Chapitre 16 - Mystère Dévoilé

POV Neutre:

Cela faisait maintenant deux semaines qu'Hermione avait annoncé la nouvelle aux serpentards. La jeune lionne avait totalement arrêté les cours pour se consacrer entièrement à la recherche d'un antidote pour Draco en compagnie de Théodore qui était le seul aussi avancé qu'elle au niveau des cours. McGonagall avait tout de suite acceptée de les laisser faire lorsque la jeune griffondor lui avait expliqué la situation. La directrice avait renforcé la sécurité du château et avait convoqué tous les élèves dans son bureau pour les placer sous véritasérum le temps d'un interrogatoire, pour éventuellement retrouver la trace de Lucius, mais aucun n'avaient montré des résultats concluant ou n'avait donné des explications sur le père de Draco... Lucius n'était plus à Poudlard maintenant, ce qui rassura un peu Minerva. Les serpentards quand à eux, suivaient les cours comme il se devait, mais rendaient visite à Draco le plus souvent possible entre leurs heures de cours. Le prince des verts et argents était, quand à lui, retourné dans le dortoir des préfets où il passait ses journées. Madame Pomfresh avait été clair, il ne devait pas sortir du dortoir et ne devait faire aucune activité qui pourrai le fatiguer, mais le jeune homme s'ennuyait tellement qu'un jour il s'était échappé et était partir faire le tour du château en balai. Lorsqu'il était revenu elle lui avait mis un tel savon qu'il s'était promis de ne jamais plus recommencer même si la tentation était insupportable. Cet après midi, il s'était plongé dans ses révisions pour les A.S.P.I.C, tandis que Hermione et Théodore étaient dans le salle de potions avec le professeur Slughorn qui n'avait pas cours à cette heure là. Dans la soirée, quelqu'un frappa à la porte du dortoir des préfets. C'était Hermione qui avait terminé sa journée.

- Salut. Dit-elle en refermant la porte derrière elle.

- Hermione? S'étonna le serpentard qui était plongé dans un livre.

La jeune femme ria quand elle apperçue tous les livres étalé sur le bureau de la salle commune.

- Qu'est-ce que tu n'as pas comprit dans: " Ne fais aucune activité qui pourrai te fatiguer?" Se moqua t-elle en s'avançant lentement.

- Il faut bien que je trouve quelque chose à faire que de tourner en rond... Répondit le jeune homme en pausant sa plume. Mais je suis heureux de te voir parce que je commençais à saturer un peu là...

- Qu'est-ce que tu faisais?

- Je révisé... Ce matin Arithmancie et cette après midi, histoire de la magie...

- Tu n'as pas commencé par les matières les plus simples...

- Ouais, mais c'est les deux seules matières qui me posent le plus de problèmes... Enfin bref, parles-moi d'autre chose, divertie moi parce que je vais péter un câble moi ici.

- Tu n'as pas choisi la bonne personne pour ça... Je suis de loin la fille la plus ennuyeuse de tout Poudlard...

- Pauvre de moi...

- Mais heureusement, j'ai quelque chose pour toi. Déclara Hermione en sortant deux paquets emballés de son sac "fourre-tout".

- Tu sais que que moi anniversaire est passé Granger... Se moqua Draco.

- Granger? C'est plus Hermione maintenant?

- Tant que tu n'oses pas m'appeler par mon prénom, tu devra te contenter de ton nom de famille....

- Regardez-moi ça! Quel boudeur! Tu ressemble à un gamin Malfoy... Mais j'espère que lorsque tu ouvriras tes paquets, j'aurai le droit à un "Merci Hermione". Ce sont les cadeaux que tu as oublié d'ouvrir à ton anniversaire, dans la salle-sur-demande. Il y a celui de Narcissa et le mien. Nous les avions achetés ensemble, j'espères qu'ils te plairont...

Draco saisit les deux paquets d'une mine perplexe. Il déchira le papier qui couvrait ses deux cadeaux. Un nécessaire à dessin et un immense et épais carnet à dessin.

