Nouvel An

31 décembre 2022 au petit matin

Antoine gare la voiture devant le chalet que le FFF a réservé pour toute l'équipe. Je me tourne vers les enfants qui dorment tous et sourit. Ils sont trop chou.

Antoine : ils sont beaux nos bébés ?

Moi : oh que oui. Heureusement que je vous ai.

Il pose sa main sur ma joue et me regarde droit dans les yeux.

Antoine : je sais que ça va être dure pour toi et ta mère mais je suis là avec les mecs. Malgré qu'on est perdu on est toujours soude. Et puis tu as retrouvé Dylan. C'est pas ton plus beau cadeau ça.

Moi : un de mes plus beaux cadeaux. Il y a toi aussi mon amour.

Antoine : je t'aime.

Il m'embrasse tendrement et je sourit contre ses lèvres en me remémorant le moment que j'attendais tant : retrouvé mon bébé.

Flasback 10 mois plus tôt

Antoine se gare devant l'adresse indiquée sur l'enveloppe que j'ai reçu à Noël du père Noël.

Moi : c'est là tu est sur ?

Antoine : oui. Tu veux que je vienne avec toi ?

Moi : oui s'il te plaît.

Il me sourit doucement et sort de la voiture. Je le suis et prend sa main que je sert fort.

Antoine : ça va le faire mon cœur. Explique bien la situation.

Moi  : oui...

Je sonne et le stress monte. Je sers encore plus fort la main. Je dois même lui broyer vu la grimace qu'il fait.

La porte s'ouvre et une femme d'une soixantaine d'années nous ouvre.

Moi : bonjour. Excusez nous de vous dérangez. Je m'appelle Didier Deschamps et...

Elle : vous êtes Didier Deschamps?

Je regarde Antoine qui hausse les épaules sans comprendre.

Moi : oui.

Elle : entré. Messieur Lippi vous attendais.

Antoine : Lippi comme Marcelo Lippi?

Elle : oui et vous êtes ?

Moi : c'est mon époux Antoine Deschamps.

Un sourire se dessine sur son visage. Il adore quand je le nomme ainsi. Alors oui sur le terrain il porte son nom de jeune homme mais sur son passeport et sa carte d'identité c'est le mien. Comme pour nos enfants.

Nous l'a suivons à travers la somptueuse de mon ancien entraîneur à la juventus. Je continu de tenir la main de mon mari stresser des révélation que mon anciens coach va me faire.

Elle nous ouvre la porte d'une terrasse, qui donne sur toute la ville, eet ou un vieil homme est assis sur un fauteuil la contemplant.

Elle : messieur Lippi. Didier et ici avec son époux.

Il se tourne vers nous et sourit en me voyant accompagné d'Antoine.

Marcelo : Didier cela fessait si longtemps que j'attendais ta visite. Maria prévenez le vite.

Maria : oui messieurs.

Elle dort un grand sourire aux lèvres.

Antoine : prévenir qui?

Il sourit à mon homme et me regarde.

Marcelo : et bien ton fils Didier.

Moi : c'est un garçon...

Marcelo : oui un garçon. Qui ressemble beaucoup à sa mère.

Je sourit et regarde Antoine les larmes aux yeux.

Moi : tu entend ça Antoine? C'est un garçon.

Antoine : je les bien entendu mon cœur.

Marcelo : venez vous assoir près de moi je vais tout t'expliquer.

On s'exécute. Il me regarde et me prend les mains.

Marcelo : tu as commencé le soir de tes 27 ans. Zizou et les autres tont emmener en discothèque pour fêter ça. Sauf que vous avez beaucoup trop bu. Et tu a disparu 2h environ.

Moi : 2 heure ?

Marcelo : oui. Il m'ont appeler paniquer alors je me suis lever et je les ai rejoint la bas. Nous t'avons chercher 2h de plus jusqu'à se qu'on te retrouve torse nu 2 rue plus loin.

Antoine : comment il est arrivé là ?

