Baby Bésame

Je pense sincèrement que je vais mourir. Mourir de chaud, de désir et d'excitation. Voilà quelles seront les raisons de mon décès. Et Bia sera ma meurtrière. Ce corps parfaitement formé, avec ces belles courbes qui me font fondre sur place, me rendent fou. Je ne peux pas détacher mon regard de son corps, alors qu'elle est en train de danser dans la cuisine, faisant à manger avec de la musique. Pas n'importe quelle musique : la mienne. Et la voir se déhancher comme ça augmente de plus en plus le désir qui brûle dans mon corps depuis que je suis arrivé. J'attends, d'ailleurs, depuis trop longtemps. Alors je décide de me lever et vais éteindre la musique, la faisant arrêter tous ses mouvements.

— Mais Manu...

Je pose mon doigt sur sa bouche, la forçant à se taire. Je commence alors à chanter doucement les paroles de ma propre chanson.

— Que encuentres en mi
Aquel que te hace sonreír
Quien podría ser, acércate
Baby bésame...

Sans plus attendre, elle me fait taire en collant ses belles lèvres aux miennes. Je feu qui brûle en moi ne fait que de s'agrandir et la chaleur de son corps me montre qu'elle aussi me veut. Une fraction de secondes, je pense à son copain, et au fait que ce n'est pas bien ce que nous faisons, mais mon désir balaye ces pensées rapidement alors que nos langues commencent à danser ensemble. Ses fins doigts viennent se glisser dans mes cheveux alors que mes mains se posent sur le bas de son dos, rapprochant son corps du mien. Sa poitrine se colle contre mon torse et je sens d'ici les battements de son cœur. Je n'ai pas envie que ce moment s'arrête, jamais. Notre baiser prend de l'ampleur quand je décide machinalement d'enrouler ses jambes autour de ma taille. Elle ne se fait pas prier pout s'accrocher à moi, et, tout en continuant à l'embrasser, je nous emmène au salon, et nous laisse tomber sur le canapé. Elle se retrouve en-dessous de moi. Je place mes mains de part et d'autre de sa tête pour m'élever, et ne pas l'écraser. Ses lèvres quittent mes lèvres et un éclair de peur me traverse le coros, mais j'oublie vite ce sentiment lorsque je la sens commencer à sucer le laube de mon oreille. Puis elle descend ses baisers dans mon cou, mon point sensible.

— Hmm... Bia...

Nos respirations se font de plus en plus rapides, et je sens mon corps brûler de désir plus qu'il ne l'a jamais fait auparavant. D'une main, je passe une main sous son t-shirt et commence à le lui retirer. Je décide de me laisser tomber sur elle pour ensuite nous faire basculer, et qu'elle se retrouve sur moi. Elle est d'abord surprise, mais se reprend vite et s'assoit sur ma taille, les genoux repliés pour être plus confortable. J'arrive enfin à retirer ce bout t-shirt qui était bien de trop, et je découvre enfin ses seins. Ou plutôt, je les re-découvre, et je ne peux m'empêcher de les trouver splendides. Je sens ses mains commencer à parcourir mon torse, retraçant le début d'abdos que j'ai. Elle descend, puis remonte ses mains en retirant à son tour mon haut. Tant mieux, je commençais à avoir chaux. D'un geste rapide, je retire son soutien-gorge, et découvre enfin ses tétons, bien pointus. Je sens que mon jeans commence à devenir un peu trop serré, mais je ne peux m'arrêter de l'observer.

— Tu es magnifique.

J'attrape soudainement ses seins et commence à caresser ses tétons de mes pouces. L'entendre gémir me prouve que ce veste lui fait plaisir. Elle se recule un peu sur moi, et se retrouve sur mon engin déjà bien dur. Elle commence à remer son bassin, augmentant mon excitation à un stade que je n'avais même pas encore découvert. J'ai l'impression que je peux jouir, là, sans même avoir enlevé mon jeans. Mes gémissement sont de plus en plus forts, et je suis obligé de lui demander d'arrêter si je ne veux pas finir dans mon jeans, sans même lui avoir fait assez plaisir. Je la place à nouveau en-dessous de moi et me dépêche d'enlever son jeans et sa culotte, déjà bien trempée, en même temps. Son corps nu me fait pratiquement jouir sur place. Ses courbes parfaites me donnent envie de connaître chaque recoin de son corps, chaque partie que je ne connais pas encore. Je veux la connaître par cœur, je veux lui faire plaisir autant qu'elle sait m'en faire. Je commence à embrasser sa poitrine, lécher ses tétons tout en appréciant le bruit de ses gémissement, la façon dont elle prononce mon nom si sensuellement.

— Je te veux Bia, je te veux toute entière...

— Fais-moi plaisir Manuel... Fais-moi jouir...

Je descends mes baisers jusqu'à son intimité mais m'arrête là.

— Place toi au bord du canapé.

Je me lève, et le temps qu'elle fasse ce que je lui ai demandé, je retire mon jeans, bien trop serré à présent, et mon boxer. Je veux me montrer entièrement à elle comme elle elle se montre à moi. Je m'agenouille ensuite en face d'elle et écarte ses cuisses. Je lui lance un regard, comme la permission de me laisser la goûter, et elle hoche la tête, me conformant qu'elle est d'accord. Je penche ma tête vers son intimité et sors ma langue. J'avoue avoir un peu la pression. Je n'ai jamais fait ça, et pourtant je me suis lancé là-dedans comme si je l'avais déjà fait des centaines de fois. J'en avais vraiment envie. J'en avais besoin. J'ai besoin de la goûter. Mon premier coup de langue la fait sursauter, mais elle ne tarde pas à gémir, une première fois. Je pense que je l'ai bien fait, alors je continue. Plusieurs fois, et la façon dont elle se cambre me montre qu'elle aime plus ça que ce que je ne l'aurais espéré. Elle hurle mon nom mainte et mainte fois, et je trouve ça extrêmement sexy.

— Continue...! Ah! Manuel!

Ses jambes commencent à trembler et elle se cambre de plus en plus. J'hésite à lui insérer un doigt, et je finis par le faire, lui arrachant un hurlement.

— Ça va...?

— Con... continue...

Je fais ce qu'elle demande et reprends mes coups de langue, tout en faisant des va-et-vient en elle avec mes doigts. Plus elle tremble et se cambre, plus elle est sur le point de jouir. Au moment où ses mains s'accrochent aux canapé et où elle pousse un énorme hurlement, je devine qu'elle a atteint l'orgasme. Je me retire de son intimité et m'assois sur le canapé. Pendant quelques secondes, elle reprend des esprits, puis elle vient placer sa main sur mon engin encore tout dur. Elle y fait glisser ses longs doigts experts et je me sens déjà près de l'orgasme. Elle accélère de plus en plus ses mouvements, me faisant me cambrer comme elle auparavant. Elle fait durer le plaisir en s'arrêtant au moment où elle sent que je viens. Au bout de quelques minutes de torture sensuelle, je finis par jouir dans sa main, lâchant un énorme râle de plaisir. On se rallonge finalement normalement sur le canapé, la respiration saccadée. Je ne sais pas si demain, elle regrettera, mais je sais qu'aujourd'hui, j'ai pu enfin sentir son corps collé au mien à nouveau, et ça me rend heureux sur le moment.

vous risquez peut-être de retrouver cet extrait (un peu modifié) dans une future histoire :)

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