liChapitre 1. Une fuite de courte durée

Voici, donc la version non corrigé du premier chapitre d'Oméga.

Je croise les doigts pour que cela vous plaise. en attendant bonne lecture.

Chapitre 1 : une fuite de courte durée.

"La maladie est un avertissement qui nous est donné pour nous rappeler à l'essentiel"

Je n'ai pas de nom, du moins je n'en ai plus. Je suis recherché.

Non, je ne suis pas une criminelle, mais une des meutes, les plus puissantes de d'Amérique et d'Asie associés, me recherche activement. Pour préserver ma liberté, je me suis enfui, mais je n'ai en échange obtenue que le statue de fugitive, sans meute fixe, je suis une louve solitaire, une louve oméga. Ce simple fait serait une raison d'arrestation, une femelle ne peut consciemment devenir une solitaire, alors une oméga, encore moins. Les oméga doivent être tenus au chaud dans des meutes sécurisées, car ils sont destinés aux alpha à travers le monde. Mais je n'en veux pas, je ne veux pas être dépendante par ma soumission, la soumission d'un oméga est un cadeau, doit être cadeau, et je n'en ferrait présent à personne. J'ai peut être trouver mon destiné, mais ce dominant froid et autolâtre, je n'en veux pas. Qu'il se trouve une autre soumise ça m'est égale.

En sortant de mon appartement, j'enfilais mes moufles, après avoir chaussé mes lourdes bottes et embrocher mon bonnet en laine sur ma tête, je soufflais pour chasser une mèche de mes cheveux me revenant au visage, j'avais pourtant pris soin de m'attacher les cheveux par précaution. Mais ils étaient aussi sauvage que leurs couleurs criardes l'indiquaient, héritage génétique chez les femmes de ma famille. En effet je suis une louve rousse, vous pourriez vous demander ce que je peux bien faire dans ces régions polaires, alors que je viens des régions écossaise, mais je me pose également la question. Je vais vous conter mon histoire, mais d'abord je vais me remettre bien au chaud et me prendre une tasse de café bien chaud au cofee-shop du coin.

Du temps ou ma mère était encore une jeune louve oméga, et n'avait pas encore rencontrée son destiné, elle voyageais à travers le monde, les pôles comprises, elle était en soif d'aventure, de mouvement à trop être confinée au sein de sa meute, elle avait un instant de liberté très puissant malgré sa condition. Elle ne cherchait pas particulièrement son alpha, mais ne si opposait pas pour autant, elle acceptait ce fait, si un dominant de la ville ou elle passait, réclamait de la rencontrer, elle n'avait rien contre, c'était une femme très patiente et généreuse, le caractère des oméga est en règle générale facile. Elle se pliait aux demandes, jusqu'à ce qu'un alpha en particulier pose problème, en l'occurrence, un alpha urbain, ce qui est plutôt rare, car les loups sont des animaux attachés à leurs origines, ils ont besoins de grandes pleines, de forêts, de grands espaces, pour courir, chasser, ce que la ville ne leur fournit pas. Enfin bref, c'était l'alpha de la meute du Texas, il voulut la marquer de force, c'était un loup fou, à force de ne pouvoir courir, dominée par la violence de son être. Elle fuira, loin de lui, sans demander son reste. C'est dans les pleines Brésilienne qu'elle trouva son futur mari, un alpha sage et généreux, comme il en existe peu, qui dirigeais sa meute sans violence, ni intimidation, plus comme une famille. Pas de combat de caractère, pas d'antagonisme. C'est dans ce contexte, qu'elle donna naissance à une petite fille, qui lui ressemblait comme deux gouttes d'eau, une louve rousse oméga, mais plus endurci, plus puissante, moins patiente, moins facile de caractère, mais une oméga tout de même, elle fit le bonheur de ses parents, et de son entourage. Mais l'alpha Texan n'en avait pas fini avec ma mère, il avait réunis sa meute tant bien que mal, et avait attaqué la meute, pour récupéré l'oméga. L'alpha Brésilien, plus faible, moins puissant, perri sous les coup de son adversaire, qui fut à son tour tué. La meute fut déchiré et le peux qu'il en restait s'éparpilla à travers tout le monde, la jeune mère oméga, mourra à son tour suivant son compagnon de quelques mois, laissant derrière elle, involontairement sa fille d'à peine 13 ans d'âge.