- Ta mère m'a dit que lorsque tu étais plus jeune, tu adorai dessiner, et j'ai pensé que maintenant que tu as été mis en quarantaine ici, tu serai contant d'avoir une activité à faire. Expliqua la rouge et or en scrutant Draco dont les yeux s'étaient écarquillés .

- Ma mère s'est souvenue de ça! S'étonna t-il plus heureux que jamais. Je ne pensais pas qu'elle s'en souvenait...

- Je peux te dire qu'elle s'en souvient très bien. Ria la brune. Elle m'a expliqué que Lucius te confisquai toujours des crayons et des toiles parce qu'il jugeait que c'était une perte de temps...

- Ouais... Mon père était un salaud même lorsque j'étais petit...

- Narcissa m'a aussi raconté que tu trouvais toujours quelque chose pour remplacer ton matériel.

Draco échappa un rire mélodieux en se remémorant ses jeunes années.

- C'est vrai. Répondit-il. Une fois, alors que mes parents dormaient, je suis descendu au salon pour récupérer ma baguette dans le bureau de mon père. J'avais quoi? Sept/Huit ans peut-être? Quand je suis rentré dans la pièce,j'ai vu que la cheminée s'était éteinte, alors sans savoir pourquoi, j'ai prit un bout de bois qui avait brûlé et j'ai commençais à tracer des lignes sur le sol. Quand je me suis rendu compte que le bois tracé des traits parfaitement noirs, j'ai embarqué tout le bois que je pouvais, je suis remonté dans ma chambre et j'ai refais toute ma déco. J'ai dessinais sur les murs blancs, sur le sol, sur mes rideaux... Heureusement que mon père n'entrait jamais dans ma chambre, sinon il m'aurait tué...

- Et ta mère, comment as-t-elle réagit? Demanda Hermione amusée du récit du serpentard car elle imaginait bien le petit Malfoy d'à peine huit ans qui prenait un plaisir fou à massacrer sa chambre.

- Ma mère a rigolé lorsqu'elle a vu les dégâts. Je m'en souviendrai toujours, elle s'est penchée devant moi et m'a dit que la prochaine fois il fallait que je refasse les murs du petit salon. Il n'y avait qu'elle qui se servait de cette pièce donc, il n'y avait aucun problème avec mon père.

- Et tu l'as fait?

- Je m'en suis donné à cœur joie!

Draco adressa un grand sourire à Hermione qui lui rendit, puis le jeune homme éclata de rire en voyant une petite note sur le carnet à dessin.

- Tiens, regardes! Demanda t-il à la lionne en lui tendant le carnet. Effectivement, elle n'a pas oublié du tout!

La griffondor lu la note qui disait" Mon chéri, je sais que tu adores dessiner, mais n'abîme pas les murs de Poudlards, utilise ça plutôt! Maman. "

La jeune femme échappa un petit rire.

- Je crois que je l'ai traumatisé... Plaisanta le vert et argent. Merci Hermione, d'avoir participé à mon cadeau!

- Jt'en pris, c'était un plaisir, monsieur Malfoy!

- Grr! Encore Malfoy?! Ne peux tu pas m'appeler tout simplement par mon prénom?!

- Désolé...

On frappa à la porte, ce qui sauva la jeune femme. C'était Madame Pomfresh.

- Je viens voir mon patient favoris! Chantonna t-elle en entrant. Comment vous sentez vous Mr Malfoy?

- Mourrant... Plaisanta le serpentard. Ne pourrais-je pas aller me balader au moins dans es couloirs où sur le terrain de quiddich? Je vous jures que je ne prendrai pas mon balais.

- Il n'en ai pas question, vous le savez pertinemment! Tenez, vos potions pour cette nuit.

Draco se leva en soupirant et prit les potions que lui tendait l'infirmière avant de les pauser sur le bureau.

- Enlevez votre chemise, je vais voir comment votre blessure a évoluée.

Le serpentard déboutonna sa chemise et la jeta sur le canapé de la salle commune. Il ne se regarda pas sa blessure, car il savait pertinemment à quoi elle ressemblait. Hermione changea radicalement d'attitude et perdit son sourire lorsqu'elle vit le torse du jeune homme. La moitié était comme son bras, tout noir.

