Le Chemin d'une déesse... (One Piece)
Bonjour. Parce que je suis polie. Ca va? Non, en fait je m'en fiche!
Je reviens avec un nouvel O.S One Piece et beaucoup de choses a dire (ou pas).
- J'ai eu mon bac! (Ouais, youpi, on s'en fout! ça ne changeras pas votre vie, je suis d'accord).
- Je m'excuse de cette longue, très longue absence. C'est vrai que j'ai posté sans m'excuser. Après mes résultats, j'ai tenté de me concentrer mais... La série Bull a commencé, j'ai fini la saison 2 de Mc Gyver, REcommencer Once Upon a time, lu les derniers scans de One Piece et My Hero Academia et vu le derniers épisodes de Boruo. Avec tous ça, c'était compliqué de ne se concentrer que sur une chose.
- Cet O.S est pour moi l'occasion de présenter deux choses.
_Primo : Cette façon d'écrire est aussi utiliser dans ma fic Boruto.
_ Le système de Dieux et Déesse présenté.
Dans les deux cas, dites m'en des nouvelles et ce que vous pensez. Evidemment, dans un commentaire un minimum correct et structuré (les "c'est nuls" ne m'aident pas, navré).
Les personnages ne m'appartiennent pas, évidemment. L'oeuvre originale est tirée de Eichiro Oda, merci de respecter son travail et le mien. Aussi je refuse que le moindre élément ne soit pris de cet O.S, encore plus que dans les autres.
Bon, au lieu de vous emmerder: bonne lecture!
-----------------------------------
Je m'approche doucement du vieil homme qui se tient assis au bord du vide. Malgré mes pas légers et mon souffle inexistant, l'homme se retourne, son éternel sourire plaqué au visage.
– Salut Roger. Comment va Ace aujourd'hui ?
– Bien. Magnifiquement bien. Je suis particulièrement heureux qu'il ai trouvé une famille.
– Il n'est qu'un enfant, attend qu'il ai grandi.
– Que fait ma chère Rouge ?
– Elle discute, comme tous les jours. Je ne sais pas de quoi elles arrivent encore à parler. Ça fait 10 ans qu'elle est morte, et son flot de parole ne tarit pas. Je suis impressionnée.
– Toi, la déesse de la mer, tu es impressionnée ?
– Que crois-tu ? Ce n'est pas parce que je suis un être divin, que j'ai tout vu, que je ne peut pas être impressionner.
Il rit et me montre Ace du doigt. Il se dispute encore avec Luffy. Sabo fais encore l'arbitre. Nous continuons de les observer en imaginant leurs futurs. Je ne le connais pas, ce n'est pas mon domaine. Ace est mignon, je trouve. Mais a 10 ans, ils le sont tous non ?
7 ans plus tard...
Je discute gaiement avec un ancien pirate du nom de Yorki et son équipage. Ils me comptent comment une baleine s'est attaché a eux et pourquoi ils ont dû la laisser aux cap des jumeaux. Je suis très ému par cette histoire. Les mystère de la mer, je les connais tous. Mais les surprises qu'elle peut créer ou les créatures qu'elle peut attirer, je les trouves fascinantes. J'applaudis a une blague de Madaisuki.
L'aube se lève sur le monde des vivants. Je laisse mes compagnons de fortunes a leurs ripailles et vais m'asseoir au bord du vide qui sépare les trois dimensions. Celle des vivants, celle des morts et celle des dieux. Deux bruns s'éveillent lentement, dans une maison de bois. Aujourd'hui, c'est le jour du départ d'Ace pour la mer.
Roger vient s'asseoir a coté de moi. Il sourit encore. Suite aux habituelles salutations, il me répète qu'il ai content qu'Ace ai trouvé un frère. Il ajoute qu'il est un peu triste qu'il ne croit Sabo mort. Je me contente de hocher la tête et sourit.
3 ans plus tard...
Mes yeux rivés sur Luffy dérivent sur le bleu de l'eau. Ça fait un moment que j'ai cesser de suivre Ace. J'ai une soudaine envie de le revoir et m'écarte du précipice. Comme d'habitude, les fans de Roger (qui ont mis 9 ans a comprendre que l'aube est sacré pour lui, qu'il va observer son fils naviguer) m'indiquent avec précision où il est.
