny..

Kenny : Oui....

Karen finit par laisser le silence envahir la pièce, elle se retourne une dernière fois vers lui avant de lui sauter au coup tout en l'embrassant passionnément, leurs langue se rejoignit dans une danse endiablé. A bout de souffle, elle passe sa tête dans son coup tout en lui chuchotant "prend moi !" Il ne fallut que ses mots pour que Kenny lâche prise, attiré par l'interdit, il lui donna un baiser tendre et sauvage a la fois, leurs vêtements finissent par retrouvé le sol, il regardait sa sur avec envie, des étoiles dans les yeux, Karen était au ange, il la débarasse des dernier bouts de tissu qui les séparer, il finit par entré en elle, leurs corps ne faisait plus qu'un. Cartman de son côté était passé par derrière la maison de Kenny, s'arrêtant net devant la fenêtre de Karen, il vit la scène, se régalant de ce qu'il allait faire subir a son "ami" le lendemain. Kenny attendait Cartman après ses cours.

Kenny : Salut vieux.

Cartman : Je t'ai vue hier soir avec Karen.

Kenny : Quoi ?

Cartman : Je vais tout balancer.

Kenny : Non, je t'en prie... Ne fait pas ça, je tien à elle...

Cartman : Tu serais prêt a quoi ?

Kenny : Tout ce que tu veut !

Cartman : Mm... Interessant.

Cartman a fait faire a Kenny tout ce dont il avait envie, il était devenu son pantin en échange de son silence, Kenny tenait tellement à Karen qu'il en avais oublié sa propre vie, Kenny c'est retrouvé avec une pancarte "Pipe gratuite" ou encore "Je suis gay" devant les toilettes pour hommes. Un jour Cartman a finit par se lasser mais contre sa parole, il a balancer Kenny. Un soir ou Karen était blottis dans les bras de Kenny, South park était illuminé par les guirlande lumineuses des sapins de noel, la neige commençait a tombé, les service sociaux ont débarquer avec la police, ce soir là Kenny a compris qu'ils allaient être séparé, il finit par donné un tendre baiser a Karen, lui chuchotant "Ne m'oublie pas." ils furent séparé, personne ne sait si après cette longue histoire ils se sont revue. Seul le temps saura répondre au question posé en ce moment.

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Je vous présente mon tout premier One Shot écrit sur mon blog Kenny-x-Mysterion sur Skyrock, il avais était publié le 17 décembre 2011, il me tenait a cur et je voulait vous le faire partager sur Wattpad (j'ai revisité certain passage car a l'époque j'avais 13 ans et ce n'étais pas parfait).