/Chapitre 2/
Délicatement, j'enjambe la fenêtre et la referma une fois franchise.
Je ne reviendrai pas dans cette chambre avant plusieurs mois... Inutile de se morfondre sur ce que je n'aurais pas, il faut aller de l'avant, me dis-je ce qui me procura un nouvel élan d'énergie de bonheur. Je vais enfin partir loin d'ici! Pouvoir être moi-même!
Remplie d'une nouvelle énergie je courus en direction de l'arrêt de bus. Arrive à l'arrêt de bus je vérifie sur le panneau d'affichage quand le prochain bus allait passer et par chance le dernier bus passait dans tout juste une demi heure. Une chance que je n'ai pas attendu une demi heure de plus avant de partir, il aurait fallu que j'attende a l'aube avant de partir et on aurait probablement déjà remarqué mon absence.
Me sentant observer, je me retourna et vis un homme à la capuche noir fumer une cigarette en dehor de la cabine qui me reluquait.. Vivement qu'il parte!
Je massit sur la banquette et attend... finalement je pense que sa va etre le 30 minutes le plus long de ma vie avec ce pervers qui me fixe depuis quelques minutes... Et car je n'ai pas mon téléphone avec moi pour essayer de faire passer le temps plus vite.
La seule chose que je peux faire c'est d'essayer de faire partir ce pervers. mais comment?
Brusquement je me leva sortit de la cabine pour me diriger vers le pervers qui me regarde avec de gros yeux globuleux... je rassembla mon courage et l'embrassa fougueusement. je vous permets de me crier que je suis une folle car c'est ce que je suis.
Il répondit à mon baiser et me pris par les hanches, mais je lui donna avec toute ma force un coup de genou dans les parties et me détacha de lui.
-Ca t'apprendra à relooker les femmes plus intelligente que toi sale pervers, dis-je en partant à rire en le voyant à terre entraîne de me maudire.
-Salope!
-Au revoir salop! je crie en me dirigeant vers le bus qui vient d'arriver.
Je monta dans le bus quand le chauffeur s'arrêta.
-C'est toi qui la mis a terre? me demande le vieille homme.<
-Oui, j'en avais marre qu'il me matte, dis-je en essayant de justifier pensant qu'il allait appeler la police.
-Bravo! me félicita-t-il, ce pervers arrête pas d'agresser des jeunes filles, j'ai appelé maintes fois la police, mais ils n'ont jamais intervenu.
-Merci, dis-je troubler et ravie par ce qu'il vient de me dire.
je viens de faire une bonne actions! je le dépasse pour m'asseoir sur une banquette ou je m'endormis.
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