Marcelo : ça on n'en sait rien. Tu ne te souvenais de rien. Alors on t'a ramener chez toi. 8 mois plus tard nous préparions la finale de la ligue des champions quand tu t'es effondré sur le terrain d'entraînement en te plaignent d'énorme maux de ventre. Je t'es envoyer directement à l'infirmerie. A la fin de l'entraînement les dirigeants du club sont venu me voir pour me dire que tu étais enceinte de 8 mois. Personne n'avait rien pu détecter.

Moi : j'avais fait un premier déni de grossesse.

Marcelo : exactement. Tu étais sur le pont d'accoucher. Alors j'ai demandé à se qu'on te remplace pour la finale. Mais ils n'ont pas voulu. Tu était beaucoup trop précieux pour l'équipe.

Antoine : quesque vous avez décider alors ?

Marcelo : pas moi. Eux. Que nous t'emmenerions dans une clinique privé pour te faire accoucher la bas. C'est ce qui as était dans la plus grande discrétion. Tu était dans les vapes à cause des médicaments qu'ils t'avaient refiler. Et tu n'a rien dit. 24h plus tard le 3 mai tu a accoucher d'un petit garçon. J'etait a tes coter ne voulant pas te laisser seul souffrir. Je me rappelle tes hurlement de douleurs et que tu me supplier d'arrêter tout ça. Puis le petit est né tu était à bout de force et moitié dans les vapes. J'ai poser ton fils sur toi quand le médecin et revenu avec les dirigeant. Ils ont exigé que l'ont fasse disparaître l'enfant. Parce qu'il savait très bien que tu n'aurai jamais voulu jouer sachant ton enfant tout juste né.

Antoine : ils... Ils ont voulu le...

Marcelo : oui maus ils n'ont pas eu le temps. Des qu'ils sont sorti j'ai reprit le bébé de tes bras. Croit moi Didier que ça m'a fendu le cœur de t'enlever ton bébé. Tu étais encore dans les vapes mais tu a prononcé un mot.

Moi : lequel ?

Marcelo : Dylan. C'est ainsi que j'ai nommer ton fils. Je les ramener ici et je les élever.

Antoine : mais pourquoi ne pas l'avoir dit à Didier ensuite ?

Marcelo : il ne se rzpeller plus de rien et les dirigeants se sera t venger sur Dylan. Je devais le protéger pour toi Didier.

Jessui mes larmes rageusement. Ses connard mon fait accoucher seul, sans ma famille, avec mon coach comme seul soutient et ensuite ils ont voulu faire disparaître mon bébé ! Tout ça pour une finale de ligue des champions !

Marcelo : sache que Dylan sait depuis longtemps qu'il est ton fils mais ils avait peur de ta réaction si tu l'apprennais.

Antoine : et son père ?

Marcelo : un inconnu avec qui Didier a coucher une seule fois.

Moi : je veux le voire. Tout de suite.

Marcelo : tu as de la chance. Il est à Turin aujourd'hui.

Antoine : il ne vit pas avec vous ?

Marcelo : oh non. Il vit à Londres où il fait des études de commerce.

Maria : messieur Dylan est la.

Marcelo : faite le rentre vite. Sa mère a hâte de le voire.

Je regarde Antoine qui me sourit tendrement. Maria revient avec un jeune qui est mon portrait cracher.

Je pose mes mains devant ma bouche, des larmes coulent sans que je puissent les contrôler.

Marcelo : bonjour mon garçon.

Dylan : bonjour messieurs. Maria ma appeler et disant de venir de toute urgence ici.

Marcelo : oui. Ta mère est juste là Dylan.

Il pose sont regard sur moi et je me figé ne sachant plus quoi faire. Une main me caresse le bras. Antoine. Il me sourit et me fait signe de me levé.

Ce que je fait en tremblant. Il se lève aussi est se met derrière moi sûrement de peur que je m'evanouisse.

Dylan : alors c'est vous ma mère ?

Moi : ou... Oui.

Un sourire se dessine aussi sur son visage d'ange et il me saute dans les bras. Je le sers aussi fort que possible contre moi en pleurant. Ça fait des mois que j'attends se moment.

