Chapitre 22 : Tatouages

PDV Izuku :

La vieille femme me traîne durement à travers les ruelles sombres. Je tente de tracer mentalement un plan des lieux mais je suis assez déstabilisé par l'atmosphère sombre et oppressante. Je peux entendre les pas de mes amis derrière moi (enfin surtout les bruits de Mineta).

La poigne de Madame Kimyōna se desserre légèrement lorsque nous arrivons devant un bâtiment en béton qui a l'air légèrement en meilleur état que les autres.

Mais pas de beaucoup...

En effet, les vitres de la devanture sont sales et sombres et présentent quelques fissures, la porte semble tenir sur ses gonds à grand renforcement de scotch et sur l'enseigne en bois moisi on peut lire « Chez Madame Kimyōna ».

Ça donne très envie d'y entrer...

- Mais dans quoi tu nous a embarqués Tenya... gémit Toru.

- Chez une vieille bizarre, répond Mezo, pragmatique.

- Je vous entends hein, les interrompt la concernée avant de me traîner à l'intérieur.

L'intérieur est un véritable fouillis d'objets divers et variés, en plus ou moins bon état.

- Voici ma noble boutique, clame la vieille femme sans lâcher mon bras. Faîtes comme chez vous.

Je ne comprends pas pourquoi elle reste accrochée à moi. C'est assez louche si vous voulez mon avis... De plus, sa main palpite : elle presse mon bras de façon discontinue.

Qui fait ça franchement ?

Je soupire et mon regard se pose naturellement sur Ochaco, qui tripote une figurine de morse d'un air peu intéressé.

Morse...

Mais oui !

Je me concentre sur la sensation de la main de Mme Kimyōna sur moi.

Trois pressions rapides, trois lentes, et trois rapide.

Le code morse de base...

Le fameux SOS...

Un frisson me parcourt l'intégralité du corps lorsque je comprends que la vieille nous a attirés ici pour que l'on vienne à sa rescousse.

Ne voulant rien laisser au hasard, je lui jette un coup d'œil équivoque et elle hoche imperceptiblement la tête.

Ayant compris que son message est passé, elle me lâche et je déambule dans la boutique, les sens en éveil, cherchant la trace d'une éventuelle menace.

- Tout va bien Deku ? me demande Ochaco tandis que ça fait cinq bonnes minutes que je fixe une boule de cristal en plastique.

Je lui attrape la taille - de façon purement hum... héroïque - et la rapproche de moi de façon à ce que ma bouche soit juste à côté de son oreille.

- Euh... je-euh... balbutie-t-elle.

MAIS QU'EST-CE QUI M'A PRIS ? POURQUOI J'AI FAIT ÇA ?

Je peste intérieurement contre moi-même avant de murmurer à la brune.

- On a un problème.

Surprise, elle lève ses grands yeux vers moi.

Purée pourquoi elle doit être aussi jolie ?!

BREF, c'est pas le moment.

Rapidement je lui explique la situation avant de lui dire d'aller informer les autres tandis que je poursuis mon inspection.

PDV Ochaco :

Évidemment ça ne pouvait pas se passer normalement. C'était trop demander de pouvoir faire une sortie au centre commercial NORMALE.

Déjà que la dernière fois Deku s'était fait agresser par l'autre fou furieux...

Je claque mes joues rosies. Mais qu'est-ce qui lui a pris de m'attraper comme ça ? Il aurait pas pu juste...

Bon je sais pas.

Par contre ce que je sais, c'est qu'on est mal. On est en terrain inconnu, dans un quartier mal-famé, sans réseau (j'ai vérifié), et sous une potentielle menace.

GÉ-NIAL.

J'attrape à la volée Toru, qui se laisse emporter avec un bruit de protestation.

- Oh, Toru ! Tu as vu ce magnifique... euh...

Je jette un coup d'œil décontenancé au truc que je viens d'attraper au passage. La forme est très... étrange et je n'ose même pas lire l'étiquette... J'ai peur d'avoir compris...

- Ochaco t'es au courant que c'est un v-

- On s'en fiche, la coupé-je en rougissant. Une menace plane sûrement sur nous, ajouté-je plus bas.

