/Chapitre 1/
Prologue
Je descends de l'autobus et remercie le chauffeur au passage. Une fois hors du bus, je pris la direction de la maison de mes parents. Je commence sérieusement à perdre espoir, J'ai envoyé, il y a plus de 3 mois, une demande d'admission dans une université à New York. Depuis j'attends de recevoir la fameuse lettre me disant « Your resquest as been accepted ». Mais malheureusement, je ne pense pas que j'ai eu une moyenne générale suffisante dans ma dernière année de secondaire. Ici j'étais peut-être dans les meilleures dans les classes avec 90% de moyenne générale, mais à New York je suis peut-être comme tous le monde. Je ne peux pas m'affirmer sur ce sujet, car je ne vis pas à new York, mais dans une banlieue de Montréal.
Arriver dans l'entrée de ma maison j'ouvre la boite à lettre et empoigne le courrier. Tout en marchant vers la porte de la maison, je vérifie une lettre par une. Je ferme la porte distraite, quand je la vis!
Elle est là entre mes mains, je manque de sauter de joie, mais mon stresse l'amporte sur ma joie. Est-ce que je suis accepter ou refuser?
-Lesley, tu es rentrée! Comment a été ta journée au travail? Me demande ma mère en me saluant de la salle à manger.
Paniquée a l'idée quelle voit ce que je fixe, je range la lettre dans mon dos en dessous de mon chandail. En relevant les yeux je remarque quelle ne peut pas me voir d'où quelle est. Merci a la personne qui a construit cette maison davoir mis un mur séparent le portique et la cuisine!
Je lance donc un soupire de soulagement, je n'aurais pas à devoiler mes intentions, car évidemment je ne leur aie pas dit que je compte aller etudier hors du pays.
-Comme d'habitude, lui dis-je en montant les quelques marches séparant le porticle et le rez de chausser de la maison pour me diriger vers la cuisine qui est en face.
-Veux-tu maider à preparer le souper? Me demande-t-elle.
-Oui, pourquoi pas, lui dis-je en défaisant ma boite a lunch.
-On va préparer quoi, je demande à ma mère qui est désormais à côté de moi.
-Du jambon avec des légumes, me répond-t-elle.
Après tout, c'est ma dernière soirée ici, enfin je lespère. Autant leur faire plaisir.
Une fois le souper prêt, on vient s'attabler à la table. Il y a ma mère, mon père, ma sur, le détestable copain à ma sur, et biensur il y a moi. Comme d'habiitude quand ma soeur est à la maison avec son copain, je mange en solo, cest-à-dire je ne parle pas et personne ne me parle, il y a seulement moi et la nourriture. Jusqu'au moment où on décide de briser notre connnexion.
-Leslea, tu m'écoute? Me demande mon père.
-Maintenant oui, dis-je en levant la tête pour le regarder.
Mon père est grand, très grand et moyennement costau avec une petite bedaine de bière et il a les cheveux de couleur poivre et sel.
-As-tu penser à recommencer lécole, il serait peut-être temps. Cela va faire un an que tu as abandonné le cegep, tu nous as dit que tu prenais une annee sympathique, et elle achève donc que vas-tu faire? Me dit-il sérieusement.
Qu'est-ce que je fais, je ne vais quand même pas lui répondre que jai fait une demande d'admission dans une université à New York! Il va probablement m'interdire dy aller ou s'il ne le fait pas il va controler tous ce que je vais faire là-bas. Ce qui est loin d'être ce que je veux, je veux être libre, me retrouver seule face au monde.
-Je n'ai pas encore réfléchie a ça, jessaie de dire d'une manière non chalente.
-Tu ferais bien d'y penser sinon tu vas te retrouver à travailler dans un Walmart toute ta vie.
Sur-ce tous le monde se tait et me regarde.
-Ce n'est pas parce que je ny aie pas encore réfléchi que je ne veux pas retourner aux études et travailler au walmart toute ma vie.
