Pas Toi (ZoLu)
⚠ Sujet sensible !
***
Du temps où ils étaient encore ensemble, Zoro avait l'habitude d'entendre son petit-ami lui faire en riant le reproche de son esprit trop fermé à l'amusement. "Laisse-toi un peu aller, Zoro ! Arrête de trop réfléchir, tu vas te faire mal à la tête." Il ne lui apparaissait que maintenant à quel point il avait raison, mais dans l'instant présent, il ne savait pas s'il devait ou non arrêter de réfléchir.
Leur relation avait duré 4 ans ; ils s'étaient rencontrés au collège, avaient débutés une histoire au lycée, et vivaient une relation à distance depuis un peu plus d'un an, leurs universités n'étant pas dans la même ville. Ils avaient fais la sourde oreille à tout ce qui se disait sur les relations à distance ; Zoro était convaincu qu'ils s'aimaient assez pour surmonter le temps d'attente avant qu'ils ne puissent s'installer ensemble. Et la première année s'était très bien déroulée : ils se retrouvaient tous les week-end, chez l'un ou chez l'autre, et c'était toujours deux jours de pure passion. Il n'avait donc aucune idée de ce qui avait pu les mener à ce résultat, une semaine plus tôt, à une fête étudiante de son université à laquelle ils s'étaient rendus ensemble. Tout ce en quoi il croyait s'était violemment effondré quand il avait ouvert la porte de cette chambre dans laquelle on lui avait dis que son mec était...
Luffy l'avait trompé.
Ces quelques mots étaient suffisants pour définitivement détruire sa croyance en l'existence de la fidélité. Il les avait vu en pleine action, et sur le coup, il avait été incapable de réagir. Ce fut Sanji qui intervint, engueulant les deux coupables, avant de le forcer à rentrer avec Luffy. Zoro avait écouté, machinalement, et même s'il n'avait jamais revu l'inconnu amant de son désormais ex, il se souvenait parfaitement de son visage. En rentrant, puisque Luffy n'avait pas bu, et lui pas suffisamment pour ne pas avoir conscience de ses propos, il entama la discussion calmement. Il était persuadé qu'il y avait une explication logique, que Luffy n'avait pas pu lui faire une chose aussi horrible. Mais sans ménagement, le brun avait écrasé ses convictions.
-Je ne t'aime plus, Zoro. On doit arrêter de se voir.
C'était aussi froid qu'injustifié, mais le Roronoa avait été tellement en colère que, lorsque Luffy partit dès le lendemain matin, il ne le retint pas.
Il avait ensuite passé la semaine à le hair et l'insulter en son fort intérieur, offrant à son entourage une humeur des plus exécrables. Et maintenant, samedi matin huit heures, il était dans son lit, réfléchissant depuis deux heures à tout, et donnant raison à Luffy sur le fait que maintenant, il avait mal à la tête.
Il lui fallait analyser rationnellement la situation, puisque sa colère était enfin passée, ou en tout cas suffisamment pour sa lucidité. Il pouvait se vanter de connaître Luffy sur le bout des doigts, et il y avait forcément une raison, le fait qu'elle soit bonne ou non restait encore à juger, pour laquelle il avait agi de la sorte. Il lui manquait une pièce du puzzle, et s'il laissait les choses se finir de cette façon, ça ne ferait que démontrer qu'il n'était qu'un lâche n'aimant pas assez l'homme de sa vie pour l'empêcher de se jeter dans les draps d'un autre.
Hors de question de laisser ça se produire.
Motivé par le désir d'avoir le fin mot de l'histoire, il sortit de son lit, s'habilla et se prépara une tasse de café fort. Il attrapa ensuite son téléphone et passa des coups de fil à tous les membres de la famille de Luffy, à la recherche d'un évènement dont il ne lui aurait pas parlé, mais qui l'avait peut-être traumatisé. Malheureusement, si eux ne lui apprirent rien du tout, ce fut lui qui les étonna en leur annonçant leur rupture. Bordel, il était tellement ancré dans cette famille qu'il avait même les numéros de Garp et Dadan ! Ils ne pensaient pas que Luffy avait ce projet de rompre, et même s'ils étaient tous allés le voir depuis, il ne le leur avait pas dis. Zoro les remercia tous et leur assura qu'il allait régler ça lui-même. Il pourrait passer pour un ex obsessionnel s'ils ne le connaissaient pas.