Moi : mon bébé je t'aime.

Dylan : moi aussi... Maman.

Un sourire se dessine sur mon visage en l'entendait m'appeller ainsi. Antoine Maria est Marcelo nous laisse seuls nous retrouver.

Dylan : j'avais tellement espérer se moment.

Moi : moi aussi mon ange moi aussi. Je m'en veux tellement de t'avoir oublier.

Dylan : je ne t'en veux pas maman. C'est ces mecs qui nous ont séparer. Messieur Lippi ma élever en me disant qui était ma mère et se qu'il était.

Moi : tu me ressemble tellement.

Il me sourit et m'embrasse la joue. Nous parlons un peu et je lui montre une photo de ses frères est sœurs.

Dylan : j'ai hâte de les rencontré maman.

Moi : eux aussi surtout Mia. Elle est heureuse d'avoir un grand frère ou une grande sœur.

Dylan : et moi d'avoir des petits frères et petites sœurs.

Je sourit et le sers contre moi. Je n'arrive toujours pas à croire que je les retrouver. C'est vraiment un merveilleux cadeau.

Retour dans le présent

Antoine : Didier. Chéri.

Moi: hum... Oui?

Il rigole et m'embrasse tendrement.

Antoine : je te disait qu'il serait temps de réveiller les enfants. On a beaucoup de chose à faire avant l'arrivée de tout le monde.

Moi : tu as raison. Les enfants réveiller vous.

Des petits grognements de chacun se font entendre se qui me fait sourire.

Mia : Dylan il vient maman ?

Mon sourire s'élargit. Depuis que Dylan a rejoint notre famille et qu'il m'appelle maman j'ai autorisé les enfants à m'appeler ainsi. Pour la plus grande joie d'Antoine.

Antoine : oui ma chérie. Vôtre grand frère nous rejoins se soir.

Ils crient tous de joie. Je descend et les détaché tous. Alba gigote et rigole se qui me fait rire. C'est le portrait cracher Antoine.

Mia reste près de moi et me tire le bas du pantalon.

Moi : oui ma puce?

Mia : tu veux bien faire un bonhomme de neige avec moi ?

Je me baisse pour être à sa hauteur même si elle grandit beaucoup trop vite.

Moi : oui bien sur. Tu as emmener tes gants ?

Mia : oui maman.

Moi : alors on y vz.

Antoine : chéri on va déposer les valises et après toi et les enfants vous irez décorer dehors.

Les enfants : ouiiii !!

Je sourit et aide Antoine à monter nos affaires dans notre chambre et installer les lits des enfants.

Pdv Bixente

Je finis d'installer notre petit dans son cosy et m'installe aux coter de Hugo sur le siège passagers. Dylan monte à coter de Giuliana et Anna rose aux coter du bébé.

Dylan : merci Hugo de m'avoir inviter à prendre ton jet.

Hugo : derien et puis tu étais à Londres donc autan que tu prenne l'avion avec nous.

Moi : ta mère va être surpris de te voir arriver avec nous.

Dylan : j'ai hâte de tous les revoirs.

Je sourit et regarde Hugo enfin mon mari. Cette année a était riche en émotion : la naissance de notre petits notre mariage et la coupe du monde.

Cette derniere ma épuiser et puis jetait loin de mes enfants et surtout d'hugo. On ne se voyait que pendant les matchs. Il a tenu jusqu'à la finale mais  malheureusement les tirs aux buts nous ont était fatale.

Hugo : arrête de trop penser à moi chaton.

Moi : qui te dit que je pense à toi ?

Hugo : ta tête. Tu devrais te reposer on n'a 1h30 de route.

Moi : d'accord.

Je ferme les yeux et m'endors doucement en repensant à tout ça.

Flash back 8 mois plus tôt

Grégoire : tu pense quoi d'un grand format sur Kylian avant la coupe du monde ?

Moi : hum... Pourquoi pas ?

Frédéric : tu ne nous écoute pas.