– Combien de temps ?
– Deux semaines.
– Heureusement que tu es déjà mort. Je souris. Dans le cas contraire, tu aurais rendu l'âme de ne pas dormir autant.
– Il fait la fête presque toute la nuit et se lève au milieu de la matinée.
– Sauf qu'il s'endort n'importe où, n'importe quand, n'importe comment.
– C'est vrai. Je l'ai vu repousser des filles hier. Il est vraiment devenu populaire.
– Nous ne pouvons pas nier qu'il attirant. Je soupire sans détacher mes yeux de lui.
– Au point de s'attirer l'amour d'une déesse ?
– Très drôle, Roger.
– Je ne rigole pas.
– Je sais. Même si tu sais, je compte sur toi pour garder le secret. Une déesse amoureuse d'un mort, c'est possible. Après tout vos corps sont dépourvus d'aspérités... indésirable.
– Mais une déesse amoureuse d'un mortel vivant...
– C'est pathétique et très mal vu.
– Je ne comprendrai jamais vos lois.
– Je te rassure, je ne les comprend pas moi même. Mais je m'y plie, ça suffit pour que je puisse continuer de venir ici. En parlant du loup, il va falloir que je rentre quelques temps dans la dimension divine.
– Ton énergie s'épuise.
– Ça fait 800 ans que je suis la naissance et l'épanouissement de la piraterie depuis le monde des morts. Il est temps pour moi de rentrer.
– Combien de temps ?
– Facilement 6 mois.
– Pour 800 ans ?
– Tu rigole ou quoi ? C'est loin d'être assez. Il se passe tellement de choses en 6 moi s chez les humains. Comment veux tu que nous veillons a la bonne santé de la planète si nous manquons plus que 6 mois ?
– Tu ne peut pas rester dans la dimension divine plus longtemps ?
– Bien sur que si. Mais ça ne m'intéresse pas. Je connais les dieux depuis la création de l'homme par notre père. Je les connais tous par cœur et six mois suffisent amplement pour nous raconter ce qu'ils se passe du coté des autres.
– Même pour le dieu de la terre ?
– Oh lui ? Ce n'est pas nécessaire, je passe mon temps au royaume des morts.
– Et ?
– Et il y a de nouveaux arrivants de partout, qui ont tous une histoire a raconter, une révolution a observer ou un roi a adoré.
– Tu touche un point. Sourit-il encore.
– Et Ace ?
– Il a intégré l'équipage de ce vieux Barbe Blanche. Je suis heureux. Il n'aurait pu trouver meilleur bienfaiteur pour lui. Être mon rejeton n'a pas que des avantages, au contraire.
– Il s'en sortira. Il vas où là ?
– Retrouver Teach, alias Barbe Noir.
– Je ne le sens pas. J'y vais, je suivrai ses aventures d'en haut.
Je passe voir les fêtards, puis Rouge. Je me rend ensuite a la porte qui sépare les trois dimensions. Je pourrai passer de l'une a l'autre n'importe où, mais c'est interdit. Pour des raisons de sécurité, les morts pourraient se rendre compte qu'ils peuvent le faire aussi. Une guerre de 2000 ans a éclater, au début. Les morts se croyaient chez eux partout et les déesses étaient victime de harcèlement sexuel et de voyeurisme récurrent. Les dieux aussi, mais beaucoup moins. Ils sont imposants. J'en ai moi même été victime. Heureusement, je suis réputé pour ma froideur et mon intransigeance. Aussi je donnais la sensation a mes agresseurs ou aux voyeurs de se noyer. Et pour en être experte, je sais que c'est désagréable et trèèès douloureux. Comme c'est pratique d'être une déesse. Notre Père a donc bannit tous les morts, il y a 800 ans, et instaurés la loi que seul le passage de la porte devait être utiliser. Ma petite sœur, la déesse de la mémoire, a effacer les souvenirs de tous. Personne ne se souvient qu'ils pouvaient traversé n'importe où.
Quand nous avons enfin réussit a ramener la paix dans le monde céleste, la guerre avait ravagé le monde des vivants et nous nous en sommes mordu les doigts. Ces idiots de souverains jaloux se sont pris pour des dieux. Ils ont divisé le monde pour mieux régner et nous nous battons pour rétablir un ordre mondial équilibrer. Un ordre où tous les peuples peuvent être égaux, a leurs échelles, et où nos cultes ne disparaissent pas. Quand nous y serons arrivés, je reprendrais les pouvoirs que j'ai donné aux fruits. Mais c'est une autre histoire.