Il tenta ensuite d'appeler Luffy, et de lui laisser des messages, mais il n'eut aucune réponse. Sans réfléchir plus longtemps, il fourra quelques affaires dans un sac et se rendit à la gare, montant dans le premier train qui le mènerait à Luffy. Il était alors neuf heures et demie, et comme il n'avait pas acheté de billet, il dû payer une amende. Putain de contrôleur qui passe toujours les jours où il ne fallait pas !
Il y avait une heure et demie de train, et il avait faim en arrivant. Il s'acheta un truc vite fait dans une supérette avant de se mettre en route. Il ne se perdit même pas sur le trajet, et il fit même la route en deux fois moins de temps qu'à l'accoutumée. Malheureusement, il eut beau sonner et appeler de toutes ses forces, il semblait que Luffy n'était pas là. Il grogna et donna un coup de pied dans un pot de fleur, qui se brisa en deux.
-Et merde !
-Oh, mais c'est le petit Zoro ! Je pensais ne plus te revoir.
Le Roronoa se tourna vers la voix, et soupira de soulagement en reconnaissant le voisin de Luffy, qu'il connaissait bien. Enfin, c'était plutôt le vieil homme qui le connaissait bien (de sa date de naissance jusqu'au deuxième prénom de sa grand-mère paternelle) tant Luffy lui avait parlé de lui.
-Bonjour Monsieur Crocus.
-T'as l'air d'aller bien. Comment se passent tes études ?
-Bien, bien...dites, vous avez vu Luffy ?
-Oui, il est sorti, oh il y a un quart d'heure tout au plus. Avec son petit-ami.
Le cœur de Zoro manqua un battement et ses sourcils se froncèrent à ces mots.
-Il a un petit-ami ?
-Ça m'a fait un choc quand il m'a dis que c'était fini entre vous. J'ai pas confiance en cet autre garçon, en plus il n'a rien voulu me dire sur lui. Je ne connais même pas son nom.
Là, Zoro trouvait vraiment tout ça bizarre. Luffy avait un autre copain, alors même que sa famille les croyait encore ensemble. Une idée germa alors dans son esprit, et il sortit une feuille blanche de son sac, dessinant dessus le visage du jeune homme qui avait couché avec son mec, et qu'il n'avait toujours pas oublié. Il parvint à faire un dessin assez précis en deux minutes chrono, car il en avait dessiné beaucoup ces 5 derniers jours pour les accrocher à ses pantins d'entraînement de kendo. Quand il eut fini, il montra le résultat au vieil homme.
-Est-ce que c'est lui ?
-Oui ! C'est ça ! Tu le connais ?
-Pas vraiment. Mais il va falloir que je me renseigne...
-Doit y avoir des jeunes traînant à l'université. Ils le connaissent peut-être.
-Je vais y faire un tour. Merci pour tout !
Il s'empressa de se rendre à la fac de Luffy, espérant ne croiser personne qu'il connaissait via le brun, ni ce dernier d'ailleurs. Il y avait effectivement quelques groupes d'étudiants qu'il put interroger, jusqu'à finalement obtenir d'un de ses potes une donnée utile : son adresse. Après avoir tourné pendant une heure à cause de du fonctionnement douteux de Google Maps, il arriva à destination. Faisant le tour des fenêtres, il trouva ce qu'il supposa être la chambre de sa cible, et il s'y glissa aussi discrètement que possible, en dehors du bruit que provoqua la rencontre de son cul avec le sol.
-Quelle journée de merde !
