Chapitre 3
<< Journée vague >>
Après avoir passé près qu'une longue journée à sillonné dans la ville comme un abeille qui fait le butin, il avait donc décidé de retourner chez lui parce-qu'il avait son esprit attaché quand il s'est rappelé qu'il avait laisser quelqu'un à la maison. Cependant,le livreur tardait à faire son travail, car il avait tellement de livraison à faire en ce temps-là, entre lui et le jeune couturier il n'y avait aucun point de différence ; il ne pouvait guère en faire plus durant toute la journée, cela paraissait gênant ou séquestré.
La ville était entièrement couverte de neige, car le flocons continuaient à tomber sur les fenêtres et tous les gens profitaient de leur temps libre malgré tout pour pouvoir procurer des sapins, certains objets pour leurs décorations, mais bon ! Pas plus à raconter.
Il s'était rendu chez lui en prenant un petit taxi qui ne se réchauffait pas assez bien, mais, il était tout bonnement confortable, d'ailleurs, par habitude, il avait toujours le sang chaud, même si le froideur lui battait jusqu'au bout de son nez. Hélas !
Il faisait de temps en temps un coup d'œil sur ses marchandises, siégeant à côté de lui, et il ne pensait qu'à une seule chose, la seule chose qui pourrait peut-être lui manqué pour rendre la fête aussi parfaite comme le pense. Passivement, il avait enfin décidé de passé un grand moment sous un sapin bien décoré comme le faisait sa mère quand elle était avec lui. Pour Alyssa, ce n'était pas prévu, mais il était certain que c'était pour lui une priorité qu'il devait saisir pour remédier sa vie à un niveau plus suffisamment honorifique.
Assis sous les étoiles et en-dessus de l'amas de glace cristal, accompagné de quelqu'un qui renforcerait peut-être son dessein ou disons plutôt sa vie en passant par cette petite fenêtre qu'on appelle souvent : l'amour; il était un peu désorienté par un petit trouble mentale parce qu'il n'avait pas presque dormi en rêvant de vivre un moment comme il l'imagine au moment d'où il a donc voulu faire plaisir à cette femme et il était fatigué comme un trait que l'on pourrait voir sur son visage pâle, par ailleurs, il avait peur de conduire sa vie à des obligeances d'un médecin. Cela signifiait que sa peur était de réduire ses risques, ceux qui pourraient l'entrainé à faire des dépenses à l'hôpital, suivre un psychologue ou quelque chose comme ça.
Il regardait par les vitres, les banquises qui se détachaient et s'écroulaient au pied des montagnes, des gens qui le voyait lui saluait comme d'habitude avec le sourire aux lèvres, il avait donné un tendre reflet d'un sourire amical comme la lueur du bébé qui souriait dans l'étable auprès des mages et de ses parents; et quand il se rappelait de cette étrangère, cette femme qui était venue frappée à sa porte, il croyait déjà avoir, faire éclater du champagne à côté de son lit, mais ce n'était que simplement d'ôter d'une vision passagère! Il fallait que tout soient mis au point et qu'une fois, que cette chance lui soit donné de la part de Dieu et du père Noël.
«Des cookies !! Cria t-il en ouvrant grandement les yeux. Ils étaient brillants comme les guirlandes, pourtant, il le négligeait complètement. »
Le chauffeur lui regarda d'un air frustré par le rétroviseur, il se demandait assurément qu'est-ce qui n'allait pas chez cet homme là, et lui lança :
— pardon ! Avez-vous parlé de cookies ?? Exclame le chauffeur en interrogeant l'incident.
Et le chauffeur qui semblait d'être surpris, pensait peut-être que cet homme là avait quelque chose qui n'allait pas.
-— bien sûr que j'ai parlé ! Je suis en train de réfléchir à un petit dîner pour la Noël et j'allais vachement oublier d'ajouter des cookies dans la liste des recettes, c'est un peu maladroit non ? Je pense qu'il me faut ça pour la fête.
— Ah! Je croyais que seuls les femmes pouvaient préparer ce genre de chose! Il paraît que vous êtes le seul à pouvoir vous engagé. C'est difficile pour un père de famille comme moi de penser à la fête.
Répondit le vieux chauffeur sous sa barbe grise et touffue, s'il le Père-Noël ne manquait pas sa venue,on l'aurait pu le remplacer par cet homme.
— que ce que vous voulez dire par là monsieur ? Questionna t-il sous un regard paniqué, écartant ses pieds qui se portaient l'un contre l'autre.
— Et bien.. Je veux dire que j'ai une petite famille, moi et ma petite fille, rien que nous deux pour passer la Noël, mais j'ai jamais arrivé à la rendre plus heureuse dans ces moments magiques de Noël,car elle me demande toujours d'ajouter cet ingrédient dans notre menu, mais j'arrive jamais à le faire, néanmoins,il me faut gagner un peu plus durant la journée pour en acheter, mais... j'ai trop de choses à faire avec cet argent,le propriétaire de cette voiture à rembourser chaque jour,la maison, l'école et toutes ces choses m'ont rendu presque vulnérable dans la ville, je ne sais pas si cette année, j'aurais de quoi combler ce vide,car elle est la seule qui me reste et je voudrais la voir sourire, surtout à la veille de la fête..
