La maison d'édition
Sa faisais des années que j'étais un écrivain raté qui n'arrivais jamais à ses fins . Mes tapuscrits ( merci pour ce terme appris dans un vidéo you tube) ne donnaient pas du tout envie aux grands noms des maisons d'éditions et maintenant je vais dire M.E car sa me gave d'écrire le nom entier .
C'était la dèche, mais ma volonté d'y croire encore et encore, comme en amour à mon grand désespoir ne me laissais pas une minute de repos. Mon cerveau était sans arrêt en train de retourner, faire et défaire toutes mes aventures . Quel genre d'idées pouvais bien séduire ces grattes papier qui pètent plus haut que leurs cul chaque fois qu'ils parlent du monceau de taff qu'ils reçoivent par courrier chaque jours .
Alors il se produisit quelque chose d'absolument extraordinaire. J'avais gagner à la loterie 100 millions d'euros. Là je savais comment je mènerai ce combat que j'avais très envie d'achever depuis un moment. J'avais l'idée du siècle. Il ne vont pas en revenir .
Il fallait que je mette mon plan à exécution. Pour sa il me faudrait traquer une personne en particulier. Sa ne serait pas une mince affaire car cette personne est le plus grand nom à la tête de toutes M.E du pays : Alice Meret . Cette pouff siège à tout les comités d'attribution de prix et de contrats en littérature thriller et Policière plus précisément étant férue du genre .
Cette fois, elle fera la « Une » mais pas vraiment pour son prestige . Elle à prit l'habitude d'avoir une table au café de Flore une enseigne réputée dans la région Parisienne. Tout les jours elle y vient pour y lire divers propositions, rencontrer des Auteurs de renom, approuvé des remises de prix et enfin faire entrer de nouveaux auteurs sur le marché.
Je l'ai épiée incognito pendants des mois pour connaître par cœur ces habitudes et voir si il n'y avait pas une faille pour la kidnapper. La seule qui s'offrait à moi était le jour ou un serveur renversa un plat de sauce aux champignons sur son tailleur Chanel d'une blancheur immaculée .
La scène aurait pu être comique si cette conne n'avait pas fait virer le serveur sur le champ en jouant de son statut .
Au moment de l'incident je m'étais planqué dans les commodités pour l'y attendre. Elle était rouge comme une tomate . La fille hystérique braillait au téléphone qu'il fallait immédiatement lui ramener une tenue convenable dans les 15 minutes qui suivait, sans quoi du personnel allait encore sauté.
Elle mériterait de crever pensais-je sur l'instant, mais la punition que j'allais lui infligé ferait suffisamment le café comme j'aime à le dire . Au moment où elle se dirigeait vers une des cabines je bondis hors de la mienne et lui planta mon tranquillisant trouver grâce à un ami vétérinaire. Eh oui sa sert les amis .
Elle était à moitié inconsciente je l'aidait donc à quitter les lieux par la porte de derrière . Oui issue d'évacuation, je suis agent de sécurité je sais comment m'y prendre. C'est pour expédier ma petite histoire plus vite, car il se fait tard et j'ai les yeux qui se ferment .
Je réussis à l'emmener sans que personne ne nous voit jusqu'à un entrepôt de recyclage en papeterie. Je l'avait solidement attaché à une chaise et les pieds de celle-ci à la table mais en lui laissant les bras libres pour la tâche que je lui demanderais d'accomplir.
À son réveil j'eu le droit à tout : cris, négociations en tout genre et supplication de ne pas la tuer:
_ Je ne veux pas vous tuer chère Madame, oh sa non .
Je la vit souffler pour relâcher la tension et le stress.
_ Nan ce que je veux, c'est que vous bouffiez des tapuscrits, littéralement je veux dire .
_ Mais vous êtes cinglée ma pauvre amie, me balança-t-elle d'un air hautain ultra agaçant .
_ Si vous le voulez, mais je suis riche aussi et je veux publier mon livre .
_ Dans ce cas aucun problème relâchez-moi et je m'exécuterais...si il est bon .
_ Oh que oui il va l'être! C'est de la chose atroce que je vais vous faire subir dont je vais parler dans mon livre .
_ Nan, pitié je suis sûr qu'il y a un moyen de nous entendre.
_ Oui bouffer ces ces tapuscrits devant vous jusqu'au dernier. Allons ce n'est rien il n'y en a qu'une centaines .
_ Nan, vous pouvez vous faire foutre .
_ Ok, alors ont va passer à la grosse correction . Je vous coupe une phalange avec ce jolie couteau de boucher chaque fois que vous direz non .
_ Vous n'irez pas jusque-là, je le sens vous êtes une bonne personne, vous ne faite pas ... arhhhhhh!!!
_ Voilà il ne fallait pas m'énerver, maintenant exécution, ou je soigne pas et la gangrène sera votre nouvel ennemi, à vous de voir .
Un petit silence s'installa, puis elle s'y attaqua .
Comme je savais que la tâche serai dure sans eau j'avais prévu de lui verser quelques gouttes toutes les 10 pages .
Au bout de 12 heures elle en avait presque finit, la mâchoire complètement déformé, les larmes aux yeux, le maquillage qui s'était écoulé sur ces joues lui donnait un air de chanteuse gothique et elle n'arrivait presque plus à émettre un quelconque sons
Quand elle eut finit je l'anesthésiais à nouveau et la ramenait devant le bâtiment où était son bureau.
Quelques mois après mon livre : « Hungry girl » sortie et ce fût un franc succès . Sans compter que elle n'avait absolument rien dit dans la presse de sa mésaventure, signa même que c'était le meilleur thriller qu'elle avait mangé... euh nan lu . Puis elle a obtenu une place dans le Guinness pour le record de plus grosse mangeuse de papier au monde, étonnant non ?
Fin .
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