Chapitre 1:Rencontre sensuelle

Pile le jour où je devais me réveiller c'est pas possible il se fiche de moi ce réveil pendant toutes mes années de collège et de lycée il a toujours marché parfaitement bien et le jour où je dois absolument être à l'heure il bug c'est pas possible!!!

Je me lève alors à la hâte et file directement dans ma douche.

5min plus tard, c'est bon je suis douchée et habillée. Pas le temps de déjeuner tant pis ce n'est pas le plus important.

Je prend rapidement mes clés de voitures, ferme ma porte et dévale les escaliers de mon immeuble et cours jusqu'à ma voiture. C'est bien-sur lorsque l'on est la personne la plus pressé au monde que l'on arrive pas à rentrer cette fichu clé!

Quand enfin ma voiture se décide à démarrer je sors donc du parking souterrain rapidement.

Je vous épargne ce trajet interminable jusqu'à la gigantesque tour où est censé ce trouver mon nouveau travail.

J'arrive alors devant les portes des ascenseurs, j'appuie alors sur tous les boutons espérant qu'il y ai au moins un ascenseur qui descende rapidement, car je suis sportive mais aujourd'hui monter 30 étages...L'envie n'y est pas et même si elle y était j'ai tous sauf envie d'arriver à ma première journée de travail transpirante comme un buffle.

Lorsque les portes de l'un des ascenseurs s'ouvrent je pénètre donc à l'intérieur au moment où elles commencent à se fermer je vois un homme avec une classe folle se précipitait vers moi.

Faisant preuve de générosité j'appuie donc sur un bouton permettant au portes de se rouvrir, sur cet homme me regardant si intensément que je me sentis défaillir.

Lorsque je voulu appuyer sur le bouton affichant le numéro 30, ma frôla celle de ce mystérieux homme et nos regards se croisèrent quelques secondes.

Ce moment avait été d'une intensité folle et d'une sensualité surnaturelle.

Ce qui était sûr c'est que cet homme avait un charisme fou, mais je me rendais compte que j'avais un comportement beaucoup trop puéril. J'ai certainement dû m'inventer cette entrevue si sensuelle soit elle...Je repris donc mes esprits et appuya sur le bouton trente jamais en 20ans de vie je ne m'étais laisser emporté par un homme et ce n'est pas aujourd'hui que cela changerait.

Je détourna alors le regard de ce corps qui semblait si irréel et me concentra sur mes simple baskets noires qui tout à coup me semblèrent d'un intérêt certain.

Une tension pesante nous faisait face et je savais pertinemment que cet homme dont je ne connaissais même pas le nom la ressentait également.

Cette tension était d'un érotisme de rude épreuve, j'essayais de me convaincre que seule moi ressentais ce besoin presque animal de me jeter au coup de cet homme dont je ne connaissais strictement rien.

Ce désir traversant dans toute mon échine, ma respiration commença à ce faire de plus en plus courte et saccader.

Je ne savais que faire de mes mains et je mordillai ma lèvre pour essayer de dissiper ce stresse montant peu à peu jusqu'à mon cerveaux.

Alors que je me posais tant de questions en vers cet homme si attirant, comme si mon cerveau avait eu un élan de génie, je pris conscience que je commençais à être vraiment en retard pour mon premier jour...Et le stresse en vers cet homme, se transforma en stresse en vers mon patron.

Et oui, car aussi bizarre que cela puisse paraître je n'ai encore jamais fait la connaissance de mon patron. Je ne sais ni à quoi il ressemble, ni à quel caractère je dois m'attendre.

Je me doute que ce ne sera certainement pas le bon vieux patron cool vu la grande entreprise dont il est le patron.

J'espère ne pas trop me faire remarqué pour mon premier jour, ce serait assez idiot de me faire renvoyer dès le début...

Et voilà, encore des pensées négatives, aller je me concentre 1,2,3,4,5,6,7,8,9,10...Souffle tout va bien se passer.

Lorsque les portes de l'ascenseur s'ouvrirent enfin, je pris une grande respiration et sortis, suivis de l'homme ayant fait partis de mes plus grands désirs quelques secondes auparavant.

-PDV Tyler-

Me voilà bloqué dans les embouteillages, j'aime tout contrôler, j'aime que tout soit sous ma direction.

Et aujourd'hui sans que je puisse comprendre quoi que ce soit rien ne se passe comme prévue. Tout d'abord je suis partie en retard par la faute de ma mère m'ayant appelé, ma mère étant une bavarde j'en ai eu pour plus de 10min pour lui expliquer que ma nouvelle recru arrivé aujourd'hui et que je me devais d'être à l'heure.

Malgré ça je suis sortie en retard et je suis maintenant bloqué dans les bouchons.

N'ayant rien d'autre à faire je me perd donc dans mes pensées. Je n'ai jamais vue ma nouvelle recru puisque c'est mon bras droit Lise Moréal qui l'a embauché et je lui fais confiance si elle l'a choisi c'est que cette jeune fille doit être compétente.

Les seules renseignements dont ma fait pars Lise sur cette jeune recru est quelle s'appelle Alia, quelle a 20ans et quelle à l'air des plus sérieuse (espérons-le).

Lorsque j'arriva enfin au siège de mon entreprise et que je passa les portes je vis l'un des ascenseurs sur le point de se fermer. J'essaya tant bien que mal de l'atteindre mais je vis les portes se fermer devant moi, je resta abasourdis devant les portes, les fixant avec désarrois ne voulant pas monter trente étages à pieds.

Lorsque tout à coup, je vis les portes se rouvrir sur une ravissante jeune femme que je n'avais jusqu'alors jamais vue.

Son visage paraissait angélique mais pourtant stresser, ses cheveux étaient relevés en un chignions plus ou moins bien fait et ses habits étaient décent sas paraître trop strict.

Jamais je n'avais autant porté attention à une femme avant cela mais cette femme rejeté un charisme absolument hypnotisant.

Lorsque je voulu appuyé sur le bouton de mon étage nos mains se rencontrèrent dans un doux effleurement. Et la chaleur augmenta tout à coup.

Puis plus les secondes défilaient plus une tension s'installa dans cette étroite cabine qui me paru tout à coup très petite.

Lorsqu'elle commença à se mordiller la lèvre inférieure un désir atroce m'assaillis et j'eux l'irrésistible envie de juste me laisser aller et de me jeter sur ses lèvres. C'était un désir ardant, intense et à la limite de l'animosité.

Jamais je n'avais ressentis un tel désir en vers une femme avant ça. Je ne suis pas du genre à m'attarder sur un jolie minois lorsque j'en vois.

Mais cette jeune femme était si naturelle, si dévastatrice et pourtant si inconnue à mes yeux.

J'avais envie de me perdre dans ce corps frêle et d'oublier tout le temps d'un instant.

Me perdant dans mes pensées les plus intenses, je ne vis qu'après coup, que les portes c'était ouvertes et que cette femme au corps presque irréel quitter cette cabine, emportant avec elle mes désirs les plus intenses.

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