Se reprenant, il se mit à fouiller dans toute la pièce à la recherche de quelque chose. Ce fut au bout de dix minutes qu'il se rendit compte qu'il ne savait même pas ce qu'il cherchait ; il était à la case départ depuis le début. Il s'assit alors sur le lit et réfléchit à ce qu'il devait faire, tout en brûlant des photos de Luffy que l'homme chez qui il était, et dont il ne connaissait toujours pas le nom, avait dû prendre pendant leurs ébats. Il se dit trop tard que ça aurait pu être des pièces à conviction.
Et puis ça tourna mal lorsque quelqu'un entra dans la pièce ; une femme aux cheveux châtains légèrement ébouriffés et de grands yeux noisettes. Elle portait un panier à linge, ce qui permit à Zoro de supposer qu'il s'agissait de la mère de famille venant ranger les vêtements de son fils. Il aurait dû se demander en effet s'il venait chez ses parents, et s'ils étaient présents avant d'entrer par effraction. Là, il était dans la merde.
Soudain, ça le frappa : il avait déjà vu cette femme. Il se leva d'un bond et montra du doigt la mère étonnée que ce ne soit pas son enfant qui occupait cette pièce. Elle s'apprêta d'ailleurs à hurler son mécontentement, mais ce fut Zoro qui s'écria le premier :
-Madame Monkey D ! Vous êtes vivante ?!
D'abord surprise par ce nom, elle fronça les sourcils au terme "vivante".
-Que voulez-vous dire ? Bien sûr que je suis vivante.
-Luffy m'a dis que vous étiez morte.
-Ce n'est pas ce qu'il s'est passé.
-J'en ai aucune foutre idée de ce qu'il s'est passé. Je vous ai vu en photo chez lui, il m'a dis que c'était sa mère décédée.
Le panier tomba sur le sol, alors qu'elle allait s'asseoir sur le lit. Elle poussa un profond soupir, et commença à évoquer sa rencontre avec Dragon, le père de Luffy. Zoro se demanda s'il avait le temps de l'écouter raconter sa vie, s'il devait fuir avant qu'elle n'appelle la police, et depuis combien de temps il n'avait pas mangé. Finalement, il se dit qu'il ne perdait rien à écouter, et prit place à côté d'elle.
-J'étais heureuse avec Dragon, mais j'avais besoin de plus. Je ne pensais pas que cette relation extra-conjugale aurait un tel impact...je ne pensais pas tomber enceinte. Et je ne pouvais pas me résoudre à abandonner mon enfant...
-Vous êtes naïve, Madame.
-Qui es-tu déjà ?
-Je m'appelle Zoro, je suis l'ex de Luffy.
-Son ex ?
-Vous pouviez pas me demander avant de me raconter votre vie ?
Elle hocha la tête, et reprit son récit sans plus d'inquiétudes. Elle avait besoin de se confier, apparemment.
-J'ai aimé cet enfant au premier coup d'œil, mais son père et moi avons convenu que nous ne pouvions pas l'élever ensemble. J'ai fais croire qu'il était mort né à Dragon. Nous avons eu Luffy un an plus tard, et tout allait pour le mieux. Mais mon mari a découvert que je le trompais...
-Vous avez eu combien d'amants ?
-En même temps ?
-Euh, laissez tomber.
Plus la discussion avançait, et moins il était à l'aise. Il avait de retrouver Luffy, de foutre une patate à son nouveau mec, et de ramener le brun chez lui pour lui faire l'amour tout le week-end. Et pas rester là avec sa supposée morte ex-belle-maman dans une chambre qu'on pouvait considérée comme cambriolée par ses soins.
-Dragon m'a demandé le divorce, et a sans doute préféré faire croire à Luffy que j'étais morte. Alors je suis venue vivre ici, avec mon amant et mon fils aîné. Nous nous sommes mariés et...
-Attendez, c'est votre fils, lui ?!
Il lui montra son dessin, et après l'avoir félicité pour son talent, elle lui apprit qu'il se nommait Bellamy, et qu'il s'agissait bien de son fils. Une expression de profond dégoût prit place sur le visage de Zoro.