Un oméga une fois qu'il a rencontrer son destiné, ne peux s'en séparer, sans dépérir peu à peu, la mort de l'un entraîne systématiquement la mort de l'autre leurs âmes étant intimement lié entre elles.

Cela fait maintenant près de 2 mois que j'ai rencontrée et quittée le mien.

Son visage hante mes nuits, j'ai perdu du poids et de la masse musculaire, ma louve hurle continuellement. Mais je n'en démord pas, quand à mourir, je veux mourir libre. Mais plus le temps passe plus les recherches se font intense, Kylian à conscience de ce phénomène. Mais il a une meute à gérer, il va abandonner à un moment ou à un autre, en effet, le phénomène, n'a pas un effet aussi définitif, fatal sur les alpha. Ils ont une aura plus puissante. Tant que les âmes ne sont pas définitivement liés, le mécanisme de dépérissement n'atteint que l'oméga.

Le but étant de pousser les oméga les plus réticents à rejoindre leurs destinés.

Bientôt, il allait falloir que je me déplace, je changeais de lieux à une fréquence d'à peu près deux semaines. J'ai eux de la chance jusque là de ne jamais me faire repéré. La meute pouvait certes difficilement faire passer des messages télévisés ou dans les journaux, ils devaient passé par des intermédiaires plus classique, la communauté inter-meute, j'avais pensé d'abord, leurs demander de l'aide, mais après réflexion, j'en avais conclue, qu'ils ne me serraient d'aucun aide, ils ne me comprendraient pas, ils ont en charge d'aider les métamorphes, et aider à en tuer une, n'en faisait certainement pas parti. Le problème qui allait bientôt ce poser à moi était qu'il fallait que je retire de l'argent au distributeur, alors je me ferrais repérer, mais je n'avais plus le choix. Ayant prévenu l'ensemble des meutes de l'état, dès que j'entrerais le numéro de mon compte bancaire sera repéré, et la meute me sautera dessus dans les minutes qui suivront, je vais devoir être efficace et rapide. Trouver un coin isolé, et m'enfuir le plus vite possible. Mais surtout, je devais trouver une nouvelle ville reculé. Déménager mes affaires, pour ne plus rien avoir à faire dans ma ville du moment. Je m'attelais dés à présent à la tache, n'ayant que très peu d'affaire, cela fut aisé, je trouvais un petit village à quelques bornes de là. Je passais dés à présent à le seconde étape, la plus ardu.

Je passais ma carte au distributeur, tapais mon code, les doigts tremblants, la machine chargea un peu, je retirais le maximum d'argent, et le fourrais au fond la poche de ma veste. Je me retournais, pour me retrouver face à deux alpha, que je n'avais évidement pas entendu arriver à cause de ma faiblesse physique et de la guerre ouverte que me livrait ma louve, affaiblissant mes sens.

Le plus grand, je ne le connaissais pas, il était grand et musculeux, aucune élégance, un visage taillé à la serpe. Le deuxième, évidement était le seul loup que je ne voulais absolument pas voir. Cela ne mérite aucune précision de ma part

« Nous ne te voulons pas de mal, Oméga. » grommela l'alpha de la ville.

Je ricanais. « Mais oui, et je dois vous croire sur parole. »

Je reculais vainement, m'acculant contre le distributeur.

« Pourquoi, ne viendrais pas tu avec nous, Oméga, tu as l'air bien mal en point »

« Non, vous allez me laisser partir, vous ne pouvez pas m'y forcer. »

Je me concentrais sur l'alpha qui me parlais directement, alors que ma louve me griffais de l'intérieur. Pourtant cette fois, c'est le jeune alpha qui me parla.

