Chapitre 11


Coucou c'est moi !

Oui, un nouveau petit chapitre, car je ne l'ai pas posté dimanche. À la place, j'ai posté un petit OS Briléo dans mon recueil d'OS ( il est vraiment trèèès court, mais j'en suis fière quand même xD ).

On arrive à la partie la plus intéressante de la fic'... Pas taper s'il vous plaît !!!



PDV Brioche

Le dénommé Big a repris la parole :

- Vous allez pouvoir obtenir la récompense, mais...

Il n'a pas pu terminer sa phrase car à ce moment-là, le mur qui se trouvait derrière eux a explosé, laissant passer une armée de monstres et de loups-garous. Les silhouettes de Sky et Big ont brusquement disparu et, une fois remis de notre surprise, nous nous sommes mis en position de combat. Nos ennemis se sont immobilisés, ont observé tous les recoins de la pièce ainsi que chacun d'entre nous, puis ils se sont emparés d'une grande caisse ressemblant à un cercueil de taille humaine et se sont placés devant pour signifier qu'ils ne nous laisseraient pas y toucher.

- La récompense est peut-être dedans ! s'est écriée Léa.

Les loups-garous ont grogné, comme pour confirmer les dires de la jeune fille, puis ils sont passés à l'attaque. Nous nous sommes défendus grâce aux armes en argent offertes par les quatre enfants, mais nous avions beaucoup trop d'ennemis. À chaque fois que nous en abattions un, un autre prenait sa place, et même si nous nous étions reposés quelques temps à la base, la fatigue commençait à nous rattraper. Les griffes d'un loup-garou m'ont entaillé le bras, et j'ai contre-attaqué avec des coups rapides et précis qui l'ont tué rapidement. Chaque mouvement, chaque parade et chaque attaque que je faisait m'épuisaient un peu plus... Tout à coup, les monstres se sont fait attaquer par-derrière et j'ai mis du temps à reconnaître leurs agresseurs. À vrai dire, je crois que c'était surtout mon cerveau qui refusait d'admettre ce que voyaient mes yeux... Siph' s'est ressaisi plus vite que moi et a crié :

- Léo ?! Dortos ?!



PDV Siphano

- Léo ?! Dortos ?!

C'était tout simplement impossible que ce soit eux... ils étaient morts ! Et en plus, que feraient-ils dans cette pyramide ? Pourtant, eux m'ont reconnu immédiatement, et m'ont fait un grand sourire... un grand sourire désolé. Je me suis figé et mon coeur s'est serré. Je ne comprenait plus rien, mais j'avais un mauvais pressentiment... Que s'était-il passé ? Léo m'a pris par le bras pour m'emmener dans la salle d'où venaient les monstres tandis que Dortos faisait de même avec Brioche. Les deux blondinets nous ont entraînés à travers la foule de monstres en tuant tous ceux qui se dressaient sur leur passage, puis nous sommes passés de l'autre côté du mur, qui arborait un énorme trou dû à l'explosion produite par les monstres en son centre, pour atterrir dans une nouvelle pièce. Au centre de celle-ci se trouvaient deux personnes, l'une agenouillée près de l'autre qui était étendue au sol. Là encore, mon cerveau a fait "Impossible !" et mes yeux "Eh bah si...".

- Grim ! a crié Brioche.

Notre ami s'est retourné et je me suis immobilisé, refusant catégoriquement d'accepter l'évidence. Je venais de reconnaître la personne allongée et mon mauvais pressentiment s'était retrouvé fondé.

- François... ai-je murmuré, avant de me ressaisir et de hurler son nom. FRANÇOIS !!!

Je me suis précipité vers lui et je me suis écroulé à ses côtés. Plus rien ne comptait pour moi à ce moment-là, à part lui, et j'avais l'impression que nous étions seuls au monde. Ses yeux étaient ouverts et une étincelle de joie s'y est allumée quand il m'a vu. Il était pâle, son corps était couvert de blessures et il avait l'air très faible, mais il a tout de même réussi à articuler :

- Ju'...

J'ai senti des larmes rouler sur mes joues. Non ! Ça ne pouvait pas se finir comme ça ! Je ne voulais pas qu'il meure... pas à nouveau ! Pas après tout ce que nous avions vécu ensemble... il était mon oxygène, ma raison de vivre ! Et je ne le supporterai pas si il partait...

- Pleure pas... a-t-il murmuré. Je...

- Je sais. Moi aussi. Plus que ce n'est vraisemblablement possible. Je t'aime. Ai-je répondu doucement. ( Trouverez-vous la référence ? )

Il m'a sourit et mon coeur a failli s'arrêter de battre. J'adorais son sourire... Il me faisait oublier tous mes problème et, sur Mars, c'était lui qui illuminait mes journées. Et mes nuits, à la fin du voyage... Je l'ai embrassé, en pensant que c'était peut-être la dernière fois que je le faisais...

Quand je me suis dégagé, il a plongé son regard dans le mien et m'a chuchoté :

- Je t'aime Ju'...

Puis ses yeux se sont perdus dans le vide.

J'avais envie de hurler. Pour évacuer ma rage, mon chagrin et ma douleur. Au lieu de ça, j'ai à nouveau craqué. Mon corps était secoué de sanglots et mes larmes coulaient sans s'arrêter. Sa mort avait créé un vide dans mon coeur, un vide à jamais impossible à combler. J'ai essayé désespérément de me calmer. En vain. Je ne voulais plus rien, et surtout, je ne voulais plus vivre.



Je sais que je me répète, mais...

Pas taper !!!

Bye <3

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