-Et Bellamy, il sait que Luffy est son demi-frère ?
-Oui, je le lui ai dis, pourquoi ?
-Il est penché sur l'inceste, votre gamin.
-Quoi ?!
Le téléphone du Roronoa se mit à sonner, et il décrocha rapidement ; c'était Ace, qui lui annonçait que Luffy venait d'être admis à l'hôpital après une très vilaine chute dans les escaliers. Zoro lui annonça qu'il arrivait tout de suite, repoussa à plus tard les justifications de sa présence dans cette ville, puis raccrocha précipitamment.
-On doit aller à l'hôpital tout de suite !
-Que se passe-t-il ?
-Luffy y est, et j'ai le pressentiment que votre crétin de gosse...enfin Bellamy, y est pour quelque chose !
Bien qu'elle ne saisissait pas la situation, ils parvinrent tous les deux à l'hôpital. En arrivant, ils virent Sabo tentant de retenir un Ace enragé qui désirait plus que tout arracher la tête de Bellamy, riant en face de lui. C'est alors que les deux frères remarquèrent Zoro, et se précipitèrent vers lui.
-Alors Zoro, qu'est-ce que tu fais là ?
-Je voulais voir Luffy, il ne répondait pas au téléphone...
-Tu es allé chez lui ?
-Ce matin mais il était absent. Je faisais des recherches sur lui.
Il montra Bellamy du doigt, puis sa mère, inquiète et dans l'incompréhension. Zoro expliqua la situation à tout le monde, même au médecin, qui arriva au milieu de l'histoire, et parvint à en saisir à peu près le sens. Prenant conscience de tout ce qui était impliqué, la mère de Bellamy se tourna vers son fils avec colère.
-Mais enfin, qu'est-ce qui t'a pris ?! Tu sais que Luffy est ton frère !
-Non maman. Luffy est ton fils, celui que tu regrettes chaque jour. Ce n'est pas mon frère, mais celui avec lequel tu aurais préféré vivre pendant toutes ces années. Je le sais.
-Qu'as-tu fais...
-Je voulais détruire sa vie ! Et je lui ai dis que je m'en prendrais à tous ses proches s'il ne faisait pas ce que je disais, en commençant par toi, Zoro ! Et ça marchait très bien, je pouvais le détruire, mais il a vu à quel point tu insistais auprès de lui, alors il a voulu tout arrêter et te dire la vérité !
-Alors tu l'as poussé, termina Zoro.
Le médecin annonça que la police était au courant et allait emmener Bellamy, mais le vert ne l'entendit pas. Son regard était fixé sur le fou face à lui, à qui il déclara avec tout le sérieux dont il était capable.
-La seule vie que tu as détruite, c'est la tienne. Parce que Luffy a toujours sa famille, et m'aura toujours à ses côtés. Tout ce que tu as fais n'a servi à rien, et pour ma part, je vais faire comme si tu n'avais pas existé.
Bellamy n'eut pas le temps de répondre ; on l'emmena. Sa mère se demanda si elle devait le suivre ou rester pour voir Luffy. Ace mit fin à son dilemme.
-Bellamy a abusé de mon petit frère parce que vous avez été assez conne pour faire une erreur avec laquelle vous n'arrivez pas à vivre. Sortez définitivement de la vie de Luffy, ça sera mieux pour tout le monde.
Elle hocha la tête, bouleversée, et partit sans un mot de plus. Zoro estima qu'il devait repartir à son tour ; il ne voulait pas que Luffy se réveille et se sente obligé de tout justifier, alors qu'il avait besoin de se reposer. Il quitta l'hôpital, non sans faire promettre à Ace d'embrasser le jeune pour lui.
Ce fut une fois assit dans le train qu'il prit le relis de refaire le déroulement de la journée dans sa tête. Il était épuisé par toute la marche qu'il avait faite, et par toutes ces révélations étonnantes qu'il ne soupçonnait pas une seconde. Luffy allait avoir besoin de son soutien pour tenir le coup, et ça risquait de prendre du temps. Mais il se sentait prêt à l'aider à aller de l'avant.