Effectivement je suis occupé à caresser mon ventre bien arrondi. Hugo et à Manchester pour un match et vu que je suis dans mon 9 ème mois messieurs m'a imposer mes deux amis de Telefoot au cas où je perde les os.

Moi : pas le moins du monde. Cette petite chose occupe toute mes pensées.

Giuliana : papa Liza?

Ma fille descend avec son doudou et toute pale. Elle est malade depuis se matin et je ne les pas envoyé à l'école. Greg a donc emmener Anna rose à l'école et la ramènerai.

Moi : oui ma puce?

Giuliana : j'ai vomi dans mon lit... Désolée...

Moi : eh c'est rien ma chérie on va nettoyer.

Frédéric : j'y vais. Ne t'en fais pas princesse ce n'est rien.

Giuliana : d'accord Tonton.

Moi : viens la mon cœur.

J'ouvre mes bras et elle viens s'y réfugier. Je la couvre avec un plaid et la sert contre moi.

Moi : Greg tu veux bien aller lui chercher son sirop ?

Grégoire : j'y vais.

Il se lève et je caresse les cheveux de ma fille. Mon ami ramène le sirop avec la pipette. Je la prend ouvre le sirop en met et le donne à ma princesse qui le prend sans ronchonner.

Giuliana : c'est pas bon...

Moi : je sais m'a chérie mais il faut que tu en prennent pour guérir vite.

Frédéric : voilà ton lit et tout propre petite puce.

Giuliana : merci....

Moi : aller repose t... Aieu !

Tout les trois me regarde bizarrement.

Moi : ça va c'est rien... Une petite contraction....

Giuliana : c'est le petit frère qui arrive !

Je sourit mais le perd très vite quand une nouvel contraction me fait plier en deux comme la fois où Didier a accoucher d'Alba. Ohoh y a un drôle de liquide qui sort de mon intimité.

Moi : grégoire.

Grégoire : oui ?

Moi : va chercher mes affaires de la maternité, appel hugo et emmène moi tout de suite a l'hôpital.

OK je suis trop calme c'est pas normal.

Moi : mais grouille toi j'ai perdu les os !!!

Il grimpe a la quatrième vitesse à l'étage ma fille me retire le plaid et va se coller contre fred.

Moi : tu pourra la garder et aller chercher Anna rose à l'école.

Frédéric : t'en fais pas pour ça je m'occupe des filles.

Greg redescend avec le téléphone collé à son oreille.

Grégoire : oui t'inquiète je l'emmène de suite a la maternité.... Ok on se retrouve la bas... Hugo te rejoint la bas.

Moi : je l'avais compris !!

Il m'aide à me lever et m'entraîne dans la voiture ou je souffle pour calmer la douleurs.

En un quart d'heure on se retrouve à la maternité. On me met dans un lit et on s'apprête à m'emmener en salle d'accouchement. Et non mais Hugo est pas la !!

Moi : attendez le père est pas arrivé !!

Infirmière : messieurs Lizarazu votre col est...

Moi : je m'en fous !! J'accouche rai pas tant que hugo ne sera pas là pour voir son fils venir au monde ! D'ailleurs c'est messieurs Lloris !!

Grégoire : mais arrête tes conneries bixente ! Ta va pas empêcher ton bébé de sortir !

Moi : je veux que Hugo soit là !! Bordel de merde c'est pas difficile à comprendre !!

Hugo : c'est bon je suis là !!

Il arrive en courant vers moi est se casse presque la geuele avec les crampons. Il me prend la main est on m'emmène en salle d'accouchement.

Hugo : aller respire calmement je suis là mon amour.

Moi : putain que tu est beau avec ta tenu de foot. T'es magnifique est sexy.

Hugo : je sais que ça fait 8 mois qu'on a rien fait tout les deux mon chéri mais s'il te plaît retien toi de me sauter dessus le temps que notre fils naissent.

Moi : d'acc...aaaah putain!!

Hugo : vas y chéri pousse!!!