Fin de la discussion! Je ne veux pas vous dire ce que je veux faire, je sais c'est bébé, mais jai besoin de fuir la vie que j'ai toujours vécu. Je pense qu'ils nont pas remarquer que je mentais, du moins ils ne l'ont pas dit.
Dans un silence on débarrasse la table, et on fait la vaisselle. Immédiatement après je descends dans ma chambre.
Une fois dans celle-ci je bloque ma porte avec ma chaise pour que personne ne puisse entrer dans ma chambre. Je pris l'enveloppe que javais caché sous mon chandail, rentrer dans mon pantalon. Je la fixe et mes mains se mettent à trembler. Et si je ne suis pas accepté? Quest ce que je vais faire? Je vais sûrement être obliger d'aller au cegep et par la suite à l'université à Montréal! Je ne vais pas être libre, je ne verrais pas le monde
STOP! Arrête de penser négativement et ouvre-la ! Et oui je parle à moi-même, mais bon je pense qu'on le fait tout. Non !?
De mes mains tremblantes j'ouvre lenveloppe et retire la feuille qui va décider de mon avenir. Je ferme les yeux en la dépliant de peur de voir ce quelle contient. Elle est dépliée, j'ouvre les yeux et les referme aussitôt. Je n'ai jamais autant mis despoir sur quelque chose de toute ma vie, et je n'ai jamais eu si peur qu'on me dise non.
J'ouvre mes yeux en me traitant mentalement denfant de cinq ans et vis que je voulais voir.
Je suis accepté! Aussitôt je lâche un crie, que tout le monde dans la maison entend.
-Pourquoi tu as crié? Me demande ma sur de sa chambre à coter de la mienne.
Vite, vite trouve une excuse!
-jjjai vue une araignée!
-Écrase la ou tu as besoin que je vienne la tuer à ta place comme lorsque tu étais enfant ?! Rie-t-elle accompagner de son copain.
-Non, ça va je vais m'en occuper.
Non mais je sais qu'elle aime me ridiculiser mais un peu de respect envers la petite fille apeurer des araignées que j'étais, que je suis toujours. Ne me dite pas que je suis la seule.
Bref, retournons à nos petits moutons. Ce qui est important est que je suis accepté.
A cette pensée, ma joie qui m'avait quittée quelques minutes plutôt revient. Je me mis à danser en chantant muettement, comme une folle dans ma chambre, en tenant une brosse a cheveux dans une de mes mains pour micro.
Quinze minutes plutard je pris un sac et mis tous mon estentiel de survie dedant. Je pris ma brosse à cheveux, mes carnets décriture, et quelques ensembles de vetements. Je laisse mon portable au côté de mon ordinateur portable, je ne vais pas prendre de risque je vais les laisser ici. Ainsi je vais être certaine quon ne maura pas suivi avec la géolocalisation. Je sais je suis parano. J'ai trop écouté de film. Mais essayer de me comprendre un peu!
Évidement je ne peux pas tous apporter, je pris également mon portefeuille. Je laisse mes cartes didentites sur mon bureau et vérifie si j'ai les fausse quun ami ma fait.
Une fois mon sac fait, il était 11h00 si je pars tout de suite tout le monde va mentendre, je ferais mieux dattendre vers 1h00 du matin. Au moins je suis sûr que tout le monde va dormir à cette heure-là. Durant ce temps j'écris des lettres destinées a chaque membre de ma famille leur precisant que j'allais revenir aux fêtes a la maison, et dautre choses quetaine comme je t'aime etc.
Je suis peut-être cruel de ne pas les avertir que je pars comme ça, sans même leur dire ou je vais, et en coupant tous les moyens de me retrouver. Mais je leur dis qu'un aurevoir, pas un adieu.
Une fois les lettres finies, je les déposes sur mon lit a la vue de tout le monde. J'essuis quelques larmes qui ont coulées de mes yeux durant que j'écrivais les lettres, après tout j'ai un coeur.
Je regarde l'heure et il est 12h30, je pense que je peux partir sans que l'on m'entende.
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