Je lui explique dans les grandes lignes ce que Deku m'a dit et elle pousse un soupir exaspéré avant d'aller annoncer la chose à Mashirao.

- On est vraiment des aimants à ennui, se plaint-elle.

Dans la plus grande des discrétions, j'informe ensuite Mezo de la situation.

- Je vais ouvrir les yeux et les oreilles, déclare-t-il avec un grave hochement de tête. Je vous dis si je repère quelqu'un ou quelque chose.

Je le remercie en souriant avant de parcourir la petite boutique délabrée. Normalement Toru se charge de prévenir les autres donc je tente moi aussi de détecter la source du danger.

Cette vieille ne nous aurait quand même pas menti ? Enfin je veux dire, elle nous donne bien peu d'informations je trouve, on est censés faire quoi exactement ?

Je rouspète donc intérieurement avant d'être prise de compassion pour cette pauvre commerçante qui doit être effrayée de la situation.

Ou pas...

Mais dans tous les cas, ça doit bien l'embêter tout ça.

Un hoquet de surprise retentit quand Mineta apprend la nouvelle - enfin c'est ce que je suppose -, et je lève les yeux au ciel en me dirigeant vers le comptoir de la caisse.

Madame Kimyōna se trouve derrière, à refaire les comptes de la caisse. Elle me toise de son regard froid et je déglutit. Elle a l'air d'une dure à cuire. La menace doit quand même être assez importante pour qu'une femme comme elle demande de l'aide à des adolescents.

Bon, ok, des apprentis héros. J'imagine qu'elle a dû voir Deku au championnat, c'est vrai qu'il a été sacrément fort !

- Désirez-vous quelque chose ? me demande la commerçante.

- Euh... est-ce que vous pouvez me montrer où sont les...

- Les aiguilles ? Je vous y conduit.

Son regard me transperce et me fait frissonner. Je déglutit et acquiesce avant de la suivre dans le dédale du bordel de son magasin.

J'imagine qu'il doit y avoir une organisation... bien qu'elle soit très très brumeuse.

Nous finissons par arriver dans un coin plus sombre de la boutique.

Je sens les cheveux sur ma nuque se hérisser face aux malaise et je renverse volontairement une casserole.

Je sais que Mezo l'a entendue. Il pourra avertir les autres si quelque chose arrive.

Et évidemment quelque chose arrive.

J'ai à peine fait un pas de plus qu'une main m'attrape violemment les cheveux et plaque un couteau sur ma gorge.

- Tu bouges, t'es morte.

Je me fige, Mme Kimyōna aussi.

La personne qui me retient en otage a une voix de vieux mafieux toxicomane, ce qui m'étonne à moitié.

J'observe la main qui tient le couteau. Ô surprise, elle est couverte de pleins de tatouages représentant probablement ses douleurs sombres et enfouies de badboy. Pauvre bichon.

- Bon, écoutez monsieur...

- On m'appelle Dark Wolf Scar.

- Monsieur Dark Wolf truc. J'imagine que vous vous attaquez à moi parce que je parais sans défense mais ce n'est pas le cas, donc je vous propose de me relâcher, à moins que toi et tes petits potes ne tiennent réellement à se faire réduire en pâtée pour tortue par moi et mes amis.

Waouh, je m'impressionne moi-même d'avoir réussi à dire ça sans trembler ni bégayer. Non parce qu'à l'intérieur je me p- restons poli, je suis assez effrayée.

- Joue pas avec moi ma jolie, souffle Dark-Truc en me balançant son haleine fétide de beuh à la figure. Moi et mes potes comme tu dis, on encercle tout le magasin et tes petits camarades et toi êtes pris au piège ; tu peux remercier la vieille.

Celle-ci lui jette un regard mauvais.

- Donc tu vas obéir bien sagement... Ce serait dommage que le petit vert se retrouve privé de ses bijoux de famille non ?

Il croit vraiment qu'il m'effraie ? Haha ! Je rigole bien moi !

...

Bon ok, j'ai un peu peur. Mais ça c'est uniquement parce que je m'inquiète pour mes amis !

