Annonce et traque [Partie 5] (One Piece)

 Je hoche la tête a la proposition de Nephtys.


– Je suis d'accord. Et toi Niels ?

– Non. Pas moi. Lui amputer les ailes ? Avec de bons médecins, ça peux se faire sans douleur et elle n'aura plus aucun droit. Juste celui de survivre.

– Pas faux. Je suis d'avis qu'on ne lui administre même pas d'anesthésiant. S'exclame Nephtys.


Nephtys est encore plus cruelle que moi. La plupart des tortures que nous affligeons a nos ennemis, c'est elle qui s'en charge. Elle a un panel d'instruments de tortures vraiment impressionnant. Elle ne s'entendait pas avec Léna de base mais elle passait sur son comportement de diva, parce que c'est sa sœur. Léna a fait une grave erreur. Elle lui coûtera la raison.


– J'ai encore mieux. Je propose avec un sourire mauvais. Nous la laissons entre les mains de Nephtys. Non ? Elle sera ton jouet. Après tout, tu as perdu ton aile par sa faute.

– Non. Non ! S'oppose fermement Niels. Elle va devenir folle.

– Pour les dix prochaines années alors ?

– Quinze ! Tente Nephtys quand elle voit qu'il hésite.

– Dix. Fixe Niels.

– Treize. Affirme Nephtys.

– Onze. Je lève la main.


Les deux me regardent. Nephtys pince les lèvres mais tend la main a Niels. Il la prend. Adjugé-vendu ! Léna se verra amputer de ses ailes et sera livré aux mains de Nephtys. Beaucoup pensent que nous n'avons aucune pitié. Nous devons ce magnifique constat a.... Je vous le donne dans le mille : Judge Vinsmoke. Il avait déjà réussit a évincer la pitié chez nos parents. Le scrupule aussi.

Je suis assise sur le lit de Nephtys. Terry est de l'autre coté et tiens sa main. Ils s'aiment depuis si longtemps, tous les deux. Je me demande quand est-ce qu'ils le diront enfin a Mama. Nephtys avait peur qu'elle le prenne mal. Mais c'est moi l'Héritière. Sauf évènement imprévue, elle peut épouser qui elle veut. Je pense honnêtement que Mama acceptera Terry. Après tout, il est mon meilleur ami. La porte s'ouvre sur Reiju.


– Alors ?

– Torture pendant onze ans et privée de ses ailes. Je dis. Maintenant, il faut la trouver.

– C'est votre sœur ?

– Oui. La sixième. Nous sommes 14, nous aussi nous avons instauré le système de chiffre, un peu comme vous. Sauf que nous n'avons pas chacun notre couleur. Mais chacun notre spécialité. Niels est un sniper, Skander manie une grosse épée. Lyam préfère les dagues. Je me bat avec un bâton. Nephtys avec des aiguilles empoisonnés. Et ainsi de suite. Léna se bat au fouet.

– Elle ne s'est pas beaucoup entraîner. Expose Nephtys. Elle préfère se faire les ongles que parfaire ses techniques de combat.

– Elle reste redoutable pour les triplés, les jumelles, les jumeaux et Axel. Ils seront donc écartés de la chasse.

– Non. Intervient Niels. Nous avons besoin de l'esprit de Yada.


Yada peut localiser l'un des nôtres, peu importe la distance. Elle a déjà localiser Skander quand il est partit sur East Blue alors que nous étions dans le nouveau monde. Je reste silencieuse, pensive. Niels a raison. Raaah ! Lyam et Skander me manquent, j'ai besoin d'eux.


– Reiju, est-il possible d'avancer la réunion pour la décision du mariage ? Ou alors pouvons nous sortir pour aller voir notre peuple ?

– Je vais voir ce que je peux faire. Sourit-elle.


