Frontière
N'ayant pas de limite
L'infini est mon ami le plus proche
Refusant d'accepter les secrets que mon coeur habite
La réalité et la société me retarde et m'accrochent
Des heures a tester les limites encore et encore
Des heures a se poser des questions
Et a réfléchir plus que de raison
Retour au point mort
Je m'interroge souvent sur ce que c'est que d'être
J'oublie très souvent que la raison est muette
L'existence en elle même une absurdité
La vie en elle même un non sens incarné
Les mots sont des sons vide de sens
Et les paroles ne servent a rien
L'écriture un assemblage de dessin
Le hasard n'existe pas tout a de l'influence
Nous sommes les esclaves de l'effet papillon
Limité dans tes choix,
Dans ce monde tu es la proie
Prisonniers d'une vie sans exaltation
Recevant au coeur une mortelle blessure
Je vis dans le désespoir de ne pas être dur
D'avoir un coté doux qui prêt à pardonner
Me rend faible je veux le consumé
Plutôt que regarder observer et connaître
Je veux détruire bruler l'horizon et faire tout disparaître
Me cherchant trop je me suis oublié
Inhumain mortel je vivrai pour tuer
Et ce regard plus vide que l'espace
C'est votre cruauté qui lui donna sa place
Dans le creux de mes yeux où lumière oublié
Les frontières disparaissent, ou est ma réalité
Des heures obscurcissant mots et armes
Des heures se détruisant pour retrouver son âme
Des heures constatant des yeux trop secs de larmes
Des heures passées a observer le reflet dans ma lame
J'ai vu les frontières de la réalité
J'y ai perdu une partie de mon être
Il me faut maintenant un endroit pour disparaître
Car c'est maintenant que la lame fait le choc frontalier
Je transperce et rougis chaque part de ce corps
Le rideau pourpre informe que le spectacle va se clore
Je crois avoir oublié toutes les difficultés du sort
Viens je t'ai accepté o mon repos : la mort
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