- Il faut vite que nous trouvons un remède... Chuchota Mme Pomfresh. Bien, pas d'activité trop brusque pour vous, essayer de bien boire et de bien manger...

Sur ces mots, l'infirmière salua les deux préfets et sortie de leur dortoir.

- Repoussant, n'est-ce pas? Demanda Draco en regardant Hermione qui n'avait pas détaché son regard du torse du vert et argent. Quand à lui, il s'assit sur le bureau, attendant la réaction de la jeune femme.

Elle s'avança doucement vers lui, et pausa délicatement ses doigts sur la tache noircie, faisant frissonner le serpentard qui la regardait attentivement pour déceler la moindre émotions dans les yeux de la lionne. Ce qu'il vit, n'était pas du dégoût où de la peur, mais de l'inquiétude, de la tristesse mélangée à de la détermination.

- Draco... Laissa t-elle échapper dans un murmure.

Le serpent se redressa brusquement et fronça les sourcils. Venait-il d'entendre ce qu'il avait entendu?

- Répètes ce que tu viens de dire Hermione. Ordonna t-il attendant sa réponse avec impatience. Hermione rougit et ne put le regarder dans les yeux.

- ... ... Draco...

Le cœur du jeune sorcier rata un battement avant de s'accélérer considérablement. Il ne pouvait pas attendre plus longtemps, il fallait qu'il lui montre l'éffet qu'elle lui faisait et à défaud de ne pas pouvoir lui dire de vive voix, car trop timide pour ce genre de chose, il lui montra avec les geste. Le vert et argent attira la jeune femme à lui, la forçant à se tenir sur la pointe des pieds, puis déposa ses lèvres sur celles de la griffondor. Hermione qui en avait eu envie depuis la fête pour Draco se laissa faire avec plaisir.

Lorsqu'ils se détachèrent, ils se regardèrent longuement comme pour s'assurer qu'aucun d'eux ne regrettaient ce qu'il venait de se passer. Voyant l'air sérieux de beau blond, la rouge et or eu un petit sourrir. Le célèbre Draco Malfoy était stressé de sa réaction. Elle décida de la rassurer en passant ses mains sur sa nuque et de reposer ses lèvres sur celles du serpentard. Leurs lèvres se cherchaient, leurs langues se taquinaient et leur souffles se mêlaient l'un dans l'autre dans un dans une danse sensuelle et lente, comme s'ils voulaient prendre le temps de s'habituer à cette nouvelle sensation et à ces nouveaux sentiments. Draco descendit du bureau pour ne pas qu'Hermione ait à se tenir sur la pointe des pieds plus longtemps, puis sans détacher leurs lèvres, il la souleva pour qu'elle puisse s'asseoir à son tour sur le bureau. La jeune lionne colla Draco par réflexe à elle à l'aide de ses jambes qui entouraient la taille du blond. Le baiser s'intensifia brusquement. Le serpentard voulait sentir Hermione encore plus proche de lui, il avait envie de la connaître par cœur, de connaître la douceur de sa peau, connaître son parfum, l'imprégner en lui. Mais il ne voulait en aucun la brusquer, il tira alors lentement sur le chemise de la brune pour l'enlever de dedans sa jupe, puis déboutonna lentement les deux derniers boutons pour ne pas lui faire peur. Pour une fois dans sa vie, il respectait une fille, et il ne voulait pas la faire fuir. Il l'aimait trop pour ça. Le serpentard passa ses deux mains sur le ventre de la jeune sorcière, puis sur les côtés, lui arrachant sans le vouloir un petit cris strident. Le vert et argent se détacha immédiatement de la griffondor, mais eu un petit rire en la voyant retenir un fou rire en se mordant la lèvre. Elle avait resserrer ses main sur es épaule du serpentard et s'était crispée tout de suite, ce qui ne voulait dire qu'une seule chose:

- Chatouilleuse Mione? Se moqua t-il en souriant.

- Non, pas du tout. Répondit la jeune femme en rougissant.

Draco leva un sourcil provocateur et réitéra son geste sur les hanches de la jeune femme qui se crispa instantanément en échappant un petit cris de souris.

