Chapitre 7 : Réveil

Il faisait froid. Il avair mal.

Pourquoi ? Il n'en savait encore trop rien.

Kakashi n'en avait pas encore la moindre idée, embrumé par le brouillard du sommeil encore présent.

Il se sentait lourd, ses paupières particulièrement qui semblaient refuser de s'ouvrir. Pourquoi ? La réponse lui échappait aussi.

Enfin, rester dans le noir du sommeil n'aiderait pas, ça, il en était sûr. Ainsi, il combattit avec difficulté ses maux encore inexpliqués pour que s'ouvrent deux yeux fatigués sur un plafond blanc.

Instantanément, le gendarme su où il était. Peut-être aurait-il préférer l'ignorer encore un peu finalement.

L'hôpital... Qu'elle aubaine.

Evidemment que Kakashi l'avait reconnu. Il fallait dire que dans sa profession, on côtoyait souvent l'endroit et ses murs bien trop blancs.

Il grogna.

S'il était ici c'était qu'il y avait raison. Laquelle ? Ses souvenirs remontaient à lui doucement pour qu'il le sache.

Peut-être trop rapidement pour sa mauvaise humeur du réveil du à ses maux, il se souvenait à présent. Il grogna de nouveau.

Fichus supresseurs.

Difficilement, il se redressa en s'aidant de ses coudes pour finir assis. La pièce étant que très peu éclairée, seulement une lampe de chevet, ses iris toutes aussi sombres eurent du mal à localiser son espace avec précision. Les murs étaient blancs, certes, mais qu'en était-il du reste ?

Les rideaux aux fenêtres sur sa droite ?

Blancs.

La porte a sa gauche qui menait probablement à la salle de bain ?

Blanche.

Sa table de nuit entre son lit et les carreaux vitrés ?

Blanche.

Son lit tiens ?

Blanc.

Le placard face à lui ?

Enfin un peu de couleur, un bois claire assez doux.

Tout ce blanc était oppressant.

Puis, prenant plus conscience de son environnement, il se laissa porter sur ce qui l'entourait. Ça ne fut pas long, le "bip" régulier en fond fut le seul bruit à lui parvenir pendant un moment.

Ainsi il était seul...

Ça changeait de toutes ces fois où Tenzo était là, l'ayant attendu jusqu'à son réveil. Le brun était vraiment un ami précieux. Plus fidèle et gentil que lui on ne faisait pas. Kakashi savait sa chance de l'avoir à ses côtés, pourtant et peut-être égoïstement, il aurait voulu l'avoir avec lui.

Il fallait dire que Tenzo était bien le seul à l'attendre encore et à veiller sur lui, du moins, le seul qui lui restait pour faire ça.

Il soupira, se laissant retomber mollement dans ce lit peu confortable et d'un blanc livide. Son coude par dessus ses yeux comme une enveloppe, il se laissa partir à la réflexion.

Quelle heure était-il ? Avec l'obscurité, il n'arrivait à lire l'horloge près de la porte et loin de lui l'idée d'allumer la lumière principal ou ne serait-ceque se lever.

Kakashi avait envie de tout sauf de ça, sauf de luminosité violente pour agresser ses pupilles fraîchement ouvertes. L'optique de bouger n'était guère plus fameuse mais elle restait plus abordable de son point de vue.

Finalement, il supposa qu'il devait faire nuit puisqu'aucune forme de lumière ne traversait ses volets fermés.

Ça l'arrangeait en un sens. Il avait besoin de rester encore dans la pénombre, rien que pour le confort que ça lui apportait. Personne ne venait, il était seul, peut-être un peu trop mais c'était toujours mieux que d'être mal accompagné n'est-ce pas ?

Il n'empêche que la présence de son collègue brun n'aurait pas été de refus, l'argenté se sentait mal. Ce froid ambiant ne le quittait pas, il grelottait. Et comme une couche supplémentaire de problème, il avait terriblement mal au ventre.

Kakashi siffla, ses deux bras posés sur sa tête.