Pour l'instant la seule chose que je puisse faire, c'est obéir pour récolter le plus d'infos possible, je lui arracherai les intestins plus tard.

- Avance, grogne Bidule en maintenant le couteau contre ma gorge tout en me lâchant les cheveux pour me mettre une petite tape au fesses. Si t'es bien sage, je te promets d'être un peu moins violent que prévu lorsque je m'amuserai avec toi, ajoute-t-il d'un ton « enjôleur ».

JE VAIS OFFICIELLEMENT L'ÉTOUFFER AVEC SES TATOUAGES.

Respire Ochaco, respire, retiens toi de lui arracher le visage pour le donner à manger à... à... aux chats de M. Aizawa ! Bon, pauvres chats...

Il me conduit jusqu'au « centre du magasin », autrement dit un endroit où il y a un peu moins de bazar, et lance de sa voix sombre et rauque :

- Tous les gamins présents dans le magasin ! Je détiens votre petite copine aux joues rondes alors rejoignez moi SANS FAIRE D'HISTOIRES ! Nous savons exactement combien vous êtes alors essayez pas de nous la faire à l'envers sinon couic !

PDV Tenya :

CA-TA-STROPHE ! Mais dans quoi nous ai-je fourrés ?!

Je ne me pardonnerai jamais... j'ai mis mes camarades en danger ! Et maintenant ils détiennent Uraraka !

Nous sommes tous rassemblés autour d'un bandit au visage caché par un bandana orné d'une tête de mort. Il est tout de cuir vêtu et possède de gros bras recouverts de tatouages et tient dans une de ses mains un étrange couteau noir à l'apparence liquide plaqué sur la gorge de notre camarade, qui a l'air d'être plus qu'agacé d'être la victime de service.

- Relâchez-la ! s'écrie Hagakure.

Je vois Midoriya serrer les poings, lui aussi a l'air énervé.

Le grand gaillard lâcher un rire malsain.

- J'crois pas non... Vous allez tous gentiment nous suivre... On va vous vendre à prix d'or sur le marché noir ! L'élite de Yuei !

Il nous toise tour à tour de son regard ténébreux, comme si nous étions des bouts de viande.

- Le frère d'Ingenium, une fille invisible - faudra faire gaffe à elle -, un singe humain, un alter de poulpe, un autre anti-gravité qui appartient à une très jolie demoiselle, un enfant et le plus grand adversaire de Tomura Shigaraki... Oh oui c'est des belles prises que tu nous as ramenées Kimyōna... pas vrai les gars ?

Je me retourne d'un bond et constate que nous sommes encerclés par une dizaine de gangsters tous armés jusqu'aux dents.

- Je ne l'ai pas fait pour toi, grince la commerçante, les dents serrées. C'est tout ce que je pouvais faire face à ton maudit chantage.

Le chef des bandits l'ignore et raffermit son emprise sur Uraraka et fait un signe de tête à ses sous-fifres, qui se rapprochent de nous d'un air menaçant.

Nous devons agir ! Nous ne pouvons pas nous laisser faire ! Après tout, ce n'est qu'un groupe de malfrats, on a déjà vu pire...

J'échange un regard avec Hagakure, Mineta, Ojiro et Shoji, Midoriya, lui, a les yeux fixés sur son amie dont les yeux flamboient de rage. Nous sommes tous d'accord.

3...

Les bandits font un pas vers nous, riant de notre impuissance.

2...

Ils sont juste derrière nous. Ils ont vraiment l'air de croire que la victoire leur est acquise.

1...

Quels idiots ! Nous ne sommes pas l'élite de Yuei pour rien !

Maintenant !

Uraraka balance un énorme coup de pied dans l'entrejambe du boss qui se plie en deux et lâche son poignard, qui se volatilise. Elle active aussitôt son alter pour l'envoyer au plafond afin de le mettre hors d'état de nuire pour le moment.

Je fais un rapide décompte de nos adversaires, ils sont onze. Nous sommes en infériorité numérique.

Je n'ai pas le temps de creuser la question qu'un imbécile en cuir m'attaque, ses crocs (sûrement son alter ) sortis, dans l'optique de me mordre.

Je lui réponds par un puissant coup de pied, qu'il esquive juste à temps.

