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Il lui parlait mais elle ne semblait pas comprendre, cette jeune femme lui semblait familière, mais elle, elle  ne le connaissait, en tout cas ne le reconnaissait pas.

-Ana, tu ne te rappelle pas de moi? Moi je te reconnais; tes yeux bleus, tes cheveux blonds. Je te reconnaitrais toujours

Elle ne lui répondait pas, elle pensait que si elle lui répondait il ne partirait plus. Alors qu'elle ne devait même pas l'approcher, mais elle n'arrivait pas à partir elle voulait savoir ce que cet homme lui disait, comprendre ce que cet homme lui disait. Eliane ne l'écoutait pas, en tout cas en donnait l'impression, cet homme qui lui affirmait la connaitre ne lui disait rien, ce qui été normal; chez elle, chez les nymphes,il n'y avait que des femmes.
Et même si Eliane avait perdu !a mémoire depuis quelques mois, elle savait, le ressentait, qu'elle avait toujours vécu parmi elles, parmi ses soeurs.

-Tu es sûre de ne pas me reconnaître, dit-il en obligeant Eliane à le regarder, Aller Ana! Je sais que tu vas me reconnaître! Je suis Charles!

Elle ne connaissait aucun Charles. C'est vrai, ce prénom lui été familier, mais de là à dire qu'elle le connaissait... nonc'est impossible. . Mais ce prénom, "Ana"... ce son... il parait sicommun, si proche. Eliane ne savait pas quoi penser. Cet homme la chamboulais, elle se releva pour échapper à cette torture prychologique, mais dès lors qu'elle lui tourna le dos, une main pris sa ceinture, l'obligeant à se baisser vers le jeune homme.
Ses lèvres se firent emprisonnées dans un étau charnel.

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