Je lui sert la main et pousse de toute mes forces en hurlant. A force je vais me décrocher les cordes vocal. Ce petit manège dure je ne sais combien de temps mais le moment le plus beau de ma vie arrive quand j'entends pleurer.

Je regarde Hugo qui me sourit et on m'emmène une petite crevette rose dans une serviettes. On me l'a posé sur le ventre et je ne peux m'empêcher de pleurer de joie. Hugo ne retien pas non plus ses larmes.

Hugo : il est magnifique... Tout comme toi mon amour.

Moi : bienvenu Leandro Lloris Lizarazu.

Fin du flash back

Je me réveille et voit que l'on c'est arrêté. Je regarde côté conducteur maus hugo ne s'y trouve pas. Mais je le voit dans le rétroviseur qui donne le biberon à notre fils. Il voit que je suis réveiller et vient vers moi.

Il ouvre la portière et me donne Leandro. Je le prend contre moi et termine de lui donner son biberon 

Hugo : tu dormais tellement bien que je n'est pas oser te réveiller.

Moi : tu a bien fait. On est bientôt arrivé ?

Hugo : encore 10 kilomètre. J'ai aussi regardé si les huîtres n'avaient pas reçu de choc. Tu va bien.

Moi : c'est parfait. Maintenant que tu as fini ton biberon tu va retourner auprès de ta grande sœur.

Je lui embrasse le bout du nez et le donne à son père qui le remet dans son cosy à coter d'anna rose. Nous reprenons la route et 3 kilomètres plus loin nous voyons 3 voiture arrêter sur le bas coter avec les feux de détresse.

Hugo : c'est la voiture de ney ça.

Il s'arrête et on détaché nos ceinture.

Dylan : tout va bien tonton bixente ?

Moi : oui ne t'inquiète pas. Tu peut veiller sur les enfants ?

Dylan : oui pas de soucis.

Je descend suivi d'hugo et on s'approche des voiture. Nous voyons dans un premier temps Kylian est neymar puis grégoire et Lucas ainsi que Benjamin est Frédéric.

Moi : quesquil se passe?

Tout les regard se tourne vers nous.

Grégoire : oh salut Hugo et Bixente. Et bien ney n'a pas trouver mieux que d'accélérer sur la plaque de verglas la bas.

Neymar : oui ben ça va j'ai pas fait exprès !

Lucas : mais ça fait 20 fois que on te dis de mettre des pneus neiges sur ta bagnole et de rouler moins vite quand y a de la neige !

Neymar : oui ben c'est bon j'ai compris seulement au Brésil..

Frédéric : mais ça fait 1 heure qu'on te dit qu'au Brésil y a pas de neige abruti !

Neymar : mais je le sait ça j'y suis ne au Brésil pauvre con.

Hugo : bon sa suffit maintenant !! Kyl t'appelle une dépanneuse, Fred tu les prend dans ta voiture et nous on prend se que vous deviez emmener pour se soir !

Kylian : les bûches et le fromages.

Moi : c'est ça est Greg t'en prend aussi.

Grégoire : ok. Aller donne ça.

Le brésilien ouvre le coffre de sa voiture et hugo et moi prenons les dessert que l'on met dans notre coffre.  Ensuite Kylian appelle une dépanneuse qui arrive et emmene la voiture de son compagnon au garage.

Tout le monde repart dans sa voiture et je souffle en m'i salant sur le siège passager.

Hugo : ils me tuent ! Et dit toi que je suis le capitaine de ça !

Moi : et 2022 n'est pas fini...

Dylan : maman va encore être blaser.

Moi : oh ça oui.

On redémarre et on arrive enfin au chalet. On se gare et je descend les filles. Je prend mon fils dans les bras et voit un peut plus bas Didier faire un bonhomme de neige avec Mia.

Dylan : maman !

Il relève la tête et sourit. Mia abandonné la boule de neige qu'elle avait dans les mains et court vers lui.

Mia : grand frère!!

Dylan : viens la petite sœur.

Il la prend dans ses bras et lui fait un gris câlin. Didier arrive est prend don fils dans ses bras.