- D'accord, peut-être un peu... Concéda t-elle.

Le serpentard eu soudain son éternelle sourire en coin, ce qui ne présageait rien de bon. Hermione le poussa pour pouvoir s'échapper. Elle descendit du bureau rapidement et courut vers sa chambre en riant, alors que Draco s'était lancé à sa poursuite. Il la rattrapa facilement et la souleva par la taille avant de la placer comme un sac, sur son épaule, puis l'allongea sur le canapé de la salle commune, lui à califourchon au-dessus d'elle pur ne pas qu'elle puisse s'échapper une nouvelle fois, et il l'attaqua en chatouille.

- Non... Arrêtes, arrêtes, arrêtes! Cria Hermione qui ne pouvait plus s'empêcher de rire aux éclts. Draco! Je t'en pris... Hahaha... J'ai mal au ventre!! Hahaha...

Le serpentard arrêta de torturer sa pauvre victime et la regarda reprendre sa respiration un sourire victorieux aux lèvres.

- Non... Fit-il. Pas du tout chatouilleuse!

- Mais qu'est-ce que j'ai fais pour mériter une telle punition?

- Trop de choses avant aujourd'hui, et t'étais trop mignonne avec ton cris de petite souris que j'ai pas pu résister!

- Cette excuse est bidon Draco.

Le jeune homme sourit au son de son prénom et embrassa amoureusement la griffondor. Hermione sourit lorsqu'elle sentit une nouvelle fois les lèvres du serpentard sur les siennes, avant de répondre à se baiser brûlant. Leurs doigts se cherchèrent, jusqu'à ce qu'ils les nouèrent ensemble. La rouge et or ressenti quelque chose lui faire mal au niveau de ses doigts, et sursauta à cause de la douleur, mordant sans le faire exprès Draco.

- Qu'est-ce qui te prends? S'étonna le jeune homme en s'écarta un peu.

- Excuses-moi, mais...

La griffondor prit la main noire du jeune homme et l'observa.

- Ta bague m'a fait mal.. Dit-elle en observant le bijou avant d'écarquiller les yeux en comprenant enfin la situation. Cette bague...

- C'est la bague que Pansy m'a offert pour mon anniversaire... Désolé, la prochaine fois je je penserai à l'enlever quand on sera tous les deux, dans cette position... Répondit le serpentard.

- Draco... C'est le seul objet que tu portes en permanence... C'est le suel objet qui touche ta peau. Tu ne l'as jamais enlevé depuis ta fête?

- Non jamais...

- Tes cauchemars ont commencé quand?

Draco écarquilla les yeux. Ses cauchemars avaient commencés exactement le soir de son anniversaire.

- Enlèves-la, tout de suite! Lui ordonna la brune.

Le serpentard ne se fit pas prier et enleva la bague de son doigt. Immédiatement, ses veines perdirent la couleur noir, et sa peau redevînt claire comme à son habitude. Le jeune homme n'en revint pas et s'assit correctement sur le canapé, Hermione en fit de mêm.

- C'était grâce à ça que tu étais lié à Lucius! Expliqua la jeune sorcière.

- Et donc c'est tout? Il fallait juste que je la retire pour guérir? Et le lien s'est annulé?

- Je pense que tu es bel et bien guérit, par contre pour le lien je ne suis pas sûre... Je pense que Lucius s'est bien lié à toi...

- Depuis tout ce temps, c'était cause de cette putain de bague! Ce qui veut dire que Pansy était une complice de mon père... Qu'elle salope!!

- Il faut qu'on la retrouve, elle a peut-être des informations sur ton père...

- Ouais, tu as raison. Qu'est-ce que je fais de la bague?

- Jette-là...

Draco jeta la bague dans le feu de la cheminée et une petite fumée noir sortie immédiatement de l'objet. Le poison.

- Bon... Soupira t-il. On va régler les comptes avec elle! Tu viens avec moi?

- Bien sûre!