« Néanmoins, tu sais que j'en ai, moi, le droit. » Je continuais à regarder l'autre, rien que la gentillesse de sa voix me faisait du mal.

« Non, je ne veux pas, tu dois me laisser choisir. »

« Je ne peux pas te laisser choisir la mort, voyons ! »

« Mais si, si c'est ce que je souhaite. »J'essayais de répliquer durement, mais ma voix s'éteignait.

« Comment peux tu faire cela, sans même me connaître ?»

« Mais, je ne pas besoin de te connaître, pour savoir quel genre de personne tu es. »

« Comment peux tu dire cela ?»

Je haussais les épaules.

« Mais regarde moi, au moins ! »je pouvais constater qu'il commençait à s'agacer.

Si les dominants sont connu pour leur caractères de chien ce n'est pas pour rien, à vous souffler, le chaud et le froid sans arrêt.

Je ne voulais pas, je savais ce que cela voudrait dire, ma louve aussi et c'est pour cela qu'elle me poussa à le faire.

Je croisais son regard, et y trouvais une souffrance si profonde, qu'elle me troubla durant un instant. Il avait également maigris, ses traits étaient fatigués, mais il était toujours aussi mortellement beau. Ce que je comprenais pas c'était son tourment.

« Comment... » mais ce moment que ma louve choisi pour essayer de sortir.

Mes genoux lâchèrent, je m'écroulais sur le sol en béton, des griffes remplacèrent mes ongles rongés, des crocs prirent la place de mes dents. Ma louve avait trouvé son point d'encrage pour prendre le contrôle.

J'essayais de stopper la transformation, du mieux que je pouvais, je poussais un hurlement, plus animal qu'humain.

J'essayais de me traîner loin d'eux. Mais je perdis conscience, en voyant Kylian se baisser sur moi.

Je me réveillais doucement en même temps que le levé du soleil, tout était paisible, je reposais sur un matelas moelleux et un doux cocon de couvertures me paupières toujours fermé je sortais doucement de mon inconscience, encore dans le flou.

Je pouvais presque m'imaginer à la maison, avec dans la chambre à côté, papa et maman qui dormaient encore paisiblement, serrés dans les bras l'un de l'autre.

Je me retournais, du moins j'essayais, car mon bras semblait entravé par quelque chose. J'ouvris brusquement les yeux reprenant vie à la réalité. Rien que ce subtil mouvement, provoqua un mal de tête à en gémir et ce mettre dans une position fœtal, mais étant donné mon état... Une évidence me frappa.

Je n'étais pas à la maison, plus avec mes parents, je n'avais plus dans la dizaine, je n'était plus dans la première décennie de ma vie... je n'étais plus innocente, je l'avais perdu, il y a bien longtemps, avant même d'avoir atteint l'âge adulte, au moment du décès de mes parents, du massacre... ce lieu ne m'étais pas familier ce qui suffisait en soit à m'iquiéter. La lumière filtrait doucement à travers les rideaux d'une chambre totalement inconnu, bien que chaleureuse, la pièce était dénudé d'aura, de trace de vie, hormi la mienne, bien sur dans sa fragilité vacillante, j'étais seule, pas que cela m'atteigne particulièrement, par contre j'avais bien une autre raison de m'inquiéter, par exemple : en tournant doucement la tête, car j'étais encore un peu étourdis, je vis mon bras attaché à une perfusion. Je secouais la tête et voulus l'arracher, mais je me rendis compte de bien pire, mon autre bras était lié au lit par une paire de menotte (non mais franchement!) je tentais de tirer dessus mais mes forces étaient au plus faible, mon corps était tout engourdis. Je me demandais, s'ils ne m'avaient pas drogué, mais j'émis des doutes, même sans s'en être donné la peine, je m'étais affaibli moi même, preuve en était de mon inconscience

« De ton obstination, plutôt s'exclama mon inconscient »