Assise en tailleur sur les jambes de Nephtys, je réfléchis, encore et toujours. Qu'est-ce qu'elle m'énerve Léna ! J'aimerais lui écraser le crâne là tout de suite. Mon esprit dérive vers Ichiji. Qu'est-ce qui lui est venu a l'esprit quand il a su que Sanji avait mis les voiles ? Qu'il n'en avait rien a faire sûrement. Après tout, Sanji est le raté de la fratrie. Il est gentil, mais ça s'arrête là. Un râle de frustration m'échappe. Je propose a Niels d'aller faire un tour. Je pense qu'un petit affrontement ne serait pas de refus. Même si nous sommes spécialisés dans les combats a distance, l'un comme l'autre, nous maîtrisons quand même le combat rapprocher. Heureusement pour moi, Léna déteste le corps a corps et n'en a que de très vagues notions. Je ne serai donc pas obligé de l'utiliser.

Comment ça, ce serait mieux ? Vous avez déjà essayer de vous battre avec un as du fouet vous ? Le corps a corps n'est pas ce qu'il y a de mieux, je vous le garantis ! Je sais que je peux la battre. Je l'ai déjà fait. Encore faudrait-il que je sache comment. J'ai pour habitude de visualiser les combats avant de les affronter. Mais dans ce cas, il y a trop de variable. Même si elle ne s'entraînait pas aussi dure que nous, Léna a toujours eu la capacité de maîtriser très vite tout ce qu'elle apprend. Et ça, ça va être problématique. Elle doit se douter que je ne resterai pas les bras croisés.

Je sursaute quand on me pose une main sur l'épaule. J'étais tellement absorber par mes pensées que je n'ai pas entendu Reiju entrer. Elle a un sourire en demi-lune, d'une oreille a l'autre.


– Isis, tu es convoquée dans la salle du trône, habille toi correctement. Des vêtements propres t'attendent dans ta chambre.


Elle part sans me laisser le temps de répondre. C'était quoi ce sourire ? Je me lève d'un bond et me rend invisible pour pouvoir courir sans encombre dans le palais. J'entre en fracas dans ma chambre et referme la porte dans le mouvement. Je réapparais et observe la robe apportée. Elle est blanche comme neige. Ma peau se verra a peine mais elle rehausse les couleurs de mes ailes et de mes cheveux. Je l'enfile. Comme tous les vêtements prêter jusque là, elle me va a ravir. Elle a une petite traîne derrière mais elle ne me gêne pas. Avec sont fournis des talons blancs cassé allant avec les complexes dessins de la robe. Je me dirige ensuite vers la salle du trône, accompagné de Terry et Niels. Il y a aussi deux gardes du Germa 66 mais je suis tellement nerveuse que je ne les remarque même pas.

En entrant dans la salle du trône, j'ai la mauvaise surprise de la trouver pleine. Des nobles, des aristocrates, des artisans, des fermiers, il y a de tout. Comment a-t-il fait pour les rassembler aussi vite ? Je prend une discrète inspiration et m'avance. Mes cheveux sont encore humide du bain, donc ils ondulent a la limite de la boucle anglaise. Mes ailes sont déployés pour montrer mon rang de princesse alors que celles de mes gardes sont pliés, frôlant le sol derrière eux. Je m'arrête a une dizaine de mètre du trône et m'incline avec autant de grâce que me le permet mon corps raide. Je ne stresse pas souvent, mais il a la faculté de monter comme une flèche. Je peux passer de calme a nerveuse en quelques secondes et inversement. Mon cerveau a appris a analyser rapidement les situations. C'est pratique en matière de combat, mais c'est un inconvénient pour mon rôle de princesse.

Judge entre, suivit des Commandants. Il s'assoit sur le trône et les quatre commandants se placent autour de lui. J'essaie de me détendre, de ne pas paraître nerveuse. Ichiji, Yonji et Reiju sourient alors que Niji tire la tronche. Par pitié, que ce ne soit pas lui que je doive épouser s'ils ont accepté.


– Princesse Isis Noun, du peuple Spirit. Vous avez soumis une demande en mariage a notre royaume il y a de cela une journée.

– C'est exact. Je répond.

– Les termes du contrat seraient les suivants : Vous bénéficiez de la protection du Germa 66 et d'une partie du Royaume. Et nous bénéficions de vos services d'assassins et d'espions gratuitement. De plus, vos parents ayant été génétiquement modifié, vos caractéristiques sont intéressantes pour l'héritage des Vinsmokes. Est-ce correct ?

