histoires qui ne verront probablement jamais le jour (partie 2)
06/2020
Hellooo, après une semaine de suspens, voici sous vos yeux ébahis la deuxième partie sur les histoires abandonnées (j'imagine que vous l'attendiez avec impatience, eh oui). Paix à leur âme sachant qu'elles ne verront jamais le jour, paix à la vôtre sachant qu'elles sont vraiment pas ouf
CORONAVIRUUUS
(le titre aurait sûrement changé si je l'avais publiée parce que lol c'est pas fou)
1 virus.
2 milliards de morts.
3 nouvelles vagues chaque année.
6 millards d'infectés.
Où s'arrêtera l'hécatombe ?
Cinq ans après la catastrophe, toujours pas de remède en vue. Les médecins meurent à petit feu, les soignants perdent espoir, l'humanité toute entière se laisse dépérir face à cet ennemi immatériel.
Comment peut-on espérer trouver une solution quand une personne peut tomber malade une, deux, dix, cent fois du même virus ?
Nous commencions à désespérer. À crier, à hurler contre cette injustice criante. Nous croyions ne plus posséder d'avenir...
Mais ça, c'était avant. Avant qu'on ne se rende compte que le remède était juste devant nous. Avant que l'on ne s'aperçoive que, aveuglés par nos rêves de grandeurs, nous n'avions pas vu l'évidence.
Ce remède, ce sont vos enfants.
Eux peuvent encore être sauvés. Mieux encore, ils peuvent sauver le genre humain dans son ensemble. Le programme les astres errants offre une nouvelle chance au genre humain : une vie dénuée de misère, de haine, et surtout, de virus.
L'histoire se déroulait dans l'espace, il n'y avait que des enfants sur le vaisseau (afin de perpétuer la race humaine), jusqu'au jour où le vaisseau, après qu'il ait percuté un astéroïde, s'écrase sur une planète inconnue. Comment dire que déjà, une histoire sur le coronavirus ça ne va pas du tout, et en plus j'avais pas du tout d'idée d'intrigue, ça me paraissait juste trop classe d'être dans l'espace et de raconter la reconstruction de la civilisations et les embrouilles qui vont avec. J'ai fini par abandonner (étonnamment)
Fantômes dans la machine
J'ai pas de résumé (oups) mais le prologue c'était un extrait de I, Robot : « Il y a toujours eu des fantômes dans la machine. Des segments aléatoires de codes, qui se sont regroupés pour former des protocoles imprévus. Non anticipés, ces radicaux libres posent la question du libre arbitre, de la créativité... et même de la nature de ce que nous pourrions appeler "l'âme". Comment se fait il que des robots qu'on laisse dans l'obscurité recherchent la lumière ? Comment se fait il que des robots placés dans un espace vide se rapprochent les uns des autres plutôt que de rester seuls ? Comment expliquons nous ce comportement ? Des segments aléatoires de codes... ou y'a t'il quelque chose de plus ? A quel moment un processus de perception devient il "conscience" ? A quel moment un système comparatif devient il recherche de vérité ? A quel moment une simulation de personnalité devient elle le germe douloureux... d'une âme ? »
Vous voyez Detroit, Become Human ? C'est un jeu vidéo qui s'interroge sur la place de l'androïde dans la société, ainsi que la différence entre les intelligences artificielles et les humains. J'ai eu l'idée de cette histoire juste après avoir joué à la démo, et j'avais pas vraiment d'intrigue mais ça aurait soit parlé d'un androïde qui s'apprête à être recyclé alors qu'il possède des émotions, soit un humain qui découvre cet androïde et essaie de le sauver. bon c'était pas clair mais j'aimais trop l'extrait de I, Robot et je voulais juste le caser quelque part (et concrètement, après l'avoir casé, j'ai totalement arrêté cette histoire)
30 jours du purgatoire
« Santé sera votre allié, Terre votre guide et Cœur votre pire ennemi »
Il y a d'abord cette étrange émission, nommée les trente jours du Purgatoire, destinée aux criminels possédant une véritable envie de se racheter et où seuls quelques uns pourront en sortir.
Il y a Jupiter Djarhen, dont le père a été assassiné par un de ces criminels sans foi ni loi, qui refuse que ceux ci puissent s'en sortir sans aucunes séquelles ; et Erynie Kallu, une jeune fille insouciante, dont la témérité l'a menée à choisir entre la mort ou bien la participation forcée à ce dangereux jeu qui n'en est pas un.
Il y a aussi la Présidente Hearth, apparue soudainement par un froid jour d'hiver, qui tente tant bien que mal de contrôler les ficelles du jeu mais qui désespère de les voir se rompre tantôt.
Et puis il y a ces subtiles amitiés qui intriguent étrangement les spectateurs ; les alliances qui se forment, se déforment ; les affrontements qu'il faut gagner à tout prix sous peine de voir son indemnité s'effacer à jamais ; les restes des années passées en prison qui menacent malgré elles l'équilibre durement formé ; et l'amour qui décide de s'en mêler de temps à autres...
Lorsque seuls cinq criminels d'un groupe de trente peuvent ressortir indemnisé de leur prison dorée, jusqu'où pourront aller les machinations afin d'espérer regagner sa liberté ?
Cette histoire était vachement précise, pour une fois ! 90 ans après une crise économique qui a dévasté le monde entier, Hearth (mélange entre health, heart et earth, car la santé, le coeur et la terre sont les trois points clés de son discours (tavu la maîtrise de l'anglais, on est là) se présente en tant que Présidente afin de faire sortir le pays de l'abîme. Pour cela, elle crée un programme de rédemption à l'attention des prisonniers des cellules du pays : durant 30 jours, ils affrontent des épreuves de plus en plus dures afin de regagner leur liberté. S'ils y parviennent, ils sont libres, sinon, ils sont condamnés à perpétuité. Erynie (première protagoniste) faisait partie du programme pour avoir tué le père de Jupiter, donc Jupiter (deuxième protagoniste) la détestait mais s'attachait peu à peu à elle au travers des épreuves. Il finissait par apprendre que son père était la pire des enflures et méritait la mort, donc quand Erynie gagnait, il venait la voir pour la féliciter et elle le tuait en croyant que c'était son père mdr. et Hearth avait crée le programme uniquement dans le but de sauver son frère prisonnier et les deux s'enfuyaient ensemble. C'était glauque yes, j'étais grave dans la période « nan mais si tu tues pas au moins un personnage principal à la fin t'es pas un vrai auteur tavu »
et devinez quoi ? j'avais fait un casting avec EMILY BLUNT sans même savoir que c'était elle, juste parce que le personnage qu'elle joue dans Edge of Tomorrow est trop stylé :
(est-ce que je suis dans l'abus ? oui clairement, d'ailleurs je pense que je vais bientôt faire une partie de ce livre uniquement sur Sicario parce que ce film est TELLEMENT BIEN vraiment je m'en lasse pas)
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