Le étant plutôt le contraste entre le lien à mon poignet et l'oreiller et le matelas confortable... c'était à se donné migraine, ce à quoi je ne tenais pas franchement, et même la menotte me laissais plus ou moins libre de mes mouvements. Et puis il me semble à présent plutôt évident, qu'ils me nourrissent également grâce à l'intraveineuse. Car mes forces me revenaient peu à peu. Mon teint, déjà pâle qui au court de ma privation avait viré au terreux, était redevenu d'une couleur tout à fait acceptable, ma peau était chaude, et plus complètement glacial, contraste méritant d'être exposé, sachant que la température corporel des lycanthrope était supérieure de plusieurs degrés à celle d'un simple être humain. Mes cheveux avaient repris du poils de la bête (Ha, ha ! Pas sur que cela m'aie tellement manqué), ils avaient repris de leurs vitalités, ils flottaient presque, en de douces boucles rubis. Je semblais à vue d'œil avoir repris quelques kilos, pour le moins nécessaire, à ma santé physique. Mais tout cela ne pouvait signifier, qu'une seule chose, ils m'avaient retrouvés, un flash de souvenir, m'arracha une grimace de douleur et de déplaisir, poussant ma louve à me grogner dessus.

« Toi, je ne t'ai rien demander, tu en as déjà assez fait ! » grognais-je à mon tour.

(Non, mais!)

Elle gémit mais se tut.

En effet, je voyais encore l'ange vengeur, se pencher sur moi juste avant que ma louve ne prenne le contrôle qu'elle pensait nécessaire.

Malheureusement, la nourriture seule ne suffit pas dans mon cas à me pousser loin de l'abscisse, vers laquelle je m'était si volontairement précipitée. Non, la présence seule, de cet ange déchu, pouvait me redonné la vitalité que j'avais perdu au profit de ma liberté.

Et là, les menotte me le prouvait de façon imagé.

Perdu la liberté, dont je rêve chaque nuit, entre autre choses...

On me dirais certes je suis vivante, mais je ne vais pas perdre le but de tout ces soins méticuleux qui m'étaient procuré, me manipuler... et c'est définitivement hors de question, je ne veux pas de leur alpha... à ça, non !

En parlant du loup, qui vois-je apparaître à ma porte ? L'alpha à la gueule d'ange.

Il s'avança dans la pièce de sa démarche féline. (Les chiens ne font pas des chats...).

Il annonça doucement de sa voix grave.

-Dés que tu t'es retransformer, nous t'avons soigné, il jeta un regard à la perfusion, puis nous t'avons attaché pour plus de sécurité...

Je haussais un sourcil,

-La sécurité de qui ?

Il ricana.

-La tienne évidemment, c'est d'ailleurs pour cela que nous avons utilisé un métal avec un pourcentage, très faible d'argent*...

-Comme c'est généreux, le raillai-je

Kylian se rapprochait doucement du lit, d'un pas tranquille, sans mouvements brusque, comme pour éviter d'effrayer sa proie. Je me serais bien reculé, mais je ne pouvais guère, avec le mur derrière moi, et mon poignet attaché.

Je le laissais donc s'approcher, faignant une assurance, que je ne possédais pas.

Il s'assit sur le rebord du lit, sans rien dire pendant un moment se contentant de m'observer avec une possessivité qui m'ulcérais, mais le plus étonnant étant son soulagement sous-jacent. Comme s'il se trouvait réconforté de me voir près de lui, en « sécurité » dans et sous la protection de sa meute.

« Tu ne dis rien ? »

« Je n'ai rien à dire »

Il m'observa dans l'expectative.

« Que veux tu que je dise ? »

Il s'amusa.

« Ha, parce que maintenant tu ferais ce que je te demande... ? »

Je me contentais de hausser les épaules.

Devant mon silence il se contenta de me demander.

« Pourquoi fuir ? »

Je soufflais devant l'intensité du regard qu'il fixait sur moi, j'aurais bien aimé pouvoir garder le silence, mais je n'en avais point la capacité, déplorai-je.

