Chapitre 4. Vacances
Dans le campus de Blackwood, la lumière d'une chambre était encore allumé. Lindsay, allongée sur son lit, collait son cellulaire à l'oreille.
- Quoi ?! Fit la voix à travers le cellulaire.
Lindsay avait tout raconté à Rosie, espérant que cette dernière aurait des éventuels explications au comportement du jeune homme.
- J'ai frappé sa petite amie hier, et lui il danse avec moi ! Il est malade.
Rosie était totalement à l'Ouest, elle ne comprenait rien, exactement comme Lindsay.
- Tu sais, je pense qu'il veut se venger... Fit Rosie à l'autre bout du fil.
Lindsay se relèva de son lit, et attendait la suite de son discours. Elle se demandait pourquoi il pourrait se venger.
- Il a un charisme démeusuré, il veut peut être jouer avec tes sentiments pour venger Jessy. C'est souvent comme ça dans les films !
Rosie prenait un ton enjouée, elle était encore une enfant dans sa tête et croyait toujours au prince charmant.
Elle était amoureuse de Kelvin Moore, comme près de quatre-vingts dix-neuf poucent des élèves féminins de cette école. Il vrai que ça rendait Rosie jalousie qu'il choisisse Lindsay, mais elle comprenait, la jeune femme était d'une beauté sans pareil.
Lindsay serrait les dents, et chuchoter doucement, par colère. Elle goba tout ce qavait dit Rosie et se sentait bouillir.
- Tu n'auras même pas le temps de faire quoi que se soit que je t'aurais déjà enterré...
Rosie ne répondit rien, abasourdie d'avoir entendu des paroles aussi crue et glacial de son amie qu'elle pensait douce. Lindsay se rendit compte de la boulette qu'elle venait de faire.
- Hahaha...rigolait-elle... Qu'est ce qu'il m'énerve au point que je dise n'importe quoi !
Lindsay se forca à rigoler, en espèrant que Rosie ne se pose pas de questions.
Elle était au yeux de son amie une gentille personne, qui s'énerve rarement et qui ne souhaite malheur à personne.
Ce qui est l'opposé de la meurtrière qu'elle est.
Rosie la salue, pretextant avoir des choses à faire. Elle lui donna l'impression de avoir vu que du feu.
Lindsay soupira.
- Les vacances s'annonce génial...
Une pointe d'ironie se glisser dans ses paroles.
[...]
Lindsay marchait dans les rues neigeuse, bondés de monde. Elle appréhendait le fait que Edward Cruzz voulait lui parler. Il insista sur le fait que c'était important.
C'étair sûrement en rapport avec les évènements de la veille. Rien de tout ça l'enchantait.
Et c'est avec la boule au ventre, qu'elle arriva à l'entrée du manoir de la famille Cruzz.
Désormais dans le bureau du chef de famille, elle n'attendait plus que son arrivé. Elle tapait du pied, tellement elle était stressée. Elle été térifiée à l'idée qu'il rompe leurs contrat.
Elle voulait réellement refaire sa vie, loin de tout cela.
Il entra et s'installa directement à son siège de dirigeant, et regarda Lindsay dans les yeux, ce qu'il fait rarement.
- Bien Lindsay, merci de t'être déplacé...
Un sourire faux scotché aux lèvres, il s'adressa à elle avec une voix calme.
- Venez en au fait.
Il était inutile de tourner autour du pot, il avait quelque chose d'important à dire, et ça elle le savait déjà.
- Bravo, tu m'as surpris hier !
Lindsay, hébétée, ne comprenait plus rien. Pourquoi la félicitée ?
- Pourquoi ça ? Demanda-t-elle.
- Ta stratégie est cruel, Lindsay...jouer avec les sentiments de Kelvin Moore...je n'avais pas pensé à ça venant de toi.
- Pardon comm-
Il l'interrompa avant qu'elle est eu le temps de finir. Elle ne jouait pas avec ses sentiments.
- Tu as eu, une bien bonne idée ma chère ! Kidnnape son coeur et mets fin à ses jours.
Il marqua un temps de pause, et reprit.
- Tu pourrai le faire sans aucun souci, n'est ce pas ? Tu sais bien le faire.
Il sous entendait pleins de choses, il connaissait parfaitement sa vie, son passé. Lindsay ne répondit rien, honteuse.
- Et aussi, je voulais te récompenser pour toutes ces années à mon service.
Il soupira alors, mécontent, comme si on le forcait à dire ça. Ce qui interloqua Lindsay.
- Je te renvois dans ta ville natale, pour les vacances.
Elle faillit s'étouffer avec sa salive. Ça ne l'enchantait absolument pas.
Elle n'eut pas le temps de protestée, qu'il tapa une main sur la table, et sortit rapidement de la pièce.
Elle restait debout dans le bureau, déboussolée.
[...]
Installée sur le canapé, Lindsay réfléchissait longuement dépuis plusieurs heures.
Elle ne savait pas quoi en pensait de ce voyage.
Elle se frotta le visage, et vit plusieurs silouhettes passaient face à elle. Puis, ces dernières s'approchèrent.
- Salut Lindsay ! Ça fait longtemps que je t'ai pas vus.
Lindsay souria amicalement à sa soeur adoptive, qui venait arriver. Celle-ci, à la vue de Lindsay, fut devenur très heureuse.
- Bonjour Dana, comment tu vas ?
Lindsay se leva du canapé, pour être face à la jeune blonde.
- Bien, je m'ennuie sans toi, depuis que tu es plus à la maison, Nathan n'arrête pas de m'embêter !