Quel con il était d'avoir tant forcé, son état était déplorable maintenant et l'affaire Akastuki risquait de stagner. Qu'est-ce qu'il détestait ça, pourtant, il savait le mériter.

Son corps le punissait pour le torturer de la sorte.

Mais ce ne serait sûrement pas la dernière fois qu'il le ferait, Kakashi savait qu'il y en aurait d'autres parce que, si son corps le punissait, c'était bien parce que lui-même se punissait comme il le pouvait pour son passé. Tout ça n'était que répétitions, un cercle vicieux alimentés de regrets et de remords irréparables.

Il méritait ce qui lui arrivait, l'argenté en était intiment convaincu.

Obito allait le tuer pour retarder ainsi l'affaire...

Non, vraiment, quel con il faisait. Et dire qu'on osait lui dire qu'il était un génie. Un génie en quoi ? En torture ? Peut-être bien...

Des bruits de talons vinrent à lui.

- "Kakashi !"

La porte de sa chambre temporaire s'ouvrit et dès lors, une furie y entra à grandes enjambées.

Tiens... Il semblerait que quelqu'un allait le lui dire en face.

- "Espèce d'idiot !"

Dans le mille...

Tsunade...

A peine ses yeux brins avaient-ils vu le convalescent réveillé que la colère était montée. Brutalement, elle posa le dossier qu'elle avait dans les mains sur la chaise à côté du lit. Puis, ses sourcils froncés annonciateurs de représailles, elle croisa ses bras sur son immense poitrine.

Ses prunelles brunes, décrites comme la plus jolie des merveilles par Jiraya devenaient de véritables revolvers braqués sur Kakashi. Ce dernier avait l'habitude mais pleignait les nouveaux qui devaient supporter ce regard de tueur.

- "Bonjour Tsunade. Enfin, bonsoir plutôt vu l'heure. Rigola l'argenté en se redressant une nouvelle fois."

Le gendarme avait vu, la lumière ayant été allumée brutalement à l'entrée de la femme, l'heure sur l'horloge.

Quatre heures du matin.

Une main sur son ventre douloureux, une autre pour le maintenir assis, ses yeux fermés sous un faux sourire, il cacha du mieux qu'il le pouvait ses états d'âmes.

Non mais décidément, on ne faisait pas plus con que lui. Il était un idiot finit d'avoir ressassé son passé.

Pourtant, rien n'échappait à cette spécialiste face à lui et cette dernière remarqua la supercherie. Ça lui faisait de la peine. Elle, elle savait ce qui se cachait derrière et elle, elle s'en inquiétait sûrement bien plus que d'un médecin à un patient. Même plus qu'une amie à un ami.

Sûrement plus comme une mère de remplacement à son fils de cœur.

- "Était-ce trop te demander que de venir me voir au cabinet pour adopter ta dose ? Tu es intelligent, tu savais comment ça allait finir tout ça."

Tsunade n'avait plus rien chez elle qui laissait paraître de l'énervement. Elle n'était plus que inquiète et son ton calme et concerné fit du bien même sans le remarquer à Kakashi. Enfin, la colère de la blonde n'était pas non plus anodine à ce semblant de douceur qui le prenait. Il fallait dire que l'énervement de son aîné trahissait en fait sa grande inquiétude, l'Hatake l'avait vite comprit.

Peut-être n'était-il pas si seul que ça. Peut-être Tenzo n'était-il pas le seul à l'attendre lorsqu'il plongeait dans le coma...

Ce serait mentir que de dire qu'en accord à la femme blonde, l'argenté ne la prenait pas instinctivement pour sa figure maternel. Un véritable lien les unissait.

- "Je pourrais bientôt sortir ? Demanda Kakashi, ignorant la dernière question de Tsunade."

Après tout, ils en connaissaient la réponses tous les deux.

