Poussée par Calicef , j'ai lancé une playlist de Max Ritcher et quand un titre me plaisait j'en écrivais un texte en mode écriture automatique pendant l'écoute dudit titre. Voilà le troisième texte que j'en ai fais.

Les goutes de pluies tombent et éclatent sur le sol.

Une après l'autre.

Ploc, ploc ploc.

Au loin tu entends les cris de la foule. Elle ne crie pas vraiment, elle communique, mais à toi cela parait être les hurlements d'un monstre.

Petit à petit tu t'en détaches.

Tu es ces goûtes d'eau qui se brise à chaque instant. Tu n'es que douleur et mélancolie.

Tu es malheur.

Tes cris à toi personne ne les entends. Ils sont enfermés dans ton cœur.

Au profond de toi-même.

Le monstre dehors continue de hurler encore et encore. Il n'est pas vraiment menaçant, probablement aussi malheureux que toi.

Car c'est ce qui se cache au profond de ton cœur c'est le malheur.

La peine. La douleur. La solitude.

Au fond tu voudrais crier avec eux. Pas crier non, mais chanter. Chanter au même rythme qu'eux, être l'un des leurs.

Mais tu n'es que toi-même. Différent, seul. Tes cris ne s'accordent pas aux leurs, chez toi il n'y a que silence.