En une fraction de seconde, je me retrouve face a mon frère jumeaux. Celui qui partage la place d'aîné avec moi. Le dieu de la terre.
– Ma chère sœur, je savait que tu reviendrais aujourd'hui.
– Mon temps dehors est écoulé. Mais ne perdons pas une minute et allons nous asseoir, que tu me raconte comment ton monde évolue.
– A condition que tu me raconte ce qu'on dit sur mon domaine, et ce qu'on dit sur le tien. Sourit-il.
– Adjugé vendu ! Dit-je en riant.
6 mois plus tard...
Je m'étire en me levant du canapé dans lequel je suis assise depuis une semaine, non-stop. Nuit comprise. Je peux enfin sortir. Je n'ai pas regarder le parcours d'Ace depuis deux mois. Je préfère laisser le plaisir a Roger de me raconter les exploits de son fiston. D'accord, je dois reconnaître qu'il m'a manqué. Je me réjouis d'avance de revoir sa bouille. Je mentirai si je disais que je n'ai jamais rêver qu'il m'embrasse et qu'il me serre dans ses bras. Bon d'accord, je suis folle de lui. Mais si une déesse ne pouvait pas s'abstenir 6 mois, comment gérerais-t-elle l'éternité ? Non ?
Je tape dans la main de la Gardienne de la Porte et saute au travers. Visiblement, il s'en est passé des choses. Le monde des morts est en effervescence et Roger m'attends a coté de la porte.
– Il s'est passé tellement de choses durant ton absence que je ne me souvenais plus si c'était 5 ou 6 mois.
– A ce point ?
– Tu n'es pas au courant ?
– Je ne me suis pas informé depuis deux mois, les histoires de mon frère sont passionnantes. Qu'est-ce qui se passe ?
– Ton souhait est exaucé.
– Le seul souhait que j'ai c'est de terminer ce cauchemar qu'est devenu l'ordre mondial pour récupéré mes pouvoirs. Que j'ai confié aux mortels, je te rappel.
– Je parlais d'Ace.
– Barbe Blanche t'a succéder ? Ace connaît la vérité pour Sabo ? Luffy est le nouveau roi des pirates ? Non, ça ce n'est pas possible. Il est partit de Goa il y a tout juste 6 mois.
– Non, pas exactement. Ace est mort.
– Qu-
– Barbe Blanche aussi. Ainsi qu'un bon nombre de pirates et de marines.
– Laisse moi deviner, une guerre ?
– Tu m'épateras toujours.
– Je suis une déesse Roger, dis-je en m'avançant dans la foule. Des guerres, j'en ai vu. J'en ai vécu. J'en ai perdu. Et j'en ai gagner.
Je m'avance vers ceux qui viennent tout juste de débarquer. A ce que je vois, ils ne sont pas là depuis plus d'une semaine. Les morts ne ressentent pas la fatigue. Ils sont encore a admirer leur entourage et la déesse de la Mort essai en vain de se faire entendre. Les gens s'écartent devant moi et j'arrive rapidement à coté de ma cadette. Je pose une main sur son épaule et elle me lance un regard larmoyant.
– Laisse moi faire sœurette.
– Oh merci infiniment de prendre la relève. C'est le pire groupe que je n'ai jamais eu.
– Tu es rentrée récemment ?
– Non, et j'arrive a bout.
– Va te reposer, je prend la relève pour ce soir.
– Mais...
– Père t'a donner des assistants pour ce genre de cas. Donne leur des ordres. Ils sont là pour t'obéir.
– Oui. Mais...
– Nous verrons les détails plus tard. Si tu as besoin d'aide avec eux, appel moi.
– Je... D'accord, bonne nuit.
Je hoche simplement la tête et me tourne vers le groupe immense qui vient d'arriver. J'ouvre les bras et tous se prennent la gorge.