Ses attaques sont désordonnées mais il est très rapide, ce qui le rend redoutable. Le duel s'éternise et, entre deux coups, je distingue un bandit qui paraît tourmenté par une ombre invisible, un autre au corps à corps avec Ojiro, un de plus aux prises avec Uraraka, un qui se fait bombarder de boules collantes, deux qui affrontent Shoji, et trois contre Midoriya. Le dernier d'entre eux est aux prises avec Madame Kimyōna, qui semble contrôler une armée d'aiguilles.

Le patron vocifère des ordres pour qu'on le fasse descendre mais tous ses acolytes sont bien trop occupés à se battre.

Je parviens enfin à assommer mon adversaire avec mon recipro burst. Je risque sûrement de surchauffer mais je n'avais pas le choix.

- Tenya ! hurle Izuku. Va chercher la police, c'est toi le plus rapide !

Je n'ai pas envie de les laisser mais... je n'ai pas le choix ! C'est moi le délégué et en tant que tel, je dois faire ce que mes camarades et, en l'occurrence, je dois aller chercher des renforts !

•••

PDV Izuku :

Je parviens enfin à attacher mon dernier opposant à ses camarades à l'aide d'une corde. Ce n'était pas de tout repos ! J'ai plusieurs estafilades sur les bras et les jambes et une quantité de sang inquiétante coule d'une blessure à mon ventre. Mais miracle ! Je n'ai rien de cassé !

Je ne peux pas en dire autant de Mashirao, qui se tient le bras avec une grimace douloureuse, assis sur son adversaire évanoui, tandis que Toru cherche des bandages avec l'aide de la propriétaire de la boutique.

Tous les bandits ont été ou assommés, ou ficelés comme des saucissons. Le magasin est encore plus désordonné qu'à notre arrivée : des tas d'objets sont tombés de leurs étagères, d'autres sont brisés et des couteaux et des armes en tous genre, ainsi que des boules collantes jonchent le sol.

- Tout va bien Deku ?

Je reprends peu à peu ma respiration.

- Oui, soufflé-je. Mais c'était plus dur que prévu.

Ochaco pose sa main sur mon épaule avec un sourire compatissant. Pris d'une impulsion, je lui attrape le bras et la serre contre moi.

- Tout va bien ? soufflé-je.

- J-je... oui.

- Tant mieux...

Nous restons comme ça quelques instants, le silence de l'endroit uniquement troublés par les paroles de nos camarades qui pansent leurs blessures. Tenya ne devrait pas tarder à revenir avec la police.

Soudain, un détail me revient à l'esprit me faisant frissonner. Je m'éloigne d'Ochaco et la prends par les épaules, plongeant mon regard dans le sien.

- Où est le chef ?

Son visage se décompose. Il a disparu.

Évidemment, elle a désactivé son alter durant le combat, faisant redescendre le boss.

- Oh non... gémit-elle. Je suis tellement bête... pourquoi je ne l'ai pas assommé ?

- On va le retrouver, la rassuré-je.

Je me plonge dans mes réflexions. Il va falloir dire aux autres de bien surveiller les captifs, pour ne pas qu'ils s'échappent de nouveau. Seulement Mashirao ne peut plus se battre et Mezo a l'air épuisé, tout comme la réserve de boules collantes de Minoru, dont la tête dégouline de sang. Il ne reste plus que Toru pou-

- Deku !

Le cri d'Ochaco me sort de ma litanie interne, et nous nous écartons brusquement tandis qu'une étrange chaîne noire fuse entre nous deux.

Je me retourne brusquement vers la silhouette du chef des bandits, qui tire la chaîne vers lui avec un ricanement.

- Dommage, soupire-t-il.

Je distingue Ochaco disparaître parmi les rayonnages en me désignant le centre de la boutique tout en articulant silencieusement quelque chose.

Championnat...

J'ai compris !

Je toise le vilain dont la chaîne a disparu. Il arrache son bandana ainsi que son haut, dévoilant un torse musclé et peint d'une multitude de tatouages représentant tous des armes entremêlées les unes avec les autres. Il passe sa main sur l'un d'entre eux, qui figure une épée, et l'arme en question apparaît dans sa main, noire et rutilante, avec un aspect liquide qui rappelle l'encre du tatouage.