- "Normalement dès ce matin, à l'heure d'ouverture des visites, vers sept heures. Tenzo passera te chercher puisque je préfères que tu ne conduises pas. En temps normal, tu aurais dû rester plusieurs jours mais loin de moi l'idée de te courir après parce que tu t'échappes. Soupira la femme en se remémorant toutes les escapades de son patient fugueur. Par contre, reprit-elle, on fait comme d'habitude. Tu peux partir avant mais tous les soirs tu m'écris comment tu vas et si je te dis que tu dois revenir tu reviens sans histoire. Tu auras un traitement en parallèle pour te stabiliser avec en prime un arrêt d'au moins une semaine renouvelable au besoin."

Comme si, pensa Kakashi qui comptait bien reprendre le travail dès le jour-même, peut-être le lendemain si le mal de ventre empirait. Mais comme le bon petit garçon dont il usurpait l'identité, il acquiesça avec un grand sourire.

Tsunade en soupira en comprenant ce qu'il cachait. Elle avait penser pendant un temps à le menotter au lit mais même ça, ça n'avait pas suffit pour retenir l'argenté. Quelle plaie ses  militaires, impossible de les faire tenir en place.

En retrouvant son professionnalisme, la blonde fit tous les test généraux demandés à Kakashi pour s'assurer de son état avant de confirmer son laissé passé pour rentrer chez lui au petit matin. Vu l'heure, Tsunade se chargea de l'inciter très fortement à se rendormir étant donné qu'elle pouvait encore changer d'avis.

Il n'en fallut pas plus à l'argenté pour s'endormir tel un enfant, l'optique même de devoir rester plus longtemps ici le rebutait bien trop pour jouer le gosse terrible.

Tsunade resta à ses côtés le temps qu'il s'endorme, répondant à la demande silencieuse de Kakashi pour ne pas rester seul. Ce lieu le hantait trop et si la blonde voulait qu'il dorme, elle allait devoir l'aider un peu.

Heureusement, la fatigue de son corps emmagasinée ne tarda pas à le pousser dans les bras de Morphée. Peut-être en une quinzaine de minutes, l'argenté dormait à poings fermés. Tsunade en profita pour frotter doucement les cheveux argentés qui surplombaient ce visage endormi.

Qu'est-ce qu'elle aimerait pouvoir faire plus pour son fils de cœur. Pourtant, si ce dernier le refusait de se confier, la blonde ne pouvait rien faire. Forcer serait contre productif et jamais elle ne se le permettrait. Kakashi était un véritable casse-tête allant de paire avec son intelligence relevant du génie.

Si seulement les génies comme lui pouvaient se montrer un peu plus égoïste, Tsunade en serait rassurer. A trop faire passer les autres avant lui, Kakashi excellait sur le lieu même de sa tombe. La médecin doutait honnêtement que le pauvre corps pâle tienne encore longtemps sous ce rythme effrayé et sans repis.

Pourtant, elle du quitter son chevet, les autres patients de l'hôpital l'attendaient et en tant que professionnelle, elle ne pouvait les faire attendre plus longtemps.

Ce fût avec un goût amer dans la bouche que Tsunade quitta finalement la chambre, laissant l'endormi seul à contre cœur. Elle espérait qu'au moins, dans ses rêves, il allait bien.

Elle s'en alla.

Pourtant, sûrement aurait dû-t-elle rester puisque tapis dans la nuit, un réveil pour le moins explosif allait forcer l'endormi à se dérober du sommeil.

Il n'aura suffit que d'un seul "bip", légèrement plus fort que ceux des machines de l'hôpital pour que Kakashi se réveille. Ses sens en alarmes, il sauta de son lit avec l'intime conviction que quelque chose clochait. Cependant, alors qu'il allait allumer la lumière de la chambre pour y voir plus claire, ayant mémorisé son emplacement près de la porte, une vive lumière apparut près de sa fenêtre.

Il était déjà trop tard.