« Je n'avais pas le choix... »

Il attendait visiblement un complément, mais je me contentais de ces quelques mots, j'avais beau être une oméga, je ne n'avais pas pour autant une personnalité particulièrement soumise, il me demandait de répondre, je le faisais...mais cela s'arrêtait à ça. Ce sont les instincts de ma louve qui me pousse à la soumission, mais elle n'est qu'une partie de moi, et il se trouve que je ne souhaite toujours pas perde cette liberté que ou que j'aille, j'emmène dans ma valise. J'ai trop souffert pour simplement m'avouer, à chaque fois et si facilement vaincu. Là où les omégas apportent paix et sérénité, je n'apporte que chaos et destruction comme bagage, et croyez moi, il est bien trop lourd pour moi.

Il posa ses mains à plat sur le duvet du lit, sans pour autant faire mine de trop m'approcher.

Sage décision.

« Pourtant, rien ne t'y obligeais. »

Je sifflais entre mes dents serrés.

« Ho, que si ! »

« Pourquoi ne pas vouloir me parler ? » sa voix semblait douce, accommodante, mais je ne mis trompais pas.

« Mais si je parle. »

« Pourquoi, ne me regardes tu pas alors ? » cette fois il semblait un peu amusé.

Je fus donc obligé de tourner le regard, que juste là, j'avais obstinément gardé fixer sur le draps à motif linéaires du lit, vers lui.

Il était un peu trop proche selon, moi. Et selon la louve pas assez.

Je sentais sa chaleur corporel, si près. Son odeur de foret agressait presque mes sens sur-développés. Je plongeais mon regard dans ses prunelles saphirs, voilés par de long cils clairs, presque féminins, rehaussés de sourcils blonds fournis.

Il n'avait hormis cela rien de féminins, acceptant ses longs cheveux de blé.

Il avait un nez petit et fin, aux allures aristocratiques, une mâchoire carré, voilé d'un ombre de barbe, bien rasé. Des lèvres fines et en ce moment souriante, ou du moins espiègle, le rajeunissant de quelques années tellement ses traits ce détendaient. Je relevais les yeux pour voir la lueur presque prédatrice qui faisait briller ses yeux.

« Ce que tu vois te plaît ? »

Je grimaçais. (Prise la main dans le sac.) Puis me mordillais la lèvres, sans répondre. Je sentais poindre une rougeur révélatrice, sur mes joues, à ma plus grande honte, comme si j'avais encore 15 ans...

Il renversa sa tête en arrière en s'esclaffant.

Son rire était chaud, et grave.

« Hé... » m'exclamai-je pour tenter de stopper son hilarité.

Ce qui ne fis que la renforcer.

Je grondais.

« Cesse donc de te comporter comme un enfant. »

Il ricana mais cessa, avec un demi sourire aux lèvres, en haussant les épaules.

« Tu sais ce qu'on dit, au fond on est tous des enfants. »

Je fronçais le nez, en esquissant un sourire qui disparut bien vite, à ma plus grande satisfaction. Je ne devais pas relâcher ma concentration.

Sachant sa taille... disons très grande.

« De très grands enfants alors. »

Au vue de ma taille à moi par contre, ce point de vue était contestable.

Ses yeux pétillèrent mais il n'ajouta rien.

Je soupirais en voulant me passer la main dans les cheveux, me rappelant que j'étais, belle et bien prisonnière, comme mon esprit semblait l'avoir oublier.

Je me renfrognais donc, et m'étendais dans un mutisme presque apaisant.

« Au vue de tes antécédents, nous nous sommes vue dans la l'obligation, d'appliquer des mesures restrictives. »

« Je comprend. »

Et en effet, je parvenais presque à les comprendre.

« J'espère bientôt pouvoir te libérer, mais je ne tiens pas à te perdre à nouveau. »

Je dis bien presque.

Il s'en alla dans une cascade de cheveux blond.

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