Chapitre 4

Douce sous les étoiles

Après avoir passé quelques secondes en regardant le pauvre Marcelin qui fut volé par un coup de sommeil, elle avait retournée dans la cuisine et continue de faire la cuisson sans pouvoir se plaindre, ni d'avoir ce genre de mal à l'aise. Au contraire, elle avait pris tout son temps et utilisait tout son sens comme si elle y était déjà habituée.

Quelques heures après, le jeune homme se réveilla, couvert de fatigue et un peu irrité contre le froid, se leva puis se rendit dans la chambre où il avait fait son atelier.

Il prenait le temps d'arranger quelques petits trucs utiles, juste pour dire que ce fut l'arrêt de ses travaux pour la fin de l'année.

Il s'était encore une fois retourner en se dirigeant dans la salle à manger, parce qu'il devait d'abord déposé ses ustensiles juste dans le couloir, près de la douche. Il devenait de plus en plus faim et assoiffé, à cause qu'il n'avait rien goûté durant cette journée écoulée en toute justesse.

La femme, elle, avait déjà quittée cet endroit, sans savoir où elle était allée, il commença son petit repas, sous les fluides courant d'air hivernal, les rideaux de la fenêtre du salon secouaient fortement jusqu'à faire entendre la voix de quelques objets sur son petit coiffeuse qui tombaient et cassaient justement.

Après une quinzaine de minutes, il avait abandonné son mets pour aller voir où cette belle nouvelle venue y était allé dans le froid du dehors de cette nuit sombre et profonde.

— Alyssa ! Alyssa ! Cria t-il, en se dirigeant tout droit vers la chambre à coucher.

Il ouvrit doucement la porte, et sous un regard paniqué, il voyait son lit couvrit d'un nouveau drap, mais il n'y avait personne en ce temps-là.

Il fut rempli de panique, car il n'y avait aucun son, ni odeur qui pouvait lui affirmé qu'il y avait quelqu'un qui baignait sous la douche.
Cet ainsi qu'il avait prit la direction de la porte de sortie, et l'ouvrit brusquement. Enfin, voilà ! Il apercevait le dos d'une femme en robe blanche, debout sous la neige qui tombait en catimini, la tête haussé vers le ciel.

Il s'était arrêté pour admirer la couleur de la robe qui brillait sous les étoiles, wouah ! Quelle est magnifique ! Dit-il silencieusement. Soudainement, Alissa tourna sa face, lui sourit et lui demanda de s'approcher.

Il s'approcha et s'est arrêté juste à côté d'elle, Alyssa avait l'air très heureuse et elle était très souriante comme si rien ne lui avait manquée.

— Parfois, j'ai eu l'envie d'admirer les étoiles sous la neige tombante, mais je n'arrive pas à le faire, car je suis un homme qui souffre d'une éternelle fable obscur, d'une histoire sans lendemain, douteux, rageux et sans aucun sens. Je n'ai jamais pris un temps pour le faire depuis que mes parents m'ont quitter. Avait-il déclaré, les yeux fixés vers le ciel.
Les soucis me tiennent à l'esprit, je n'arrive jamais à me faire passer pour quelqu'un qui méritait d'être heureux,car, trop souvent, je me sens seul, abandonné comme un parquet qu'on laisse pourrir près du quai, c'est dur, mais j'assume toujours mes opportunités et la raison de vivre et pour combler ce vide, je n'avais toujours qu'à passer tout mon temps à travailler.
Avait-il ajouté, sous un air calme et triste à la fois, il tremblait timidement sous le froid.

Alyssa lui regardait droit dans les yeux et consentie sa peine, elle essayait quand même de sourire sous ses cils couvertes de mince glace.

Ce qu'il n'avait jamais remarqué, c'est que les oreilles d'Alyssa ne faisaient pas la longueur de ceux des humains, elle était différente, mais, il y a un jour pour être bête et un autre pour découvrir les secrets.
Alissa tourna les yeux vers les étoiles, puis, calmement, elle lui tenait par la main en essayant de lui faire oublier ses mauvais moments; il y avait des gens qui passaient l'une après l'autre à côté d'eux, mais personne n'a jamais essayé de comprendre ce qui se passait entre lui et cette nouvelle visage.

Ohhh ! Très joli couple ! Cria soudainement l'une de ses voisines qui passait à pas-de-géant à côté d'eux.

Alyssa lui regardait et son sourire est devenu une tâche qui ne pouvait pas effacer de son visage doux et éclatant.

— dit donc, quand iras-tu à la forêt pour prendre tes bagages ? Demanda Marcelin, lui qui semblait d'être intéressé à l'accompagnement de cette Ange si elle le lui demandait de l'accompagner.