Ainsi donc son alter et de faire apparaître ses tatouages dans la réalité. Cependant de ce que j'ai vu, s'il lâche l'objet celui-ci disparaît.

Il se lèche les lèvres. Même elles sont tatouées. Une aura ténébreuse et avide plane autour de lui, il tient à se venger pour l'affront qu'on lui a infligé.

J'attends qu'il vienne à moi.

Soudain, il se jette vers moi, épée en avant, pour tenter de me transpercer avec celle-ci. Je l'évite, sautant par dessus lui en activant mon alter avant de le saisir avec mon fouet noir pour le soulever afin qu'il s'écrase derrière moi. L'impact provoque une fissure dans le sol mais il se relève aussitôt, titubant légèrement.

Je ne lui laisse pas le moindre répit, et lui ne m'en laisse pas non plus. Nous nous attaquons sans relâche et, petit à petit, je l'attire vers le centre de la petite boutique.

Nous nous séparons avant de nous toiser mutuellement.

Il est dans un sale état : une de ses chevilles est rouge est gonflée, tous comme son visage, qui commence à bleuir à cause de mes nombreux coups. Son torse est couvert de bleus et dégouline du sang s'écoulant de son nez cassé. Il me fixe d'un air hargneux avant de recracher une dent.

Quant à moi, un de mes doigts est tordu à un angle horrible et me provoque une douleur atrocement familière. Je suis couvert de coupures et de sang mais tout cela n'est que superficiel. Mon visage reste tordu dans une grimace de défi, je ne perdrai pas ce combat.

Et pour cela, j'ai de l'aide. Je m'élance d'un bon vers lui et lui saute sur le torse, le faisant s'échouer en arrière dans un craquement dégoûtant. Il ne peut plus bouger pour le moment. Je saute à nouveau et me met le plus loin possible de lui.

- OCHACO MAINTENANT ! hurlé-je.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Une montagne d'objets et de débris en tous genre tombent du plafond et se fracassent sur lui, l'ensevelissant et le mettant hors d'état de nuire.

Ça a marché !

Je pousse un cri de joie, imité par mes camarades qui ont assisté au combat sans pour autant pouvoir y prendre part.

Ochaco court vers moi avant de me forcer à m'installer près de Mashirao.

- Bravo ! me sourit-elle. Tu as assuré ! Comme un héros !

- Toi aussi, lui réponds-je amoureu- AMICALEMENT.

Je lui tends la main pour lui faire un check mais au lieu de ça, elle me pose un baiser sur la joue et me plante là, rejoignant Toru pour récupérer du désinfectant et des bandages. HEIN ?

Mon cerveau s'éteint et je me retrouve à sourire comme un débile.

Enfin, les sirènes de police retentissent et un inspecteur rentre avec fracas, pistolet en avant, et admire le bordel que nous avons provoqué.

Je ferme les yeux. La situation est bien en main.

À suivre...

-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-
Et voilà ! J'espère que ça vous a plut !

Désolée de publier aussi tard, mais je pense que vous avez l'habitude, puisque maintenant je publie tout le temps durant la nuit de lundi à mardi xD !

Évidemment que je n'ai pas écouté ce que vous m'avez dit 👁️👄👁️, je garde le meilleur (le Kirimina) pour la fin voyons ! UwU

J'ai fait exprès de pas trop décrire le combats, parce que je suis pas super à l'aise avec ça et que je voulais pas tout gâcher -.-'... Mais bon, après relecture, je trouve toujours pas ça top, sorryyyy •~•.

Hum... c'est vrai que ce chapitre et ceux qui vont suivre n'abordent pas le ship principal de la fanfic, mais on verra les autres ships... J'espère que ça vous dérange pas 😭

Sinon pour les personnes abonnées, vous avez peut-être vu l'annonce disant que j'allais probablement écrire un chapitre bonus pour fêter les 100 abonnés ! Donc vous pouvez me donner vos idées (même si c'est pas clair, je prends quand même OwO), juste ici ! ->

Bref, à la prochaine !

🫶🏼

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