— Elle morte.

Annonce l'homme dans la sombre salle, devant un berceau, la femme ayant accouché déjà redresser une cigarette à la main.

— Et donc ?

— Ne fume pas ici, ils sont fragiles.

Il grogne, broyant le bâtonnet de tabac dans sa main avant tourner son regard sombre sur les enfants, 3 enfants dont un avec des ailes.

3 enfants, 1 mort née.
Le nouveau né est plus petit que les autres, la peau froide. La vie ne lui a même pas laissé une chance.
La femme ne regarde pas, pas bouleversé ou blessé d'avoir perdu un enfant, à vrai dire elle aurait que tous ne survive pas.
L'Homme retire sa peau de bête, prenant doucement le corps inanimé de son enfant.
Minuscule.
Il frotte doucement le corps de l'enfant, appuyant son pouce sur l'emplacement du cœur.
L'homme reste assis, tentant de ranimé l'enfant.
Mais l'enfant ne bouge pas, il ne respire pas, il ne vit pas.
Puis l'homme arrête, tenant dans ses mains l'enfant.
L'homme se penche doucement, soufflant une fumée noire dans la bouche de l'enfant sous le regard d'une sage femme.
Ce sont les pleures d'un bébé qui fait tourner les yeux de la mère, son époux de nous debout tenant l'enfant nu dans ses mains, pleurant. De chaude larmes coulant sur le visage de l'enfant, vivant.

— Je la déteste déjà.
Annonce la mère avec dédain.

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La forêt de Jubilee est une forêt sombre, connu pour son invasion de monstres et terribles créatures.
Si les villes grouillent d'espèces différente, la forêt elle renferme le pire cauchemar de chaque être sur Terre.
Et le pire de tous hante la forêt et hante les cauchemars eux même.
Quiconque croise Fenrir est voué à mourir.
Personne ne cherche de problème avec Fenrir ou sa famille et surtout pas l'une de ses filles.

Mais les idiot/es existent, certaines voulant des preuves de la présence du fils du dieu Loki et d'autres par stupidité.
Peu importe le temps en ville, la forêt reste froide et brumeuse, le brouillard près du lac lui donne une allure particulièrement horrifique alors qu'une femme s'y baigne.
Elle ne semble pas paniqué de l'endroit où elle se trouve, laissant le peu de rayon du soleil passant entre les arbres caressé sa peau nu.
C'est en entendant le craquement de pas qu'elle se tourne, son visage a  moitié caché par l'eau alors quelle observe la silhouette se dessiner dans le brouillard.
Vous l'avez remarqué, enfin presque mais elle, elle vous a bien remarqué, observant votre allure.

— C'est dangereux ici ...

Elle dit, sa voix est faible mais le silence de la forêt la rend audible.

— N'approchez pas ... elle surveille...

Fronçant les sourcils, prêt à rétorquer avant de remarquer des yeux rouges vous fixer.