Love me like you do
J'avais une vie ordinaire avant tout sa . J'étais la madame tout le monde quoi . Et puis elle est arrivée. Cette chose que j'attendais depuis si longtemps. Mon âme sœur . Depuis ce soir où elle s'est décidée à s'ouvrir à moi et rien qu'à moi .
Alors que gérer un entrepôt de marchandises pour le compte de la firme Amazone n'avait plus aucun secrets pour moi, j'étais dans une allée à compter les palettes sur mon calepin, et une question vint me tarauder l'esprit : Il serait temps que tu partes à la recherche de la personne qui te fera enfin vibrer pour de bon .
J'avais déjà essuyé un divorce et j'avais sentis mon coeur et ma raison se fermer comme un coffre dont ont aurait jeter la clé à la mer pour que plus jamais il ne puisse s'ouvrir.
Tout les jours depuis ce temps-là c'était il y'a un an environ je me disais en mon fort intérieur que je finirai par vieillir seule et que personne ne sera avec moi jusqu'à la fin . Oui se dire sa alors qu'ont a presque quarante ans c'est tragique et glauque.
Mais que voulez-vous, quand votre vie prend un tour pathétique et que vous ne savez plus ce que vous avez à offrir encore eh bien vous avez une sorte de vinyle qui vous chantonne cette vielle rengaine tout les jours : « Un de perdu, dix de retrouver ! »
Tu parles Charles ! C'est de la foutaise. Bref tout était morne, sans surprise, sans attente particulière, ou aucune espérance et puis la nouvelle chef de la firme débarqua :
« Bonjour, je suis Rachel Mendosa, vous devez être Mme Clara Rey je présume . »
- Oui, en effet ...mais je ...
- Vous vous occupez de la logistique de nos entrepôts, depuis huit ans . Il serait temps de voir vôtre avenir un peu plus haut, vous ne croyez pas ?
- Plus ...haut ?
- Un poste avec plus de responsabilités.
- Excusez-moi, mais je ne l'avais jamais envisagé jusque-là, car ont ne proposait plus d'évolution de carrière au sein de l'entreprise, alors je suis resté ici .
- Maintenant sa va changer fit-elle avec un clin d'œil.
Et elle repartit dans son tailleur tirer à quatre épingles et ces escarpins hors de prix de dix cm.
Elle était autoritaire mais avait une sorte de familiarité avec moi sur le moment que mon cœur avait manqué de battre pendant ce cours entrevue.
Je ne peux pas tomber amoureuse de cette femme, et son statut me disais clairement qu'ont évoluait pas dans les mêmes sphères sociales.
Quelques mois avaient passés et effectivement je réussis à me former à un poste plus haut et donc Rachel et moi s'entretenions quotidiennement dans son bureau design. Quant un beau jour il se passa une évènement inattendu :
- Clara je ne sais pas comment vous le dire mais vous faites de l'excellent travail, notre force de vente à augmenter de 10% le mois dernier je ...
Elle fondit en larme sous mes yeux .
- Mme Mendosa, quelque chose ne va pas ?
- Oh excusez-moi mais je ne pensais pas craqué comme ça devant vous , je suis confuse .
- Ce n'est rien, tenez, je lui tendis un mouchoir. Après s'être essuyé les yeux elle me regarda intensément. Et je me sentis instantanément happer dans sa tristesse, comme si j'avais pénétré son cœur sans le vouloir .
Elle avait dû sentir aussi que chez moi il y avait comme un néant car quand elle s'approcha elle fit un geste auquel je ne m'attendais pas du tout .
Elle avait posé sa main sur mon cœur avec douceur et m'avais de nouveau regarder :
- Qu'est-ce qu'il vous est arrivée Clara Rey ?
- De quoi parlez-vous?
- Je ressens à votre égard, une sorte de gène et de peine comme si vous aviez perdu quelque chose de précieux.
Wahh elle était perspicace. Oui j'avais perdu quelque chose de précieux . Ma capacité à faire confiance en matière de sentiments.
- Nan je vais parfaitement bien, je vous assure .
- Je suis sûr du contraire...
- Mme Mendosa si vous n'avez plus besoin de moi j'aimerai disposer maintenant.
- Vous partez deja ?
- Oui il y a beaucoup à faire .
- Comme vous voudrez, mais j'aimerai que nous finissions cette conversation une autre fois .
Avant de sortir de son bureau je me retournais et la regardais encore . Même de loin je sentais encore l'odeur de son parfum m'envahir. Elle aussi me toisait de ces prunelles d'une marron intense.
En retournant à mon appartement mon esprit refusais de penser à autre chose que cette femme. Pourquoi pleurait-elle ? Et surtout pourquoi elle s'intéressait subitement à moi ...?
À suivre ....
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