Draco remis sa chemise et les deux jeunes sorciers t accourent jusqu'à la Grande Salle où le banquet allez bientôt commencer. Mais en chemin, ils furent stopper par une horde d'élèves qui étaient regroupés autour d'un élève évanouie, Blaise était avec lui. Hermione vit Théodore et Millicent et vînt à leur rencontre pour comprendre ce qu'il se passait.

- C'est Pansy. Expliqua Milly. On ne l'a pas vu de la journée, et elle a réapparut tout à l'heure, mais on aurai dit qu'elle n'avait pas mangé depuis des mois, et elle était habillée dans des vêtements plein de sangs et décolorés...

- Et puis elle s'est mis à délirer... Continua Théo. Elle nous a dit qu'elle était resté dans les cachots du manoir Malfoy depuis le mois d'Août et que Lucius avait prit sa place... Elle s'est évanouie...

Hermione regardant Draco ahurie.

- Le polynectar. Chuchota la lionne.

- Mon père était avec nous pendant tout l'été... Dit le serpentard en contenant tant bien que mal sa rage. Il nous a dupé pendant tout se temps pour me contrôler! Il frappa dans le mur violemment faisant sursauter tout le monde.

Harry, Ginny et Ron arrivèrent vers eux en courant.

- Mione! Appela Ginny.

Daphné arriva elle aussi, de l'autre côté du couloir. Elle attrapa la main d'Hermione pour ne pas trébucher.

- McGo viens de nous expliquer pour Lucius. Expliqua Harry. On veut être des vôtres! On veut vous aider. J'ai reconstitué l'ordre, et on est prêt.

- J'ai entendu Pansy parler. Déclara Daphné. Lucius est un salaud de première! Il l'a séquestrer pendant plus d'un mois pour prendre sa place auprès de nous!

- On va se battre! S'exclama Ginny. Comme on l'a toujours fait!

- Pourquoi vous vous en mêler, alors que ce ne sont pas vos affaires? Demanda Draco énervé.

- Parce que Hermione croit en vous les serpentards. Répondit Ginny. Alors, si c'est le cas, moi aussi, je veux vous donner un chance.

- Et puis on ne sait pas encore ce qu'il te veux, mais ce n'est sûrement pas pour te récupérer qu'il essaye de te contrôler. Il veut forcément que tu fasses quelque chose pour lui... Et s'il veut s'attaquer à l'école ou à Hermione, ça devient une affaire qui nous concerne tous! Renchérit Harry.

- Je n'ai pas besoin de votre aide! Se renfrogna Draco.

La griffondor qui l'accompagnait lui prit la main et la pressa doucement.

- On a besoin de tout le monde...

- ....Très bien... Céda le serpentard en encrant son regard dans celui de la jeune femme. Mais Potter, le premier qui voit mon père me l'amène vivant! C'est à moi de le tuer!

- Très bien. Accepta Harry.

- Poussez-vous! Cria Blaise, qui tenait Pansy dans ses bras et qui essayait de se frayer un chemin vers l'infirmerie. Lorsqu'il arriva à la hauteur de ses amis il dit:

- Dray, elle a dit quelque chose tout à l'heure. Ta mère était dans les cachots avec elle depuis la nuit d'orage!

Draco regarda Hermione en respirant rapidement comme si une idée lui était passée par la tête. Elle pouvait deviner ce qu'il voulait faire. Il voulait aller la sauver.

- Draco... Non... Il te tends un piège en se servant de Pansy! Tu crois vraiment qu'il te laissera la récupérer comme ça! C'est un piège, n'y va pas! Où alors on ira ensemble demain, lorsque le soleil se lèvera.

- Il est hors de question que tu sois impliquée là-dedans Hermione! Répondit le vert et argent en saisissant sa baguette, avant de se reculer à grand pas, gardant ses yeux plongés dans ceux de la brune......puis....... il transplana.

- NON DRACO! Cria Hermione en courant vers le jeune sorcier pour partir avec lui, mais Daphné et Théodore la retinrent.

- Il est parti Hermione... Déclara Daphné en essayant de calmer la griffondor.

- Il va se faire tuer le con! S'exclama Blaise avant de mener Pansy qui était maigre comme jamais, à l'infirmerie.

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