[aurèle]
Il faisait sombre, la pluie tombait sur les vitres des bâtiments aux alentours.
Les voitures passaient et éclaboussait les trottoirs, et vous au passage.
Du au manque de parapluie, vous courriez, un journal en guise d'abri.
Vous étiez déjà trempé quand vous entendiez quelque chose ...
Plus tôt ce jour là.
Aurèle : - C'est pas mon problème. Vire le.
?? : - Y'a pas de « vire le » qui tiennes, il nous obtiendra pleins d'argent si on signe le contrat qu'il nous propose !
Aurèle : - Et ? J'ai dis que nous n'allions rien signer, et je suis ton patron.
?? : - C'est grace à moi que tu en es arrivé là je te rappelles !
Aurèle : - Non. C'est grâce à moi seul. Tu n'as fais qu'être mon secrétaire. Un. Simple. Secrétaire.
?? : - Si je ne suis qu'un simple secrétaire, je suppose que je suis remplaçable !
Aurèle : - Oh que oui.
?? : - Alors vas te faire foutre !
L'homme prend son sac, sa veste et sort en claquant la porte. Aurèle semble exténué et s'assoit sur le bord de son bureau.
Aurèle : - C'est fou à quel point aucun homme n'arrive à faire un aussi bon travail que Hiro ...
On toque alors à la porte. Aurèle frissone. Quand on parle du loup ....
Un grand homme, plutôt séduisant, au sourire mesquin entra. Il était accompagné de ses hommes de mains, très costauds.
Hiro : - Un oiseau m'a dis que je te manquais ! Laisses moi deviner, t'es en chien ou tu manques de thunes ?
Aurèle : - Aucun des deux. Que fous-tu là ?! Tu devrais déjà être mort ou alors en prison.
Hiro : - Mort ? Moi ? Tu sais très bien que je suis immortel, à ma façon. Et la prison n'était pas très comfortable, alors ils m'ont renvoyé chez moi. Disons que tu n'étais pas le seul à qui ma bite fait de l'effet.
Aurèle : - Ta bite ne m'a jamais au grand jamais « fait de l'effet », Hiro. TU m'as baisé. Mais je n'ai jamais baisé avec toi.
Hiro haussa nonchalamment les épaules.
Hiro : - Ton chien chien numéro 5 vient de démissionner. Je l'ai vu sortir. Enfin, je lui ai donné son chèque.
Aurèle fronça les sourcils.
Hiro : - Ah oui, je suppose qu'il ne te l'a pas dis ! Il travaillait pour moi.
Le grand éclata en fou rire, un rire à faire glacer le sang.
Aurèle : - Tu n'as rien contre moi, Hiro. Rien du tout. Je ne suis plus dans toutes ces merdes de mafia.
Hiro : - Peut être mais toi ... je ne me suis jamais vengé de toi.
Il sourit en coin et fit un signe de main à ses hommes de mains, qui encerclèrent Aurèle.
Hiro : - Faites-en ce que vous voulez.
Des cris retentirent, des cris perçants.
Revenons à l'instant présent.
Vous tournez a un coin de rue et retrouvez, gisant dans une mare de sang, Aurèle. Il ne respirait presque plus.
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