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Olaudah Equiano. Cadet d'une famille pauvre de 6 enfants. Il passe ses journées entière a fuir ses responsabilités, partant dans la rivière où la forêt. Ce jeunes garçons de 15 ans est juger sans avenir par son père, et feignant par sa mère qui le qualifie aussi d'inutile. Ce jour là, comme tout les autres, il avait passée sa journée à la rivière, les demandes de son frère et les nombreux essais de sa sœur pour qu'il se remette au travail n'ont rien changer, il avait simplement fait la sourde oreille. Et comme a son habitude il rentra chez lui à la tombée de la nuit. A peine eu t'il poser un pied chez lui qu'un filet s'abattu sur lui. Le jeune homme d'abord surprit et surtout effrayer ne comprenant pas ce qui ce passait, ce qui venait perturber son quotidien si calme, ne réagit pas durant les première secondes. Quand il sembla comprendre ce qui ce passait il se débatit, encore et encore. Au bout d'un certain moment il fut de plus en plus fatiguer, et pu observer deux hommes grands un peu plus loin, et d'autres personnes, certains ayant l'air plus jeunes que lui, d'autres semblant plus âgé, homme et femme était mélanger. Épuiser et traîner sur le sol dans un filet pendant quelques minutes, il ne se débatit pas, en tout cas presque pas. On lui accrocha une chose en bois le reliant au autres personnes devant lui. On les força à marcher, et pendant ce trajet il tenta de trouver un échappatoire, rien qu'un seule. Mais il fallait se rendre à l'évidence il n'y avait aucun moyen de s'échapper, en tout cas pas dans le même état. Ils avait peut être l'avantage du nombre mais les trois hommes avait une prise de force sur eux, l'un armer d'un fusil, l'autre d'un bâton, étant devant le dernier il ne pouvait pas savoir ce qu'il détenait en main. Il avancèrent, longtemps, le soleil tapait sur leur peau, la chaleur leur donnait mal à la tête, pourtant il continuait de marcher, toujours plus. Enfin, il purent se reposer, leur ravisseurs était fatiguer, il eurent le droit à un peu d'eau, déverser dans leur main, et dont la moitié finit par terre. Mais quelque minute après il durent repartir sous la chaleur, et ce fut comme ça durant trois jours. Il marchait constamment, se reposant une ou deux fois dans la journée et s'arrêtant la nuit tomber pour pouvoir dormir. Le quatrième jour vint et il arrivèrent à un port, un navire négrier les attendait la bas, autour du négrier se trouvaut des dizaines de noir enchainer de la meme façon, attacher ensemble par le cou. On les fit monter avant de les pousser dans la cale et de les attacher un par un, telle du bétail. Un dernier semblant plus rapide que les autres essaya de s'échapper, à peine quelques secondes après on entendit un grand bruit et quelques gouttes de sang couler au sol. Un des homme occuper à nous attacher monta en colère et resdescendit quelques secondes après. Plusieurs personnes pleurait agaçant les autres. Nous étions tous entasser dans la cale, il faisait très chaud, et l'air était simplement irrespirable, et les maladies arriver très rapidement, scorbut ou encore dysenterie, et d'autres. Leur nourriture était infecte, mais personne ne s'en préoccupait trop affamé pour s'attarder sur les détails comme le goût de leur nourriture. Tout les soirs les plus jeunes pleurait, je vit un jour deux jeunes et une femme attacher ensemble se jetait du pont. Les jours sur ce bateaux était horrible, étant près des marxhes Olaudah se prenait les rayons du soleil mais aussi la pluie, le vent et le froid de la nuit. Au bout du 17ème jour notre jeune homme perdit le compte, exténué et loin de sa famille. De son calme habituel. Cela faisait quelques temps qu'il avait compris, que c'était ses parents qui l'avait livrer à ces gens, que dis-je ces barbares. Les jours était long et chaque fois qu'un des captif était trop rebelle il se prenait des coups de fouets devant tout le monde, la plupart détournant le regard certains non. Après des jours sur ce navire, ils s'arreterent enfin. Alors il ne savait pas quoi penser. Il se doutait fortement que l'enfer venait de commencer mais une part de lui espérer que cela s'arrête. Quand on les sortit enfin de ce bateaux ils furent diriger vers une cour d'un marchand entasser telle des brebis. Encore une fois peut importe si tu était jeune ou bien plus vieux, homme ou femme, tous était presque coller les uns au autres. Au bout de quelques jours ici ont procédé à notre ventes, mais avant on nous déposait une sorte de lotion que le corps. Et ont les mit en vente. Un roulement de tambour retentit et une foule énorme de gens s'avancérent vers l'enclos ou nous étions réunis. Et tentait de les acheter, comme pour récolter un bien précieux, chose qu'ils semblent être à leur yeux. Les marchands les présenter comme des marchandises, les gens augmentait les prix, toujours plus chers. Notre jeune esclave se fit acheter en peu de temps et amener à sa future "maison". Il avait été nommer esclaves de jardin et s'adapta rapidement à leurs habitudes de travail. Ils faut dirent que les 100 coups de fouets à chaque retard, à chaque fois qu'il semblait procrastiner était extrêmement convaincant et amener à ne plus faire de fautes. Il passait la journée sous le soleil, de l'aurore jusqu'a la tomber de la nuit, la peau brûlante, presque nu, à s'occuper exclusivement des plantations. Coupes des cannes, piquage des plantes, fouilles de la terre et transport des matériaux. Ont leur accordaient 2heures pour pouvoir manger. Juste après on reprenait, sans repos, et terminer à la tombée de la nuit pour ceux qui ne veiller pas au moulin, fort heureusement pour lui Olaudah ne devait pas veiller. Chaque jour il envient, les chanceux de maisons, eux n'avaient pas à rester la journée entière sous les forts rayons du soleil. Il était aussi obliger de chaque jour aller chercher des herbes pour le bétail du moulin, qui était généralement très loin de la plantation. La fatigue en tua plus d'un mais Equiano tenait le coup. Et un jour, il fut transférer comme nègres de maison, destiner a servir le maitre, sa femme et ses enfants. Servir dans la maison de ces négriers. Il arriva dans la maison se mettant au travail rapidement sur les ordres demander. Quand un cri retentit. L'air se fit plus chaud et une parti de la maison sentait fortement le brûler. Le jeune ne bougeas pas, ne sachant pas quoi faire. Ont lui ordonna alors d'aller vérifier ce qu'il se passait, en arrivant dans la pièce d'où venait le cri. En arrivant il vit la pièce en flamme. Il observa le feu devant lui, et ce qu'il aperçut ne fut pas un désastre, mais une bénédiction. Un moyen d'enfin trouver la liberté. Alors il avança dans le feu et se laissa mourir simplement. Cherchant éperdument sa liberté. Avant de tomber au sol. Et de libérer son dernier souffle...

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