– Puis-je poser une autre... close ?

– Laquelle ?

– Je n'aurais aucune emprise sur le Germa 66, et vous n'aurez aucune emprise sur mon peuple. Ainsi, vous me soumettrez les missions. Je déciderai si elles sont faisable ou non, privilégiant la sécurité de mes sujets. Et vous déciderez ou non si mes projets sont faisable ou non.

– Êtes-vous prêtes a entendre la réponse ? Demande Judge après avoir consulter ses commandants du regard.


Je me redresse et prend une grande inspiration avant de planter mes yeux dans ceux du roi. Je répond d'un hochement de tête. Je ne fais pas confiance a ma voix.


– Votre marché est acceptée, incluant la dernière close. Annonce-t-il. Voulez vous choisir le prince qui sera votre mari ?


Je reste interdite, mais visiblement je ne suis pas la seule. Les trois frères le dévisagent avec le même air ahuris et le sourire de Reiju a disparut. Soit il n'était pas censé accepter, soit je n'étais pas censé choisir... 


– Vous me laissez choisir ?

– Nous avons discutés du meilleur choix a faire, au vu des héritier que vous pourriez nous donner. Seulement, il vous faut vous entendre avec l'un d'eux pour ça. Explique Judge sans regarder ses fils.


Yonji soupire de soulagement. Visiblement, il avait peur que son père le désigne soudainement. Il sait que je ne le choisirai pas. Son sourire revient, il est bientôt imiter par Reiju. Niji et Ichiji se regardent. Un sourire effleure les lèvres de Niji. Je crois qu'il aimerait être choisis. Il me fait un clin d'œil. Le pire, c'est Ichiji. Son regard est perçant et intimidant. Il est pesant. Il semble me dire « Tu as intérêt a me choisir ». Mon cœur se gonfle d'amour pour lui a ce moment et sans la cour présente, je me serais sûrement précipité sur lui.


– Quel était votre choix ? Je demande en reportant mon regard sur le mastodonte.

– Le prince Ichiji nous avais semblé être le meilleur parti.

– Je suis d'accord. J'accepte d'épouser le prince Ichiji.

– Nous avons assisté a l'annonce de la mutinerie qui a secoué votre famille. Avance Reiju, faisant disparaître la bonne humeur. Nous vous aiderons a retrouvé la traîtresse, et a la châtié.

– Je vous en remercie infiniment. Dis-je en m'inclinant. Pour la traquer, nous aurons besoin de l'une des plus jeunes princesses Spirit; la princesse Yada.

– Nous ferons en sorte d'accueillir votre famille dans le château. Répond Juge.

– Merci infiniment.


Le bal commence. Je déteste ce genre de rassemblement, mais je n'ai pas le choix. Étant futur reine, je me dois de connaître la cour de ce royaume. Terry et Niels sont invisible. Après la réception, je m'écroule sur le lit en râlant. Terry sort et Niels m'aide a détacher le dos de la robe. Il devient invisible quand on frappe a la porte. Je hurle d'attendre et je me change. Une fois en tenue plus légère, je vais ouvrir. Reiju me sourit et me montre une bouteille de vin. Je la fais entrer. Je n'aime pas le vin, je préfère d'autres alcool. Mais aujourd'hui, je veux bien faire un effort.

Je me laisse tomber dans un fauteuil et Reiju fait de même dans celui d'en face. J'ai le sourire jusqu'aux oreilles.


– Contente ? Me demande Reiju.

– Aux anges ! Je répond. L'avenir territoriale de mon peuple est assuré et en plus je vais me marier avec l'homme que j'aime. Je ne pouvais espéré mieux. Enfin si, que ma cadette ai toujours ses deux ailes.

– Alors c'était vrai, t'es vraiment amoureuse de moi ! Intervient une voix derrière moi.

– Depuis quand tu es là ? Je demande en me levant d'un bond, rouge pivoine.

– Depuis que j'ai eu envie de savoir pourquoi tu m'as choisis. Répond il en s'approchant plus que nécessaire.

– Euh... Je...