– Enchanté mes amis. Dit-je en entamant mon discours de bienvenue alors qu'ils souffrent encore. Je suis la déesse de la mer. Me présentais-je en les laissant respirer. L'une des Premières. Un seul de mes caprices peut vous faire vivre un enfer. (Certains commencent a s'incliner, c'est bien) La déesse des Morts est celle que vous avez négligé avec aucune vergogne. Marines comme pirates. Je vous l'accorde, elle n'a pas beaucoup de présence et est un peu timide. (Certains rient, c'est ce que je cherchais. Eux, je vais les mater) Mais elle reste ma sœur cadette et le premier qui lui manqueras de respect se verra être puni par les foudres de mon frère jumeau et de notre Père. Ce sera plus clair au fil du temps. Mais sachez que si vous me trouvez dur, mon frère est pire et notre Père... (Roger pose une main sur mon épaule) Pardon, je divague. Je parle trop.
– Où sommes-nous ? Demande un pirate.
– Dans la dimension des morts, petit malin. Vous avez l'éternité devant vous. Si votre ligné s'éteint dans le monde des vivants, du coté maternel ET paternel, vous vous éteignez vous aussi au bout de cinquante ans. Croyez-moi, ça passe vite. Même si vous ne connaissez pas et n'avez aucun contact avec l'un des membres de votre famille, tant qu'il est votre descendant, quelque part, vous ne disparaîtrais pas. Ici, pas de conflits. Je sais que vous n'étiez peut être pas ami de votre vivant, mais vous êtes tous sur un pied d'égalité ici. Pirate, révolutionnaire, dragon céleste, esclave, marine ou civil. Si certains ont encore des pulsions malsaines a assouvir, qu'ils viennent me voir. Je suis en partie là pour ça. Il n'y a qu'une porte d'entrée, c'est par là qu'arrivent les morts. Cette porte donne sur toutes les dimensions. Que ce soit celle des vivants, des morts ou des dieux. Mais seuls les dieux peuvent l'emprunter.
– Pourquoi ?
– Parce que c'est nous qui régissons les lois de ce monde. Vos questions attendront. Les morts déjà présents y répondront. Il y a tout ce qu'il faut pour s'occuper et vous pouvez vous rendre n'importe où, il n'y a que le sol ici. Un vide sépare les dimensions, défense de sauter dedans. Les migraines qui suivent, ce n'est pas vous qui les endurez. Je pense avoir fait le tour. Nous avons des yeux et des oreilles partout. Je vous souhaite une belle éternité. Je conclut en souriant.
Je m'écarte de la foule et part. Je soupire de soulagement une fois hors d'atteinte. Je vais me percher sur la maison de ma sœur et observe les pirates et les marines faire amis-amis ou partir retrouver de la famille décédé. Roger s'approche doucement de son fils et je vais me poster derrière lui.
– Barbe Blanche, quelle joie de te revoir. Même si c'est dans ces circonstances. Ace, une joie de te rencontrer.
– T'es qui ? Demande Ace, me faisant sourire.
– Roger, vieille branche ! L'éternité te vas bien.
Ace n'a pas le temps de cracher son amertume sur son père que je m'avance. Les deux s'inclinent devant moi. Roger a droit a un regard étonné.
– Barbe Blanche, Ace, enchanté.
– Le plaisir est pour nous, déesse...
– Mon nom importe peu. Seuls mes frères et sœurs secondaires l'emploient. Barbe Blanche, je suis impressionner par l'influence que tu as réussis a propager sur le monde. Même en étant un pirate de renom, les civils t'admiraient plus qu'ils ne te craignaient. Ace, je connais ton père depuis bien longtemps et je suis aux anges de pouvoir te rencontrer enfin. Contrôler le feu te plaisait-il ?
– Oui madame.
– Ah non. Je me sens vieille. Tu ne m'appelle pas. Un simple « oui » suffit.
– Ace, sache que les pouvoirs qui sont dispersés sur le monde sont les siens. Intervient Roger.
– Vraiment ?
– Oui. Nous avons beaucoup de choses a nous dire. Allons nous asseoir, ce sera plus agréable. Vous ne ressentez pas la fatigue, moi oui.
Je les mène vers mon petit palace privée, que j'ai érigée en vue de ce jour. Cette éternité là promet de bien me plaire.
A suivre... Peut être ?
-----------------------------------------
A vous de choisir s'il y a besoin d'une suite ou non. Mon clavier marche mal alors n'hésitez pas a me le dire s'il manque des lettres quelques part.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top