— à vrai dire, je n'ai pas de bagages dans la forêt, je suis venue sans rien apporté, car après tout, on m'a tout enlevé et tout volé.
Répondit t-elle en tremblant un peu sous le froid.

— je comprends, mais tu disais que tu devrais y retourner. Marcelin voulait à tout prix gagné cet espoir de vivre, avoir conquérir le cœur de cette femme perdue dans la région, c'est tout ce qui comptait approximativement.

— bien sûr ! Je voulais dire, chez moi, mais pas dans la forêt. Répondit-elle de sa tendre voix.
L'homme le regardait d'une manière sidérée, il voulait comprendre ce qui s'est réellement passé avec elle, mais, elle était la seule à pouvoir mentir ou donner la vérité si elle l'avait voulue.

Elle fixait le ciel,ses yeux devenait d'une couleur bleuâtre, étrangement, brillante à la vue de cet homme qui la regardait timidement et de temps en temps.

— est-ce que tu vas bien ? Questionna t-il à la jeune femme, sous un air terrifié.

— oui ! Pourquoi ? Répondit t-elle en la regardant,sa main droite tenait une partie de sa robe en la soulevant un sur la neige et l'autre tenait toujours la main de Marcelin qui n'arrêtait pas de le fixer.

— Et bien... Rien ! Il s'est replié en se jetant dans le monde de l'admiration, essaie de ne pas comprendre ce qui était entrain de se passer.

— regarde ! Elle avait criée, Alyssa.
Les sapins de Noël illuminent un peu partout dans la ville. Elle avait ajoutée.

— oui, c'est magnifique ! Où est passé mon sapin de Noël ?? Avait-il demandé,curieusement. Il s'est vite rappelé da la demande qu'il avait fait pour sa décoration de ce grand mois qui porte très souvent, de la joie au cœur de tous ceux qui ont su le préparer d'avance. Parfois, cela demande aussi une grande variété de sacrifices, sourtout chez ceux qui ont souffert durant toute la durée de l'année du point de vue financière et économique.

— et bien... J'avais drôlement oublié de te le dire, par contre, le livreur était venu pendant que tu dormais et j'étais la personne à pouvoir m'en charger de tout. Elle avait répondue en se tournant vers cet homme qui paraissait inquiété.

— et... Où Est-ce que tu l'as mis? Interrogea t-il à sa compagnon.
-— il est sous un tapis à côté du plancher, je l'ai couvert afin de ne pas perdre sa couleur verte si naturel sous les poussières. Elle avait repondue, sagement.
Tu voudrais aller jeter un œil ? Elle a demandé en souriant.

— non, je préfère rester ici quelques minutes pour me détendre, demain, on commencera avec les décorations. Répondit t-il, sous la prétention d'un acteur engagé à la fête de Noël.
C'était sa toute première dans l'histoire de sa vie et il voulait donner tout son courage pour la rendre réussi.

— oui, ce sera formidable ! Exclame t-elle. Dit, qu'est-ce que tu comptes faire pour le grand repas de notre réveillon?
Je pense qu'il nous faudra des bonbons, des petits trucs à partager aux autres, bah... Même si nous n'avons pas beaucoup à donner, mais, je voudrais moi-même le faire avec le peux que nous pouvons avant même la soirée.

— ah ! Comme ça, tu veux partager des bonbons dans toute la ville ??
Cria Marcelin, surpris avec les mains sur les hanches et s'est simplement tourner le dos à Alyssa qui lui fit cette proposition.

— mais non ! Je ne vais pas me rendre en ville ! Mais dans notre petit secteur, ça ira ! Marmonna Alyssa en secouant la tête de la droite vers la gauche.

— je vois où tu veux en venir, mais je n'ai pas beaucoup d'argent pour faire toutes ses dépenses, ensuite, je vais me procurer une petite camionnette pour la fin de l'année, j'en ai besoin pour améliorer ma condition de vie. Répond l'homme qui essaie en peux de se détendre

— humm ! Très bonne initiative ! Mais ce que tu ne sais pas, c'est qu'en donnant le peu que tu as délibérément, tu peux en recevoir plus, tu le sais ça ?! Avoue Alyssa.

— c'est bon, arrête ! Demain, j'irai en ville pour faire ces achats, et je veux faire en sorte de trouver quelqu'un qui pourrait m'aider à mettre un petit bonhomme de neige sur le toit de la maison, je pense que ce sera bien plus intéressant pour les décors.

— parfait ! C'est une très bonne idée.
Cria Alissa en se jetant dans les bras de Marcelin qui fut épaté par ce geste.
Amoureuse ! Elle ne voulait pas l'avouer aussi tôt, mais, elle savait que ses sentiments pour Marcelin était près à le faire partager.

Après cela, ils décidèrent de rentrer à l'intérieur, de gagner leur lit, car il était déjà un peu trop tard au milieu de la nuit.

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