Je n'ai plus les mots. J'ai baissé ma garde, je n'aurais pas dû. Ses yeux m'ont totalement absorbés.Je bégaye des phrases sans queue ni tête. Il finit par éclater de rire et s'écarter. Je pousse un bruyant soupir de soulagement. Je fais la moue quand je vois qu'il est assis a ma place. Tant pis pour lui. Je m'assois sur lui. Reiju écarquille les yeux.


– C'est MA place. Et puis, ce genre de comportement n'est pas si exceptionnel pour une futur marié.

– Tu veux jouer à ça ? Demande Ichiji sur un ton qui n'augure rien de bon.


Il passe ses bras autour de ma taille et m'attire contre lui. Joueuse, je me blottit contre lui. Même sans se le dire, je sais déjà comment sera déterminer le gagnant. Celui qui embrasse l'autre avant le mariage a perdu. L'enjeu, je n'en sais rien. On verra bien.

Nous discutons d'un peu tout et n'importe quoi. Quand la discussion dérive vers d'anciens ennemis a eux, je décroche. J'en profite pour regarder le verrou sentimental d'Ichiji, les yeux fermés. En testant quelques manœuvres, sans aller au bout, je me rend compte qu'effectivement, je peux faire ressortir qu'un seul sentiment. J'attrape l'amour et regarde ce qui y est attaché. La jalousie, pourquoi pas. Mais j'occulte mes frères et les siens, sauf Sanji, des personnes dont il doit être jaloux. Je fais en sorte qu'il le soit juste quand ça me concerne et rien d'autre. Il fait déjà des guerres de pouvoir, je ne veux pas que la jalousie matérielle vienne s'y mettre. Et je n'en fait sortir qu'une petite quantité. Cette densité de jalousie qu'il a en lui est impressionnante.

La compassion. Seulement un peu pour moi et pour Reiju. Ça s'arrête là. Pas assez pour que ça influence son comportement. Juste histoire de pouvoir me plaindre sans que ça l'énerve. La tolérance. Seulement en rapport avec mes frères et sœurs et envers sa fratrie a lui. Évidemment, je ne compte pas Sanji dans tout ça. Je ne veux pas qu'il frappe un des petits par colère. Tristesse effacé, colère enterrer. Les disputes, très peu pour moi. Du désir. Pas assez pour qu'il veuille constamment me voir mais suffisamment pour qu'il apprécie vraiment les moments qu'on passe ensemble. Et j'éteins tout désir qu'il peut ressentir pour une autre femme que moi ou Reiju. Je ne compte pas évincé Reiju de sa vie quand même. Quoi d'autre ? La douleur ? La souffrance ? Toutes les deux évincées. De même pour la gentillesse. Aller, je lui en débloque un peu pour nous. Quand j'ai finit de filtrer les sentiments, je laisse l'amour s'échapper du verrou par petit flot régulier. Ça évitera de lui provoquer un trop gros choc.

Je sens ses bras me serrer un peu plus fort contre lui. Je revient sur terre et sursaute en voyant la tête de Yonji a quelques centimètres de mon visage. Je hurle. Il hurle aussi et fais un bond en arrière. Je sens et entend Ichiji éclater de rire. Bientôt suivi par Reiju et un autre rire, que je reconnais comme étant celui de Niji. Je lui lance un regard effaré.


– Non mais ça va pas ? Je hurle. Tu veux me tuer ou quoi ?

– Tu marmonnait, on se demandait de quoi tu rêvais. Se justifie-t-il.

– Non mais tu plaisante là ? Je m'énerve. Mêle toi de ce qui te regarde ! Je t'interdis de m'approcher quand je dors !!


Je grogne en me rasseyant. Un petit cris de surprise m'échappe quand je me rend compte que je tombe plus que nécessaire. Je pose les mains sur les accoudoirs et écarquille les yeux par réflexes. Je suis assise sur le fauteuil, fausse alerte. Ichiji s'est juste levé sans me le dire. C'est alors que je remarque que Niels se retient de rire en faisant le poisson. En observant mieux mon entourage, je constate que Reiju rigole encore et que ses trois frères me dévisagent comme si je venais de leurs annoncer une grossesse. C'est vrai qu'ils n'avaient jamais vu mon coté maladroit.

