Petit j'avais un grand coeur qui était a l'étroit
Il devait trouvé sa place dans les interstices de votre esprit
Aujourd'hui j'ai grandi et ce coeur est en proie
A l'abscence de sentiment car vous m'avez menti

Le coeur comme une éponge
Plongé dans l'eau salé avec la chair a vif
Tant de questions sans réponse
Quand vous parlez en hiéroglyphes

Langue de bois ou brasser du vent
Voilà votre raison d'être
Sans objectif avec que du paraitre
Mensonges et vérités dans votre absence de sentiment

Restez qui vous êtes et vous serez qui vous étiez
J'ai porté a ma connaissance toute votre félonie
Mettant en mots votre fausseté
J'accuse n'est pas assez fort pour exprimer vos crimes et vos démentis

J'ai refusé de céder aux appels de détresse
Dans un coin a mégot je cultive sans sagesse
Une tumeur malsaine pleine d'idée vengeresse
Je vous pardonnerais tout mais je n'oublierai rien
Oubliez mon nom quand sonne l'heure du besoin
Il est temps que générosité cesse

L'abyme regarde au fond de moi humain trop humain
Dans mon être trop de cassure m'empêchent d'être serein
Artiste est celui qui toujours souffre de lui même
Chaque jour fait de douleur chaque moment de peine

J'ai consacré mon être a ces petits détails sans raison
J'y ai trouvé une logique
Sombrant sans fin dans les tréfonds
Les sentiments sont des ennemis épiques

J'ai un coeur fou de pardonner toujours
Il met de l'eau dans son vin il vous donne des excuses
J'ai un esprit vengeur qui manque d'amour
Ce dont mon coeur vous absout il vous en accuse

J'aurais aimé être un rêveur
C'est ma part d'idéalisme
Mais je suis un triste coeur
Il a fait trop de sacrifices