Lindsay rigola doucement, il est vrai que les deux enfants de la famille étaient comme chien et chat.
Quand Lindsay habitait encore ici, elle était très proche de chacun, et les empêcher de se battre, comme un ange gardien.
Dana rigola à son tour, heureuse de retrouver Lindsay qu'elle considère comme sa vrai soeur.
- Dis donc Lindsay, tu as bien fermé son clapet à Jessy Mensi !
Lindsay s'arrêta directement de rigoler, Dana le savait. Selon son contrat, les projénitures de Mr.Cruzz ne devait pas être au courant, elle devait refléter image d'une personne attrntionée et calme.
- Je ne l'aime pas cette fille ! Tu as bien fait, je suis de tout coeur avec toi.
Lindsay fut surprise, cette famille ne jurer pas par la violence, sauf Edward Cruzz.
Puis Dana la prit dans ses bras, avec affection.
- Tu vas me manquer pendant ses vacances ! J'aurais aimé rester avec toi...
Dana aimait beaucoup Lindsay, pour elle, il n'y avait aucune différence entre soeur biologique et adoptive. Du moment qu'elle l'aimait.
Lindsay accepta son entraînte, et restèrent ainsi quelque minutes. Elle avait l'impression d'être dans les bras des gens qu'elle avait aimé autrefois.
Puis, Nathan, les interropa.
- Que c'est mignon ! Et moi alors ?
Lindsay rigola, et Dana s'énerva contre son aîné qui venait de gâcher un aussi bon moment.
- Va voir ailleurs si j'y suis Nath' !
- Elle est violente la tigresse ! Lindsay n'est pas que ta soeur, c'est aussi la mienne.
Il s'approcha de Lindsay, les bras grand ouvert, et la prit en la soulevant presque.
Lindsay rigolait encore plus face à cette situation. Nathan aimait beaucoup faire tourner en bourrique sa jeune soeur, Dana.
Puis, on les interrompa de nouveau.
- Hum...Que se passe-t-il ici ?
Ellen, leurs mère, venait de débarquer dans le salon, surprise. Dana essayait de taper Nathan, qui portait Lindsay dans ses bras.
Quand elle vit que son fils ainé portait Lindsay, et lui cria dessus.
- Nathan ! Repose Lindsay, tu vas lui faire mal !
- Tu exagère toujours maman !
Mécontent, il reposa alors Lindsay au sol, Dana pouffa de rire.
- Bien fait, t'avais qu'à pas toucher Lindsay.
Il lui lança un regard noir, se qui argumenta l'amusement de Dana.
- Lindsay chérie...je suis venue te chercher, on doit rentrer au campus.
Lindsay prit alors son sac, sans riposter et suiva Mme.Cruzz à l'extérieur du manoir.
Dana et Nathan, restèrent hébétés. Ils voulaient passer plus de temps avec Lindsay, mais c'etait impossible aparamment.
Lindsay les avait salué timidement, se sentant mal de les laisser en plan. Elle suiva Ellen Cruzz à l'extérieur du manoir.
À l'extérieur, Lindsay et Ellen Cruzz, entrèrent dans une des nombreuses voitures présentes.
- Je suis désolée de vous causez ce dérangement Madame.
Ellen rigola doucement.
- Bien sûr que non, c'est moi qui insiste pour t'accompagner.
- Dans ce cas, merci beaucoup.
Lindsay lui souria gentillement et elle papotèrent durant le trajet de tout et de rien.
- J'ai réussi à convaincre Edward de te laisser aller en vacance, ce n'était pas si simple.
Lindsay se rappella alors de la manière dont il parlait de cela. C'était donc l'oeuvre de Mme.Cruzz
Ellen regarda alors pas la fenêtre, un air attristée sur le visage. Quelque chise l'affectait visiblement.
- On ne peut pas te forcer à nous aimer, Lindsay. Je m'étais dis que revoir des gens que tu connaissais te ferais du bien, ma chérie...
Lindsay ne répondit rien, ce n'était pas ça le problème. Elle se sentait mal à chaque fois face à eux, elle était hypocrite.
Et a cette pensée, ça lui fit mal au coeur, la plupart des membres de cette famille l'aimaient réellement.
Le silence règna sur le reste du trajet jusqu'à l'académie.
[...]
Lindsay finit alors de boucler la dernière valise. Elle avait réuni des affaires à elle dans deux valises.
Elle soupira, elle ne voulait rien oublier. La plupart des élèves quittaient le campus, pour les vacances. Elle se dépécha de sortir, avec ses valises.
Ellen Cruzz, qui l'avait accompagné, l'attendait à l'entrée depuis une bonne heure déjà.
Elle traversait tout les couloirs du dortoirs jusqu'à la sortit, le plus rapidement possible.
Désormais à l'entrée, Lindsay déposa elle même ses valises dans le coffres de la voiture, n'ayant pas besoin de l'aide des majordomes de Madame Cruzz.
Et entra par la suite à l'intérieur.
- J'espère ne pas vous avoir fait patienté trop longtemps.
- Ne t'inquiète pas Lindsay ! Ce n'est rien ma chérie.
Ellen, joyeuse, déposa un baiser surprise sur le front de Lindsay, qui venait d'attacher sa ceinture de sécurité.
- J'espère que tu vas bien t'amuser ! N'oublie pas de m'appeller tout les jours !
Lindsay rigola, Ellen était une vraie mère poule. Puis, durant le reste du trajet jusqu'à la gare, Lindsay écoutait les prouesses de Ellen Cruzz. Elle aimait bien parler d'elle.
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