Je ne suis plus sûre que mes écrits soient poétiques,

Mais, ils sont pour moi, de la vie, une représentation véridique,

De mes doutes, mes sentiments, que j'aimerais que l'on m'explique,

Même si, je suis consciente qu'ils n'ont rien d'épique,

Cette fois, avec les mots je confie mon air mélancolique,

Celui dont, plus que tout je redoute, l'amitié à sens unique,

Étant très certainement une peur devenue classique,

Je trouvais fort beau ce lien tissé, une amitié sympathique,

Angoissante est la pensée que soit le moment fatidique,

Celui qui marquera à jamais la fin de ce monde féerique,

Au fil du temps me plongeant dans un sombre chaotique,

Ces épreuves considérées seulement comme diaboliques,

Il est vrai qu'à ma vie elle donnait un sens bien rythmique,

Impossible de décrire ce départ qui a rendu ma vie serait folklorique,

Laissant derrière lui, un vide indescriptible, non basique,

Incalculables sont les conséquences que celui-ci implique,

Je ne vois pas le panneau avec la direction qu'il indique,

Voilà, je suis à nouveau perdue, par l'amitié tragique,

L'impression de n'avoir que des obstacles dramatiques,

Mais j'ai appris, j'ai compris que la vie n'était autre que sadique.