Chapitre 3

Je sortis de ma voiture, tout comme je l'avais fait hier, mais cette fois si, heureuse. La tête que cette soit disant Lena avait fait quand je lui avais annoncé ma réponse, était à se mordre de rire.... Nous étions dimanche et Mike, qui travaillait dans un fast-food, a une tonne de travail. Je passai les clés dans la serrure et entrai-je chez moi. Je posai mon sac à main par terre et me dirigeai vers ma salle de bain. Je me lavai les mains, et m'affalai sur le canapé du salon. J'allumai la télévision, chaîne TF1, journal de 13 heures, Robert Fisk en journaliste. Il mentionna les infos du jour, et, à ma grande surprise, elle cita mon nom et je relevai la tête d'un coup, alors que j'étais étalée sur le canapé. Je montai le son de ma télé et regardai le reportage.

" Elizabeth Anderson, une jeune femme, convoquer par le château de Buckingham pour un contrat qui pourrai bien changer sa vie. Nous interrogeons les...

J'éteignais la télé, un air mélancolique, mais si heureux à l'intérieur et chuchotai : Je suis connue...

Cette interview m'avait encouragé pour mon tour du monde d'un an, car oui, j'avais accepté... Je filai dans la cuisine, et allai préparer le repas quand tout à coup, mon téléphone vibra. C'est Mike. Je décrochai sans même réfléchir et lui parla :

" - Oui mon amour, tout va bien ?

- Oui, ne t'inquiète pas. Juste pour te dire que mon patron m'a donné une après-midi de libre et je voulais qu'on la passe ensemble.

- Mais c'est ton premier jour, tu ne peux pas avoir un congé alors que tu viens de débuter...

- Je suis d'accord, mais le chef à est malade et il nous a donné un champs libre pour l'après-midi. Bref, je t'invite au musée d'acco ?

- Au musée ?

- Oui, je sais que tu adores ça. Allez, j'arrive dans cinq minutes, on mange et je t'emmène. Je suis sur la route. Gros bisous ! "

Il raccrocha, et je souris et alla me préparer.

Mike arriva après une petite dizaine de minutes. Nous déjeunâmes en vitesse et filâmes dans la voiture. Après quelques minutes, nous arrivâmes au " British Museum " et entrâmes dans l'établissement. Nous vîmes des statues et objets d'époque qui m'impressionna. C'était magnifique...

*

* *

Nous étions restés deux heures et il était quinze heures. Par ce frai temps de fin d'automne, le soleil se couchait peu à peu. Mike me ramena à la maison et alla faire les courses, étant donné que notre frigo était vide. Je l'embrassai et rentrai dans la maison. Je fis quelques pas, et aperçus mon chien, affalai sur le sol, comme s'il était mort. Une odeur de brûlé arriva jusqu'à mes poumons et je m'étouffai-je, d'un coup. Avec la dernière force qu'il me restait, j'essayai de m'aventurer dans la cuisine, mais je n'eus le temps de voir une flammes rouge feu, qui luisait sur le parquet de ma cuisine, que je m'affalai par terre. Mon chien était encerclé par les flammes et rester sur le sol ; son esprit perdait connaissance... D'un coup, mes poumons manquèrent d'oxygène et je respirai très mal. Alors qu'à mon tour, je perdais peu à peu connaissance, les flammes se rapprochait de moi.

D'un seul coup, j'entendis la porte d'entrer claquait et la voix de Mike arriva à mes oreilles :

- Lyzie ? C'est Mike, j'ai oublié ma carte bleue. ria t-il.

Puis il s'étouffa comme moi. Malgré tout, il arriva à me prendre le bras et à me conduire jusqu'à mon jardin et, à ma grande surprise, fit la même chose pour Lisa, ma chienne.

À l'instant où je fus saine et sauve, je vis Mike attraper son téléphone, alors que la paupière de mon œil gauche s'entrouvrit et que je ne voyais quasiment rien. Je fus surpris d'entendre la sirène des pompiers aussi rapidement alors que ça ne faisait que deux minutes environ.

Une équipe de sapeur-pompiers dévala les escaliers de mon jardin, et entra dans la maison. Également, des groupes de médecins ambulanciers me mirent sous oxygène et me transportèrent jusqu'à l'hôpital. J'avais terriblement mal à la jambe. Mike me suivit, Lisa dans c'est bras. J'entendis les ambulanciers parler à mon fiancé, en disant que les pompiers avaient arrêté le feu et que par chance, seul quelques meubles avaient été brûlé, mais la maison était tout de même rester intacte. C'était bizarre, j'avais pourtant éteint le gaz quand nous étions partis avec Mike. Et pas que le gaz du reste... Tout le reste ! Quelqu'un voulait-il s'en prendre à nous ? Et peut-être, particulièrement, à moi...

Nous arrivâmes à l'hôpital après une douzaine de minutes, alors que ma jambe me faisait de plus en plus mal.

- Ma Lyzie... Je suis là, ne t'inquiète pas. me chuchota Mike.

Un groupe de médecin arriva et ils prirent mon lit transportable. Ils m'emmenèrent dans une chambre d'hôpital toute bleue, qui, a première vu, me semblait très chaleureux.

Je passai la nuit à l'hôpital et, dès l'aube, j'eus la grande surprise de voir mademoiselle Lena Salazar dans ma petite chambre d'hôpital. Mike avait passé la nuit ici et il nous avait laissées quand elle était arrivée.

- Bonjour Elisabeth.

- Mademoiselle Salazar.

- Comment allez-vous ? On m'a informé que votre maison avait pris feu... Je suis navrée.

- Merci, je vais bien, même si j'ai légèrement mal à la jambe.

- Vous avez bien dormi tout de même ?

- En fait, non, même tout au contraire. Je n'ai pas fermé l'œil de la nuit, j'ai eu des visions, des... flashs.

Lena soupira et me pris la main.

- Elizabeth, à cause de cet accident, vous n'avez plus la force possible pour passer le concours de stylisme.

Je fronçais les sourcils et Lena me comprit sur-le-champ.

- Ce concours, c'est lui qui désignera qui aura l'honneur de faire ce tour du monde, car oui, il y a plusieurs candidats.

Une infirmière interrompue notre discutions pour me parler. Elle s'excusa de nous avoir déranger et proposai de repasser dans quelques minutes. Je hochai la tête et elle partit. Lena continua alors son discours.

- Une dernière chose,  je sais que c'est vous qui allez dérocher le poste, et je vais tout faire pour vous aider






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