Dans un fracas assourdissant, les vitres se brisèrent en milles éclats de verre alors que le souffle de l'explosion balayait les meubles de sa chambre en tout sens. La déflagration mit le feu au rideau qui se répandit aux draps du lit jusqu'à effleurer Kakashi. Heureusement et dans un pur instinct primaire, il avait eu le temps de se dérober de la chambre en évitant de peu de se retrouver en torche humaine.

Essoufflé contre la porte menant à sa chambre, il chercha des yeux un instructeur. A peine celui-ci localisé qu'il l'attrapa vivement avant de retourner dans les flammes pour tenter des les éteindre. La sirène a incendi en fond et les cris de panique, les oreilles de Kakashi étaient à la limite de ce qu'elles pouvaient endurer.

Il fallait dire que la panique baissait largement son seuil de ce qu'il pouvait supporter.

Et Dieu seul sait que ce n'était ni le moment ni le lieu de lui chercher des noises. Celui qui lui avait fait ça, puisqu'il paraissait évident que c'était lui la cible, allait le payer cher.

Lancer un explosif sur sa chambre, la cible ne pouvait être que lui et vu son profession, ça ne l'étonnait guère. Pourtant, c'était une première qu'on l'attaque de front comme ça. Son cerveau faisait remonter discrètement le nom de l'Akastuki comme une suggestion à laquelle Kakashi répondit volontier. A l'heure actuelle, il voyait mal mis à part cette organisation sur laquelle il enquêtait lui vouloir tant de mal. Enfin, il serrait calé dans quelques minutes.

Une fois le feu éteint dans sa chambre pour éviter qu'il ne se répande à-côtés, il s'élança par ses vitres brisés. Pour y avoir était souvent, il savait qu'on le mettait toujours dans la même pièce à l'étage deux. Sa vue donnait toujours sur un arbre et Kakashi s'y accrocha sans mal pour toucher le sol ensuite. Il ne put cependant empêcher un grognement de douleur à ce geste dur qui réveiller son mal de ventre. 

Non, vraiment, son agresseur avait mal choisi son moment.

Énervé et surtout dégoûté de ce que cette tentative de meurtre envers sa personne aurait pu donner sur les autres patients de l'hôpital, il courut après la silhouette qui faisait de même plusieurs mètres plus loin.

Ce connard aurait pu tuer des personnes convalescentes, Kakashi détestait au plus haut point ce genre de personne se fichant des repercussions, surtout lorsque ça touchait des vies.

L'argenté n'allait sûrement pas laisser passer ça. Plus qu'à attraper son agresseur et motivé à le capturer comme il l'était, le gendarme n'eut pas beaucoup de mal à réussir son coup.

Alors que celui qu'il suivait essayait de le semer dans les ruelles de la villes, Kakashi avait réussit à la bloquer dans une impasse et à se servir d'un effet de levier pour l'envoyer visiter le ciel un temps. De là, sa cible était retombée assommée avec malheureusement pour elle, un homme pourtant bon complètement hors de lui.

Sans une once de douceur, il arracha la capuche qui masquait le visage de son agresseur révélant une touffe blonde. Kakashi grogna, Obito lui avait parlé d'un blond dans l'Akastuki. Nonchalamment, il le prit en photo avant d'appeler Tenzo qui décrocha de suite en voyant l'heure et l'auteur de l'appel. De là, l'argenté n'eut qu'à attendre quelques minutes pour que ne déboule son ami suivi rapidement de Danzo. Les trois hommes discutèrent de qui pourrait être l'agonisant au sol que Kakashi n'avait pas épargné il fallait le dire avant de le menotter pour l'emmener au bloc de torture pour l'y interroger.

Le chef de la gendarmerie s'occupa de le transporter alors que Tenzo restait avec son ami.

Le brun n'était pas dupe, il voyait bien la colère chez son aîné et le connaissant mieux que personne, il su en identifier la cause. Le sens de la justice de Kakashi le perdra, pensa-t-il, dès que ça touche autrui à cause de lui, il se retrouve a s'en rendre malade. La preuve étant combien il était pâle et le sang qui coulait à la fois de ses pieds et de sa joue.