Didier : mon bébé quesque tu fais la? Je croyais que tu arrivais que se soir ?

Moi : Hugo la inviter à pré dre notre jet. Ça lui éviter d'attendre des heures à Londres.

Didier : et moi Liza ça va ?

Moi : très bien. Même se bonhomme.

Didier : et coucou Leandro.

Mia : maman il est comme alba ?

Moi : oui petite puce. Oh a ba rose et giu sont rentré va les chercher et on fera un igloos avec vous.

Mia : oui !!

Je elle court à l'intérieur se qui me fait rire.

Didier : venez on va se réchauffer u. Peu.

Dylan : oh oui et puis je veux voir Antoine est mes autres frère est sœur.

Nous rentrons et j'explique à Didier les exploits du brésilien.

Didier : ça commence bien. Tu va voir ousmane Paul et presnel ça va faire des étincelles.

Moi : Lilian ne vient pas?

Didier : si vers 19h avec Marcus et Axel. Edouardo arrive avec aurelie dans 2 heures.

Moi : ça va faire une sacré fête se soir.

Didier : il faut. Comme ça on reste soudé.

D'un coup la porte s'ouvre sur presnel et Julian bien emitoufler dans des manteaux suivi de Blaise.

Blaise : bonjour coach.

Didier : arrête de m'appeler coach. C'est Didier. Et tu me tutoie.

Blaise : d'accord Didier.

Antoine : oh mon blaisou.

L'ancien joueur et moi on écarquillé les yeux en voyant sa couleur de cheveux.

Julian : la vache Antoine t'es vachement flashi en rosi bonbon.

Antoine : et je serai pas le seul.

Didier : comment ça?

Presnel retire son bonnet pour dévoiler ses cheveux jaunes fluo.

Didier : tu vois quesque je t'avais dis.

Presnel : et c'est pas fini coach

Didier : comment ça?

Antoine : vaut mieux pas que tu sache chéri.

Il me regarde pas du tout rassuré se qui me fait rire. Deux mains se pose sur chacune de mes épaules. Je relève la tête et hugo m'embrasse.

Moi : j'espère que tu n'a pas prévu une couleurs de cheveux fluos comme certain de tes coéquipiers ? Parce que je te préviens moi je ne te laisserai pas te coucher à mes coter.

Hugo : oh ne t'inquiète pas mon cœur. Je ne suis pas aussi fou que Antoine.

Antoine : eh arrête !

Je rigole suivi de Didier quand mon fils se met à pleurer.

Moi : ah je crois que c'est l'heure du biberon.

Hugo : donne je vais lui donner. Aller viens voir papa mon ange.

Il le porte dans la cuisine et je sourit. Un petite main se pose sur mon genoux et je voix alba qui me sourit.

Moi : oh mais qui est cette joli petite fille ??

Didier : c'est la fille à sa maman.

Alba : maman.

Elle marche vers lui et je sourit.

Didier : je connais se regard. Ça grandi vite crois moi.

Moi : je sais. Bon je vais préparer les vêtements des enfants pour se soir.

Didier : ok et bien on se retrouve dans la cuisine pour ouvrir les huîtres.

Moi : ok pas de soucis.

Je sourit et monte dans notre chambre préparer nos vêtements.

Pdv Didier

Il est 19h30 et tout le monde et la. J'ai eu la joie de découvrir la couleur de cheveux de Paul, edouardo et Olivier bleu fluo, vert fluo pour le deuxième et orange fluo pour le dernier. Ils me désespérent.

Antoine est dans notre chambre qui prépare les enfants pour la soirée. Et moi j'entre dans lui cuisine pour commencer à ouvrir les huîtres. La porte s'ouvre sûrement bixente qui me rejoint.

Moi : j'ai commencé à les ouvrir sans toi vieux.

Dylan : je ne suis pas vieux maman.

Je me retourne pour voir mon fils habiller en costard cravate. Il s'approche de moi et je sourit.

Moi : je croyais que c'était ton oncle Bixente.

Dylan : je peux t'aider à les ouvrir ?

