Histoire

La guerre entre Fiore et Bast avait touché notre village, Fairy Tail. Nous avions rien pu faire contre les envahisseurs Bast. Ma meilleure amie Lucy avait disparu lors des bombardements. Les bombes était si assourdissant qu'on attendit point les hurlements des villageois et nos propres pensées. Mon mari Gajeel, mon fils, mon chat et quelques amis ont survécut. Gajeel me conseillait de ne pas attirer l'attention. Natsu était rouge de colère face au soldat ennemi. Il exigeait de leur dire où était sa femme et sa fille. Il prit le collet d'un soldat en lui crachant des injures. Cet affront lui a valu une balle en plein tête. J'étais si affolée qu'un hurlement strident à sorti de mes lèvres. Mon fils se cacha la vue. Mon mari plaça sa paume contre ma bouche pour camoufler le bruit. Je senti le regard détestable d'un soldat. Son sourire machiavélique s'étirait jusqu'aux oreilles. Il s'approcha de moi, je me sentais impuissante. Je croyais qu'il allait me dégommer, comme pour mon cher ami Natsu. Mon coeur battait d'effroi, chaque battement me rapprochait de la mort qui devait me faire fasse. En haut du soldat, je voyais l'ombre de la faucheuse. Que je le voulais ou non, mes pieds tremblèrent de terreur. Il posa cette main qui retenait ma bouche sur mon épaule. Il me chuchota à l'oreille.

-Ne t'inquiète pas, nous allons nous en sortir.

Je pria mentalement qu'il aille raison. Il me donnait la sensation d'être un casque de métal qui me protégera de l'adversité.

Je me sentais légèrement plus calme de l'intérieur. Tout c'était passé rapidement, mais nous, villageois de Fairy Tail ne baissons jamais les bras. Nous avions subi les conséquences de notre détermination. Mon fils qui trembla dans mes bras en tenant notre chat Lili, broya du noir. Le soldat prit mon menton. Je dégluti, mais je ne me laisse pas faillir. Natsu n'aurait pas voulu ça de nous. Gajeel ne m'avait jamais menti auparavant , ce n'est pas aujourd'hui que ça changera.

-Ne me fusille pas du regard ainsi, tu as un si beau visage et... De si merveilleuses courbes. Si tu pouvais me faire un enfant aussi mignon que le tiens, je serais comblé.

Gajeel retira sa main sauvagement de mon menton.

-Désolé, mais elle appartient déjà à quelqu'un enfoiré!

Étonné, le soldat le dévisagea.

-Je rêve où tu m'as traité d'enfoiré?

En signe de défi, le soldat prit son fusil en main et de l'autre, malaxa ma fesse. Quel horrible personnage! Je ne pouvais rien faire avec mon fils et Lili dans les bras. J'ai un haut de coeur, j'avais envie d'hurler de mépris. Je mordu férocement ma lèvre inférieure en fermant les paupières, croyant fermement à un cauchemars. Mon fils me questionna.

-Maman pourquoi tu crispes ton visage?

-Pour rien mon chéri, pour rien ...

Mon mari prit d'une rage incontrôlable et ne se laisse pas faire.

-C'EST MA FEMME ET JE T'INTERDIS DE LA TRIPOTER VERMINE!!

Il prit un couteau étant cacher dans sa chemise et poignarda le soldat dans la nuque . Il tomba rudement au sol, son sang ignoble envahit les fleures.

Ces collègues sont restés choquer par le courage de mon homme. Cela avait permis aux autres hommes du village de sortir leur canif. Ils avaient commencé à poignarder les ennemis. Gajeel me hurlait dessus.

-Cours Reby et ne reviens pas!!!

-Mais Gadjeel, Je ne peux pas te...

Il me fusilla du regard.

-Idiote!

Il tua un autre soldat aussi rapide que l'éclair. Les larmes coulaient en rafiot sur mes joues pendant que mon fils se cacha tête première dans ma poitrine. Gajeel s'approcha doucement et m'embrasse tendrement.

-Écoute Reby, Je ne supporterai pas de te perdre. Fait moi confiance, peut importe ce qui arrive, nous nous retrouverons, c'est promis.

Je lui souris innocemment. Un ennemis désarmé le pris par la gorge et l'entraîna vers lui. En essayant de respirer Il me hurla ces dernières paroles.

-JE VOUS AIME! PARTEZ!

J'opina et parti le coeur lourd dans la forêt. Mon fils pleura en le voyant se faire torturer au loin.

-Maman, on peut pas laisser papa... Papa... MOUIIN!

Il voulait rester avec lui et je refusât. C'était dure pour moi aussi mon fils. Je lui avais promis de vivre et c'était ce que j'allais faire. Un jour, nous nous retrouverons, il me l'avait promis.

Nous nous sommes cacher depuis plusieurs années en état nomade . Nous vagabondons ville en ville jusqu'à que la guerre soit terminé. Nous sommes retournés au village. Les autres femmes disent  que mon mari a disparu dans la nature en tentant de nous rejoindre lorsqu'ils ont supprimés tous les ennemis avec l'aide de l'armée de Fiore. Je pris la direction qu'il mon indiqué lorsqu'il est parti. Mon fils me devança, excité de revoir son père. Mon fils s'immobilise, le visage morne devant un squelette.

-Allez viens Allem, continuons!

-C'est inutile...

Il est sur le bord des larmes, il se laisse tombé sur les genoux. Il caresse doucement le crâne. Lili, notre vieux chat, se frotta la queue sur lui pour lui remonter le moral.

-Allons mon chéri, retrouvons papa. Il voulait qu'on le rejoint. Je lui ai promis et on doit tenir cette promesse.

Je ne comprenais pas pourquoi il pleurait devant le cadavre d'un inconnu. La guerre la sûrement devenu sensible. Il essuie ses larmes en jetant en soutenant mon regard. Je n'aime pas voir mon fils dans cette état, il faut vite retrouvé Gajeel. Il prit quelques choses sur le squelette et nous continuons. Après une dizaine de kilomètres, il me montra un pendentif.

-J'avais trouvé ça sur ... sur la route maman.

C'était celui de Gajeel, on était sur la bonne route. Je suis plus motivé. Je courais, j'étais plus rapide que l'ombre, que la mort. Gajeel je te retrouverai avant eux. Si c'était trop tard, même si je le crois peu. Gajeel, même si mort nous sépare, elle nous unirons dans le futur. Peut importe combien de temps ça prendra on se retrouvera. Tu te souviens? C'était notre promesse.

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