Les éclats de verre de sa fenêtre lors de l'explosion ne l'avaient pas ménagé.

Pourtant, l'argenté n'en avait que faire. Son esprit bouillait d'une rage folle plus qu'inhabituel chez lui. Kakashi qui était la définition même du calme et de la nonchalance n'était plus qu'enragé et ce fut sur un pas pressé qu'il rejoint l'hôpital.

Là-bas et après une heure à remettre tout en ordre -et fermer sa chambre complètement sans dessus de sous- il eu les informations qu'il voulait. Aucune autre personne à part lui n'avait été blessé.

Instantanément, l'argenté descendit d'un degrés dans la colère.

Tsunade insista ensuite pour le soigner mais Kakashi refusa activement. S'il s'était fait attaquer une fois, une deuxième pouvait survenir. Jamais il ne reprendrait le risque de faire blesser quelqu'un pour lui.

Ainsi, il s'en alla aussi vite qu'il était venu sous les supplications pourtant de son médecin à rester. Ce fut a Tenzo de jouer l'entre deux en promettant à Tsunade de s'occuper des plaies de l'argenté et de lui faire penser à prendre le traitement que la blonde lui avait donné avant qu'ils ne partent.

Le brun avait réussit sans mal pour sa part à trainer Kakashi chez lui, à le faire s'assoir sur son canapé pour enfin s'occuper des morceaux de verre qui cisaillaient ses pieds. Tenzo se pressa le plus possible pour enfin relâcher l'argenté qui se laissa mollement tomber dans le lit de son ami qui lui avait prêté.

Avec une chose et l'autre, il fallait dire qu'il n'avait pas beaucoup dormit. Arrivé la veille en milieu de matinée, il ne s'était endormis qu'à midi passé avant de se réveiller à quatre heures pour rejoindre Morphée qu'une demi-heure ensuite. Autant dire que pour se qu'il avait, son corps n'avait perdu en rien de l'épuisement qu'il traînait, sûrement pas avec la course poursuite d'après.

Ça lui rappela celle qu'il avait vécu avec Obito lors de leur rencontre mais cette idée partit bien vite de son esprit.

Il croulait sous la rage, il fallait dire que la nouvelle de Danzo fraîchement arrivée comme quoi celui qu'ils avaient capturés s'était suicidé pendant le trajet avec une drogue ne le réjouissait pas.

Pourtant, ça le confortait dans ce qu'il avait soupçonné. Akatsuki est dans le coup et elle s'est définitivement mise en action.

Il fallait que lui aussi le face, chaleurs ou pas.

Elle allait payer, Kakashi en faisait le serment. Autant pour les dégâts qu'elle venait de causer dans un hôpital que pour tous ceux qu'elle fait dans les bidonvilles.

Il allait s'en charger.

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Heyy ! Ça va ?

Alors alors, ça commence à bouger vite tout ça ;3

Drames et marinades à la Pseupseu seront au rendez-vous, je préviens. Préparez vous à mijoter mes enfants hé hé hé hé mouhehehehehehehe.

👀

Non non je vais bien merci. ×)

Bon, j'espère que ça chapitre vous aura plu et je suis contente de pouvoir vous annoncer que je sais enfin où je vais ~(-^-)~ oui seulement maintenant et alors ? D'habitude c'est au chapitre 10 ou 15 que je me décides alors c'est un exploit \(*^*)/

Enfiiiinnnn breeeffff, je m'excuses pour le retard d'une semaine mais je ne peux malheureusement pas promettre que ce sera le dernier. J'ai mon deuxième brevet blanc qui arrives et des tas dévaluations en tout genre entre temps. Puis ensuite c'est le gros bazar avec tous pleins de choses a faire ou réviser qui prennent trois plombes alors voilà voilà. Je vous met tranquillement dans le bain ×)

Bon, assez blablater et sur ce, je vous dit à je sais pas quand mais normalement dans deux semaines pour la suiteeeee ! Zoubiiiii

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