Moi : si tu veux parce que y en a un paquet avec tout ses goinfres.

Dylan : se sont tes joueurs maman les appel pas comme ça.

On rigole tout les deux et j'observe mon bébé. Il est tellement beau. Il faut des études de commerces à Londres et veut ouvrir sa boîte en France pour se rapprocher de moi. Je suis fier de lui.

Dylan : ça va maman?

Moi : oui mon bébé ne t'en fais pas je réfléchissais juste.

Bixente : arrête de réfléchir tu va te griller le cerveau.

J'aller lui répondre qu'à s toute les lumière s'éteignent.

Dylan : ben... Y a une coupure de courant ?

Frédéric : Didier tes joueurs ont encore fait des siennes !!!

Moi : rhô putain mais jusqu'a la dernière minute de l'année ils vont me faire chier !!

Je sors mon téléphone et allumé la lampe torche. Je me dirige vers le journaliste qui est dans le salon et voit Paul et presnel devant une table ou est installer tout le matériel de DJ.

Grégoire : je te laisse deviner.

Moi : ils ont fait sauter les plomb.... Mais pourquoi vous mettez tant de choses !!

Paul : pour bien qu'on d'ambiance coach...

Moi : je vous avez dit que une enceinte suffisait ! Celle que Aurelien avez pendant la coupe du monde est très bien.

Aurelien : J'vous l'avez dit les mecs.

Amelia : Maman ai peur du noir.

Elle amaro et Enzo me regarde pas très rassuré. Je me baisse pour être à leur hauteur et leur grand frère fait de même.

Moi : je suis là mes trésors.

Dylan : oui et puis c'est comme un cache cache dans le noir.

Enzo : mais est les monstres...

Dylan : les monstres n'ont qu'à bien se tenir parce que je sais les combattre.

Tout les trois lui sourit et la lumière revient. Mon mari remonte de la cave avec ma princesse.

Antoine : c'est bon bb les plomb avait juste sauter.

Moi : heureusement que tu est là mon amour.

Je l'embrasse tendrement alba applaudit.

Alba : mama papa.

Moi : oui ma princesse.

Je le prend dans mes bras pour ensuite la donner à son grand frère. Je fini d'ouvrir les huîtres et nous passons à tables.

Le repas se déroule normalement et je suis étonner de voir que aucun de mes joueurs n'a fait d'autre conneries. Mais je sais très bien que c'est le calme avant la tempête.

Vers 23h nos 4 plus petits dorment alors nous les couchons. Dylan bercé alba et la mer dans son lit. Il ne reste que Mia et Anna-rose. Gui et Leandro dorment.

Donc le décompte de minuit arrivé et on se met tous dehors avec les feux d'artifice.

Nous : 10...9...8...7...6...5...4...3...2...1... BONNE ANNÉE 2023 !!!

Hugo et Olivier allument les feux qui explosent. Je saute sur les lèvres d'Antoine et l'embrasse tout comme Hugo et Bixente ainsi que Fred et ben.

Grégoire : vous faites quoi les mecs ?

Je me sépare d'Antoine et voit les mecs passer avec une grande pancarte à l'effigie de Emiliano Martinez et plein de pétard.

Dimitri : les gars quesque vous faites ?

Randal : l'autre pintade de Martinez c'est foutu de Kylian avec sa poupée et son chant sur sa mort.

Ousmane : et ben nous on va le faire péter !

Kylian : les gars j'ai dit que je n'en  avais rien à foutre...

Neymar : non bb. On l'allume les gars !!!

Ils allument les pétard qui explosent tous et la pancarte volé. Certain filmé ça.

Dayo : et au revoir Martinez !!

Tous rigole et je soupire. Ok se ongole de Martinez mérite d'être puni mais pas comme ça. Enfin si comme ça. Alors chacun notre tour on fait exploser des pétard se qui nous fait rire.

A la fin je me retrouve coller à Antoine qui m'embrasse.

Antoine : bonne année mon amour.

Moi : bonne année mon cœur.

End
( et bonne année à tous surtout la santé)

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