Coucou les gens !

Petit message pour vous dire que à partir de maintenant et jusqu'à la fin de l'histoire ça va être du n'importe quoi à longueur de chapitre, que dans la fic Siph' et Blondie ne sont pas ensemble, que Saradine, Arm, Blondie et Miss seront des personnages secondaires pour la partie 1 et n'auront de l'importance que dans la partie 2 ( c'est pas parce que je les aime pas au contraire mais pour l'histoire il faut que je me concentre sur les persos principaux ), et que il ne faut pas me tuer parce que sinon vous n'aurez jamais la fin de l'histoire ! ( genre mon message ne fait qu'une seule phrase xD )

Bonne lecture !

Léa <3

PDV Siphano

Je suis resté longtemps dans les bras de Brioche. Xef... non... impossible... Pourtant, le carnet de Grim avait confirmé mes craintes. Et j'avais craqué. J'avais l'impression d'être... faible. Je détestais ça. Brioche a attendu que mes sanglots se soient calmés avant de défaire son étreinte. Je lisait de l'inquiétude dans ses yeux. Évidemment. Il ne m'avait jamais vu craquer ainsi. Nous sommes sortis ensemble de chez lui pour aller rejoindre les autres. Nous les avons trouvés rapidement. Ils étaient regroupés autour d'un villageois qui ne parlait pas. En nous voyant, nos quatre amis ont laissé le villageois muet tranquille et sont venus nous rejoindre :

- Ah, vous voilà ! a commencé Blondie.

- Où étiez-vous ? a enchaîné Arm.

- Chez Bri'... ai-je répondu.

- Vous avez trouvé quelqu'un ? a demandé Miss.

J'ai secoué la tête et ai ouvert la bouche pour expliquer aux autres ce qu'il était arrivé à ceux qui étaient restés sur Terre mais Brioche m'a prit de vitesse :

- Non, mais nous avons trouvé le " journal de bord " de Grim. Il y a noté tout ce qu'il s'est passé depuis que Siph' et moi sommes partis vers Uranus vous chercher. En fait ...

Brioche a laissé sa phrase en suspens et m'a jeté un petit coup d'oeil avant de poursuivre :

- De nouveaux monstres sont apparus. Et... ils ont tué tout le monde.

Nos compagnons sont restés stupéfaits. La tristesse et la douleur se lisaient dans leurs yeux. Je me suis éloigné en direction du mystérieux villageois semblable à la description du journal de Grim en laissant mes amis chasser leur chagrin et Brioche m'a rejoint quelques secondes plus tard. Je me suis mis à observer le villageois et j'ai rapidement remarqué le sang qu'il portait sur les mains. Quand j'ai fait part de ma découverte à Brioche, mon ami a écarquillé les yeux, a prit une arme et, en quelques coups, il a tué le villageois. Puis il m'a expliqué en voyant mon incompréhension :

- C'était un loup-garou. Il doit y en avoir d'autres. Ce sont eux qui ont tué Siana et sans doute tous les autres ! Il faut les tuer avant la nuit, ils seront trop dangereux après.

J'ai acquiescé et nous sommes partis prévenir nos compagnons. Aussitôt, ils se sont mis à la recherche de villageois et avant de les suivre, Saradine nous a dit :

- Il faudrait envoyer quelqu'un miner afin de trouver des ressources.

- Tu as raison. Je vais y aller. ai-je répondu.

- Dans ce cas, j'y vais avec toi. a ajouté Brioche.

Saradine nous a dit de faire attention avant de s'éloigner. Après son départ, Brioche m'a donné une pioche qu'il avait trouvé chez lui et nous sommes partis miner. Au bout d'une dizaine de minutes, je lui ai dit :

- La nuit ne va pas tarder à tomber, on ferait mieux de rentrer.

- Oui, allons-y.

Mais lorsque nous sommes remontés à l'air libre, la nuit était déjà tombée. Nous avons commencé à marcher en direction du village, la torche à la main, quand tout à coup, nos avons entenu des voix :

- Siiiiiiph ! Briiiiii !

Un petit groupe de quatres personnes s'avançait vers nous en criant nos noms. Nous avons couru vers eux. Nos amis avaient l'air soulagés de nous voir. Soudain, j'ai senti Brioche se crisper derrière moi. Je me suis retourné vers lui et je les ai vus. Deux yeux rougeoyants qui nous fixaient. Non... pas seulement deux. Nous étions encerclés ! Saradine a sorti son épée en fer mais je lui ai soufflé :

- Inutile. Seul l'argent est efficace contre eux.

- Du coup, qu'est-ce qu'on fait ? a-t-il demandé en rangeant son épée.

- Rien. a répondu tristement Brioche. On ne peut rien faire.

Soudain, un hurlement de douleur a déchiré la nuit. Nous avons tourné la tête pour découvrir que les loups-garous étaient attaqués par un ennemi inconnu. D'autres loups-garous ont clignoté en rouge et j'ai compris que l'agresseur des loups-garous n'était pas seul. Brusquement, quelqu'un m'a attrapé et m'a entraîné une dizaine de blocs plus loin. Une lame s'est posée sur ma gorge et la personne qui me retenait prisonnier a crié :

- Qui êtes-vous ?

La suite samedi ! ( moi aussi je vous aime )