-— je vous comprends monsieur, je sais comment ça fait mal de ne pas pouvoir plaire à son enfant, mais,si tu veux, tu peux accomplir pour une fois cette mission.
— je voudrais bien, mais je ne sais pas encore ; répondit t-il en pressant le pied sur le frein.
— je pourrais vous inviter à mon dîner, peut-être que ce serait mieux pour vous et votre petite.
— vous m'invitez à dîner chez vous pour la fête ! Il fallait trouver quelqu'un pour m'aider à réparer toutes mes erreurs, merci beaucoup de votre gentillesse.
Répondit le chauffeur, sous une joie immense qui éclate de son visage pâlit et un peu plissé.
— bien sûr ! Je serai ravie que vous ayez participé avec nous, à vrai dire,moi et elle. A-t-il répondu de sang froid.
— merci, vous êtes marié ? Cria t-il en aidant le jeune homme à déposer ses affaires.
Pour l'homme qui prenait le volant chaque jour, c'était une occasion à profiter d'une petite discussion.
-— mais non ! C'est juste que j'ai une petite amie qui est avec moi et sans doute elle participera à mon réveillon.
— wouah ! C'est bien d'en avoir une petite amie, avec qui tu pourrais passer le temps, te divertir, bahh tu sais tout.
— désolé, mais nous ne sommes seulement qu'amis.
Répondit t-il en embrassant ses bagages
<< au revoir monsieur le chauffeur ! >> Cria t-il tranquillement sous le froid.
— c'est quoi votre nom ? Moi je suis Mustapha. Déclare cet homme qui avait afin toucher sa conversation de la mis journée.
— Marcelin. Répondit t-il brièvement.
— à revoir monsieur Marcelin, et à bientôt !! Avait crié le chauffeur qui s'empresse de s'en aller.
Le chauffeur s'empressa et avait rapidement regagné le volant, sous un esprit calme et son visage qui semble couvert de joie et de certitude après cette petite discussion qui lui avait certainement moralisé.
Marcelin tourna sa face contre la maison pour y rentrer, sous ses yeux, il apercevait une lumière immense qui illuminait sa maison, il s'était arrêté pour voir s'il s'agissait du feu ou de quelque chose qui demanderait d'appeler les pompiers car il avait tellement peur, que le sourire de ses lèvres à failli disparaître; mais tout à coup, la lumière s'est vite disparue.
Il s'est mis à frapper rapidement à la porte, oubliant qu'il avait porté les clés avec lui, et tout à coup, il l'ouvrit et fonçait vite dans les chambres pour aller voir ce qui se passait et quand il avait vu cela. Quand il avait regardé dans la cuisine tout était sain et il n'y avait rien qui brûlait ou qui pouvait dégager une telle lumière.
-— mais... qu'est-ce que cela pourrait être ?? Questionna t-il en posant les pieds sur le tapis bleu devant la porte de sa chambre.
Il frappa à la porte de la chambre où il dormait depuis que ses parents étaient partis sous un toit remplis d'inquiétudes.
Toc toc toc !
<< oui j'arrive ! >> Cria la femme, qui était restée à l'intérieur.
Porte qui s'ouvre.
— oh bonsoir ! Tu es enfin revenu ! Lança t-elle sans pouvoir montrer aucun signe de faiblesse.
— oui, je suis revenu et j'ai apporté des ingrédients pour mon réveillon, comment ça va ? Rétorqué le couturier qui essayait de fuir son imagination après avoir vu cette lumière étrange.
— bien ! Attends ! Laisse-moi t'aider. Dit-elle au jeune homme qui laisse tomber un de ses parquets.
— non, ne t'inquiète pas! je vais faire tout seul.
Répondit t-il sous un brusque vent froid qui avait pénétré subitement à travers les fenêtres de la maison.
— si! Je vais prendre celui-ci. Elle prit le parquet qui était tomber du sol, le plaça à côté du placard et retourne dans la chambre.
Elle ferma doucement la porte et après quelques minutes, se faufila dans la cuisine.
Marcelin était très fatigué,il était assis sur un petit banc installé auprès de la porte de sa chambre, puis, un bâillement pour chasser la fatigue et s'étire deux fois.
— tu voudrais quelque chose à boire ? Je suis en train de nous préparer quelque chose à manger.
Chuchota la femme aux yeux clairs rondes comme des guirlandes, qui lui observait, s'étirant les poignets.
— ne t'inquiète pas, je n'ai besoin de rien pour l'instant, mais un livreur va nous apporter un petit sapin que je venais de faire passer en commande,ouf ! Je dois dormir un peu.
Dit Marcelin en s'appuyant contre le mur. Ses craintes avait disparu, oubliant vite ce qui s'était passé, certainement ?
La jolie minette lui projette un regard sombre, puis, lança un petit sourire sous l'amas des ondes foisonnante des glacières.
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