Cette histoire traite de l'addiction aux substances nocives tel que l'héroïne, la cocaïne, l'alcool dans le milieu de la scène musicale, plus précisément du rock.

Addiction : Dépendance très forte (à une substance nocive) entraînant une conduite compulsive. Il est courant pour un toxicomane d'émettre le désir de renoncer à cette conduite, mais il se trouve dans l'incapacité de le faire.
-> Définition de L.K : Quand tu peux arrêter un truc quand tu veux, à condition que ce soit mardi prochain.

Héroïne : Opiacé dérivé de la morphine. C'est une petite poudre plutôt blanche qui entraîne une forte accoutumance comparé à d'autres drogue. Elle peut prendre d'autres nom tel que "Came", "dope".
-> Ça t'aide à t'échapper de la réalité tout en la rendant d'autant plus difficile à supporter quand tu as replongé.

Cocaïne : Drogue dérivé de feuilles de coca. C'est un puissant stimulant du système nerveux central, procurant un effet d'euphorie de bonheur et un sentiment intense d'énergie. Elle crée une dépendance forte et rapide.
-> Plus tu en prends, plus tu rigoles bêtement.

Alcoolisme : Consommation excessive et chronique d'alcool.

Cette histoire traite aussi de dépression et de psychose.

Psychose : Terme psychiatrique désignant un état mental dans lequel pensée et perceptions sont détériorées. Les personnes peuvent souffrir d'hallucinations, avoir des pensées délirantes (paranoïaque), manifester des troubles de la personnalité et des troubles du cours de la pensée. La psychose est décrite comme une "perte de contact avec la réalité"
-> Quand le monde entier veut ta peau avec une arme nucléaire, mais que tu t'en fou, parce que c'est toi qui a le couteau.

La dépression, c'est une maladie, et elle va avec de « bons » comme de « mauvais » jours. Entre deux accès dépressif, l'humeur peut redevenir normale, mais un accès se déclenche très vite, entraînant dégoût de soi, culpabilité et sentiment que la vie ne vaut pas la peine d'être vécue. Il n'est pas toujours possible d'en guérir. Certaines personnes touchées, fatiguées de lutter, finissent par mettre fin à leurs jours.

Contrairement à d'autres maladies psychiques, la souffrance morale du déprimé est invisible, il est donc difficile pour le malade de communiquer avec son entourage. D'après l'INSERM, l'institut national de la santé et de la recherche médicale, une personne sur cinq a souffert ou souffrira de dépression.

La dépression n'a ni de visage ni d'humeur. - Talinda Bennington

Descriptions prisent sur le livre "Heroin Diaries"

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https://youtu.be/HP_3VA-bZ7Q