Une lame, une vie.
Je sais que j'ai promis, mais je ne peux résister, me procurer cette douleur physique pour que celle mentale disparaisse, oh qu'elle joie cela serait !
...
Une, deux, trois, une à une les gouttes écarlates tombent à même le sol,
C'est alors que je plane, non que dis-je, m'envole, attendrie par cette douceur folle,
Le monde tourne, tourne et tourne encore, tel une andouille, je m'écrase en plein vole,
C'est alors que je me perd, ayant pour dernière image une fêlée,
Puis je me retrouve, constatant qu'en face de moi, se trouve mon portrait.
-Hannah.
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