secrets

   Audrey déambulait dans les grandes allées de vert- manteau, dans sa besace, son culbu-gueulard roupillait tranquillement. Ses cheveux noir, hérités de son père ,flottait dans le vent chaud. Elle devait retrouver Paonling à l'entrée de l'espace interdit.

Oksa avais fermé plusieurs endroits d'Édéfia apres l'incident impliquant Maël et Thomas. Notamment une partie de la forêt de vert-menteau qui servait maintenant plus ou moin de prison. Y était enfermé, tout les anciens partisans d'Orthon , Maël et d'autres êtres qui nuisait au bonheur du peuple.

Les parents de Paonling étais les trésoriers de la famille Gracieuse, et se trouvait être de très bon amis des Bellanger.

Au fur et à mesure qu'Audrey avançait vers l'espace interdit , le curbita-peto de sa mère ondulait de plus en plus autour de son poignet.
Oksa le lui avait offert pour ses sept ans. Audrey était de nature à être toujours stressée, pour tout et n'importe quoi. Quand elle joue avec les enfants Bolduse, elle a peur,  quand son père s'absente, elle s'angoisse , quand elle traverse la rue,elle s'inquiète. 
Quand elle désobéi à sa mère elle stresse.
Bien qu'Audrey considérait son curbita comme son annimal de compagnie, au bout d'une semaine il ne lui fit plus d'aucune utilité contre le stresse.  La petite fille était allée voir les plus grands hypnotiseurs du royaume, avait côtoyer des insuffisant (ils sont réputés pour leur ondes positives)  et bu toute sorte de mélanges étranges, rien n'y fi. Son frère l'associait régulièrement à la Goranov.
Le conseille santé de la famille Gracieuse, affirma que ce stress était liée à une chose plus profonde. À un manque dans l'esprit de la jeune fille.
- Qu'est que tu fait ?
- je marche, répondit Audrey.
- Et pourquoi ?
- Thomas !!?  la jeune fille fut si surprise qu'elle failli tribucher sur le pied qu'un Getorix. Thomas éclata de rire.
- Qu'es que tu fait la ? On est super loin de la maison... demanda Audrey.
- On l'est moin en voltical, mais je te retourne la question ma chère sœur.

Depuis un certain temps , Thomas et Audrey ne s'entendait plus aussi bien qu'autre fois.
-Je vais voir Paonling.
-Ha... Haaaa! S'exclama t'il , c'est ta copine canon ?
-Elle est trop bien pour toi!

et en avançant ces paroles, elle volticalat vers la partie interdite.

Thomas savait que sa sœur ne lui donnerais pas plus de détail que ça. Il utilisa donc ses dont de murmou pour traverser chaque obstacles qui lui barrait la route. Quand il apperçu sa sœur à côté de la frontière, il stoppa net, et mit en exercice la chucholotte.

- Bon, demanda Audrey à Paonling, T'as trouver ?
- Bonjours d'abord peut-être ?
Audrey bessat les yeux, elle a été mieux élever que ça.
- Et oui, continua son amie, j'ai trouvé.
Dans les archives de mes parents, et j'ai due épier les conversations entre tes parents et les mien  parents...
- Et ducoup, demanda la jeune Bellanger
-  Je veut bien de dire ce que j'ai trouvé mais ça a un prix.
- Qu'es que tu veux ? demanda Audrey, à brûle pourpoint.
- Je veut le dernier diphant vivant à Edefia.

Thomas qui avait épié la scène depuis le début , fit un voltical parfait et atteri sur le balcon de sa chambre.

- Mais, il n'y a plus de diphant depuis que maman règne sur Edefia, sa justifia Audrey.
- Il en reste un, et tu sais de qui je veux parler, j'ai déjà la Goranov,continua la jeune fille , il ne me reste plus que Tugdual et je pourrais enfin créé de l'élixir  murmou.
- Mais pourquoi ? Qu'es que cela vas t'apporter ?
- Je ne penserais pas que serait si naïve ma pauvre fille, crachat Paonling, mais en même temps ça ne m'étonne pas. Tu a déjà les donts murmou grâce à tes parents. Tu peut traverser les mur et faire plein d'autre chose super. Le seul but que j'ai à obtenir l'élixir murmou est de sauver mon oncle.
- Le sauver de quoi , il est où ? demanda Audrey.
- À ton avis, cria Paonling , il est là, dit-elle en montrant d'un geste de la main la barrière qui séparait les habitants de vert-menteau à ceux de la zone interdite.
- Qui est ton oncle ?
- T'es vraiment conne Audrey... Mon oncle c'est Maël.
Elle reprit avec un ton qui faisait froid dans le dos, elle énonça ses paroles lentement, syllabes par syllabes :
- A-lors , li-vre-moi-Tu-gdu-al.

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