-Monsieur, votre ticket.
-Bordel de merde...
***
Quelques jours plus tard, Zoro revenait tranquillement de l'université, son téléphone à l'oreille, essayant de joindre Ace. Il avait pris l'habitude de l'appeler tous les jours afin de prendre des nouvelles de Luffy.
Le brun décrocha alors que le Roronoa arrivait au pied de son immeuble. Il salua son interlocuteur en débutant la montée des escaliers, mais avant qu'il ne puisse poser l'habituelle question, Ace lui déclara rapidement :
-Luffy t'attend chez toi, il a des trucs à te dire, t'inquiète pas il va bien, cœurs sur vous, bye !
Et il raccrocha. Zoro n'avait pas vraiment compris, mais quand il arriva chez lui, il remarqua qu'effectivement, le jeune Monkey D attendait debout devant sa porte. Lorsqu'il le remarqua à son tour, Luffy sursauta et s'écarta de la porte, les joues légèrement roses.
-Salut Zoro...
-Hey, t'as l'air en forme.
-Oui, c'était rien de grave...
-Cool.
Il ouvrit la porte de l'appartement et se décala, permettant au plus jeune d'entrer le premier. Luffy le remercia rapidement et se précipita à l'intérieur. Zoro ferma la porte derrière lui et se dirigea automatiquement vers la cuisine, préparant un café pour lui et un chocolat chaud pour le petit. Ils prirent place sur le canapé, un léger malaise entre eux.
Zoro se pencha en arrière, un regard tendre posé sur l'autre.
-Tu es venu pour une bonne raison, non ?
-J'ai besoin de savoir...
-Ace ne t'a pas expliqué ?
-Si...il m'a dis tout ce que je ne savais pas déjà. Mais...
-Oui ?
-Pourquoi tu as fais ça Zoro ?
Penchant légèrement la tête sur le côté, le vert posa la tasse dans laquelle il n'avait pas encore bu sur la table basse.
-Tu aurais préféré que je ne fasse rien ?
-Non, je te remercie d'être venu ! C'est juste que je ne comprends pas pourquoi tu ne m'as pas juste laissé tomber.
-Parce que c'était pas toi.
Luffy osa enfin lever les yeux et regarder Zoro. Ce dernier rougissant, se massant la nuque d'une main avec gêne.
-Pas moi ?
-Faire du mal volontairement, mentir à ta famille...je sais que tu n'es pas comme ça, que ça cachait quelque chose.
-Tu m'as fais confiance malgré tout.
-Oui parce que je...je t'aime...Luffy.
Il détourna le regard un instant, jusqu'à sentir la main de Luffy ramenant son visage vers le sien. Le plus jeune s'approcha de ses lèvres, mais au dernier instant, il se mit à douter ; pouvait-il vraiment réclamer un baiser après tout ça ? En avait-il encore le droit ? Zoro lut ses questions dans ses yeux, alors il glissa ses mots dans le dos de Luffy pour le forcer à combler lui-même la distance entre eux.
Dès l'instant où leurs lèvres se joignirent, les baisers passionnés s'enchaînèrent sans fin. Ils ne s'étaient pas quittes longtemps, mais pour eux, c'était déjà trop. Alors ils se firent la promesse silencieuse qu'à l'avenir, ils ne seraient plus jamais ceux qu'ils n'étaient pas.
*********
Le contraste entre l'humour et le drame chelou fait que ça ressemble à un épisode de Petits secrets entre voisins XD mais bon, je suis plutôt satisfaite...
Je pense sincèrement que l'humanité en est à un stade où ce genre de choses peuvent vraiment arriver, et si j'ai un peu hésité à tourner l'histoire de cette façon, j'ai décidé de me laisser guider par mon idée malgré tout.
J'espère que vous avez aimé !
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