 

– Au fait, pourquoi ma chambre est devenu un point de rassemblement ?

– Ne t'y habitue pas trop, répond Ichiji. Tu vas bientôt déménagé dans la mienne.

– Youpi ! Et je suppose que je ne pourrais rien toucher.

– Tu suppose bien.


Je soupir en détournant le regard. Je n'aime pas avoir du monde trop longtemps. Et là, ça commence a me peser. Niels me pose une main sur l'épaule et je soupir. Je me lève et vais poser un doigt sur la tempe d'Ichiji, ensuite Niji, qui est juste à coté. Enfin Yonji. Ils me regardent d'un air surpris avant de jeter un œil suspicieux a Niels.


– Maintenant vous voyez les Spirits. J'annonce comme si je parlais de la météo.

– QUOI ? S'exclame Yonji.

– Tu préfère savoir que des personnes invisibles se balades dans le château ? Et que tu ne peux pas les voir ?

– Et Reiju ?

– Je les vois déjà !

– Depuis le début. J'ajoute.

– Pourquoi elle ?

– Parce qu'elle est l'aînée, et une femme. Je répond en souriant.


On toque et un regard a Terry suffit pour qu'il ouvre la porte. Nephtys entre dans la chambre en furie et se cache derrière Niels. Des médecins arrivent.


– Dame Nephtys, il faut vous recoucher.

– Je vais très bien ! Laissez moi tranquille !


S'ensuit un débat que je regarde d'un œil amusé.


– Tu ne vas pas l'aider ? Me demande Ichiji.

– Pourquoi faire ? Tu me donne même une idée. Niels, ce n'est pas prudent que Nephtys n'écoute pas les médecins.

– ISIS !! S'écrie ma brune de sœur alors que je lui tire la langue.

– Oups ? J'ai pensé a voix haute.

– Isis a raison. Intervient Niels en prenant Nephtys par les épaules.

– Quoi ? NON NON NON !! JE NE VEUX PAS RETOURNER ME COUCHER !!!! Hurle-t-elle en s'accrochant a la porte quand Niels passe a coté.

– Où est Tollar ?

– JE TE HAIS !

– Mais oui ! Par contre c'était une question sérieuse, où est Tollar ?

– Il est en contact avec le peuple. Ils font l'inventaire de tout ce qu'ils ont perdu et Yada essaie de localiser Léna.

– Il faudrait les rapatrié dés demain, ce sera possible ?

– Ils sont nombreux ? Demande Reiju.

– Terry, demande leur de se compter.

– Il n'est pas possible de ne ramener que la famille royale ? S'informe Yonji.

– Nous ne pouvons pas laisser le peuple sans dirigeant. Nous sommes peu vous savez et la famille royale forme l'élite. C'est pour ça que nous sommes nombreux dans la fratrie. Les filles auront des mariages arrangés pour des accords politiques. Et les garçons formeront la garde, puis ils enseigneront le combat aux prochaines générations. Enfin... sauf changement, Nephtys est la seule a échappé au mariage forcé. En plus, nous sommes les seuls qui pouvons être touché par les... « Normaux » ?

– Ca ressemble beaucoup au système de Big Mom.

– Je suis d'accord, mais nous n'avons pas le choix. Et s'il faut marier les garçons pour avoir des avantages politique, nous le ferons.


J'entends Niels grogner et rigole. Une princesse est tombée folle de lui un jour. Ils s'entendaient bien. Ils ont faillit se marier. Mais quand le père de la princesse a pris connaissance des conditions de l'arrangement, et de nos secondes... « activités », il a coupé tous les ponts avec nous. Tout le monde ne trempe pas dans l'assassinat et l'espionnage. Encore une fois, mon regard se porte sur Ichiji et je soupire. Je suppose que nous n'aurons pas de moment seuls avant le mariage. Mariage qui ne sera pas célébré tout de suite vu que Léna cavale. J'ai mal à la tête.

La porte s'ouvre en fracas et se referme tout aussi violemment.


– Iz', Yada a trouvé Léna !s'écrie Tollar.

A suivre...

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