Le lendemain à 6h00 la sonnerie de mon portable retentit. Elle me servit à rien puisque j'étais déjà réveillée. Je me lève, descends prendre mon petit déjeuner puis remonte pour aller à la salle de bain, me douche, me maquille etc...

Quand j'eue finis je pris mon sac et partis direction le bus sous la pluie. Mais quand j'arriva à l'arrêt je me stoppa net. Dylan il est là. Il serra toujours là. Ce mec me hante bordel!! Il peut pas resté à son propre arrêt!! Bref du coup je resta là à attendre le bus sous la pluie. Quand le bus arriva je me dépêcha de monter dedans et d'aller m'asseoir vers le fond côté fenêtre comme hier. Je posa mon sac sur le siège d'a côté pour que Dylan ne vienne pas. Mais c'est un peut raté car il prit mon sac et me le balança sur les genoux.

Moi: (en anglais) Eh! Mais t'es con ou quoi? déjà tu me demande pas mon avis si tu peux venir t'asseoir ici ou pas et en plus tu me balance mon sac à la gueule!!

Dylan: (en anglais) Je vais te le dire une fois et pas deux tu te calme de suite.

Moi: (en anglais) Non mais tu te prends pour qui!!! T'es pas mon père!!!

Dylan: (en anglais) Fais gaffe Emma, et tu n'a pas de père.

Moi: (en anglais) Pff t'es trop c...

Dylan: (en anglais) Ouai c'est ça t'as eue raison de ne pas dire ce mot sinon tu aurais étais handicapé.

Calme toi Emma, calme toi, on est bientôt arrivé... Je lui lança un regard noir et mis mes écouteurs.

Quand on arriva je sortis du bus en le poussant. Je chercha Aline du regard quant il m'attrapa le poignet.

Moi: (en anglais) Bon déjà toi tu me lâche parce que tu commence à me saouler là!! (dis-je en tirant sur ma main)

Dylan: (en anglais) Parle mieux, je ne le répéterais pas!

Moi: (en anglais) Quoi "parle mieux"?!! Tu te fou de ma gueule!!

Eh bim je me suis pris la baffe du siècle devant tout le Lycée. Tout le monde rigoler.

Moi: (en anglais) Ok.

Dylan: (en anglais) On ne dit pas "ok".

Moi: (en anglais) Ah non mais t'inquiète je sais dire aussi vas te faire foutre espèce de bâtard de ta race de connard de pourriture!!!

C'est sortis tout seul. Et je crois bien que je n'aurais du jamais faire ça... Dylan s'avança vers moi et me sourit. Je le regarda puis détourna les yeux.

Dylan: (en anglais)(en criant) Vous ne vous êtes jamais demander pourquoi cette pauvre fille porte comme nom de famille "Ronaldo"?

Moi: (en anglais) Non Dylan, non, s'il te plait.

Dylan: (en anglais) Attends, je vais la refaire en Espagnol.

Moi: (en anglais) Non, S'il te plait, je t'en supplie!

Dylan: (en espagnol)(en criant) Vous ne vous êtes jamais demander pourquoi cette pauvre fille porte comme nom de famille "Ronaldo"?

Je commence à avoir une larme qui coule sur ma joue. Je regarda par terre.

Moi: (en anglais) S'il te plais! Ils vont me haïr parce qu'ils vont être jaloux!

Dylan: (en anglais) Mais c'est ce que je veux princesse, qu'il te haïssent.

Je vis Aline se frayer un chemin entre la foule.

Aline: (en anglais) Dylan laisse la!

Dylan: (en anglais) Oh mais qui voila! La chère amie à Emma! Et bien, tu fais bien d'être là, tant mieux, Emma à un truc à te dire.

Aline: (en anglais) Qu'est ce qu'il y a Emma?

Moi: ... (regardant toujours le sol)

Dylan: (en anglais) Mais vas y dis lui, dis lui que tu lui à mentis, que tu as mentis à tout le monde.

Aline: (en anglais)(se rapprochant doucement) Emma, tu m'a mentis?...

Moi: (en anglais) Je... Suis... Désoler... Aline, s'il te plait m'en veux pas mais... (mais larme coulèrent de plus en plus)

Dylan: (en anglais) Cristiano Ronaldo l'a adopter, elle vient de France, de Paris.

Tout le monde poussa des "oh" et des "Cristiano Ronaldo?" en chuchotant.

Aline: (en anglais) Pourquoi t'as fais ça Emma? Dès qu'on s'est vue je pensais qu'on était amie.

Moi: (en anglais) Moi aussi mais...

Aline: (en anglais) Non pas de mais!! Je veux plus te voir!! Tu m'a mentis!!

Elle repartit à travers la foule.

Moi: (en anglais) Aline attends!! Je pensais que tu serai jalouse! Je suis désoler, je...

Aline ne se retourna pas. Tout le monde ce fouta de ma gueule après le vent que je me suis pris. Je me retourna vers Dylan et le claqua. Ça ne lui fit ni chaud ni froid. Mais en revanche il me poussa et je me ramassa part terre. Après ça je me releva et partis à travers la foule qui se foutaient de ma gueule et qui me lançais des putains de regards noirs.