Chapitre 10

L'envoyer qui se fait pauvre.

Après avoir pris les devants, ils sont rentrés pour mettre les devants à l'intérieur, puis sortissent pour aller à l'ombre de l'incroyable bonhomme de neige géant.

L'art majestueux a pu faire tomber dans le cœur des habitants, une admiration fatale et vertueuse au cœur de Noël. Ils avaient tous de la joie débordante quand ils apercevait ce beau statue portant sur le décor de la fête, les enfants demandait de la permission à leur parents pour aller admirer le beau art et ils étaient heureux de s'en approcher pour le voir de plus près.

On pouvait entendre crier les ours polaires sous l'ombre du bonhomme blanchis sous le ciel, les yeux qui pleurent d'une image jamais vue, et l'homme que voici a pu apporter aux gens un esprit d'équipe unifiée jamais vécu ; des larmes de flocons qui ruissellent sur quelques petites feuilles qui faisaient résistance, mais en vain ce courage qui, soudainement, apportait un ultime défaillance.

Une grinçante voix qui se faisait entendre,un homme, se plaignant ; assis dans un coin sous l'amande.

— qu'est-ce qui ne va pas monsieur ? Élance le jeune couturier sous un regard paniqué.

L'homme était assis sur des cartons mouillé par le froid,sa pantoufle lui serre comme la peau de cerfs désarçonné dans les bois.

La créature lui lança un regard hautain, car sa peau vibrait sous ses doux poils qui se réveillèrent si rapide, que même ses yeux bleus développaient un mouvement de grognon d'une flamme qui dépeint, quelque chose, sûrement, se cachait derrière cet homme ombré et stupide.

— le temps de dire adieu, le commencement des aveux. Dit l'homme, étrange sous sa voix étouffée.
-— mais de quoi parlez-vous monsieur ?
Demanda-t-il en fronçant les sourcils, tempérés sous le froid.

— qu'est-ce que tu viens faire ici Léon ?
Je croyais que la reine avait besoin de toi à la maison.
Cria Alyssa, stupéfaite de ce grand coup inattendu qui lui Jetât le sort de la peur.
De ses yeux, une goutte d'eau se déverse sous la brillance d'une pierre cristal, Marcelin lui fit un regard paniqué, mais ce n'était pas sa guerre et rien n'a parlé de combat tant que le soleil caché sous les nuages grisé émet sa lumière.
-— je suis vraiment navré ma petite, mais la mission est terminé maintenant, tu dois retourner à la maison.
Répondit le vieil homme au visage tronçonneuse. Il s'est levé rapidement et s'est mis en forme, il jetta ses premiers habits dont il se faisait passé pour un mendiant, puis, sous sa veste grise, son pantalon noir et ses souliers noir qui avait des lacets, il apparaissait comme un ennemis dans un film d'action française.

— je ne peux pas partir maintenant, Léon, je dois rester à Marcelin pour passer la fête de Noël ; lui répondit-elle sous les larmes qui ruissellent sur corps contre-nature.

— attends ! Je ne comprends rien dans ce que vous dites, Alyssa était en mission ?? Mais pourquoi tu m'as caché la vérité ? Tu aurais pu me tuer Alyssa ! Encore une fois, tu m'as menti, je suis désolée, il faut que je vous laisse.

Marcelin tourna le dos d'un cœur rempli de rage, il avait peur, peur de pouvoir perdre sa compagnie de si bonne heure, car leur conversation avait juste à peine commencé; mais Alyssa lui tenait par la queue de sa chemise grise et s'est mis à criée :

— où vas-tu mon amour ? Je suis désolée, je ne t'ai pas menti, et je ne t'ai jamais menti.
Elle avait criée, Alyssa, sous les paupières surélevées et son triste regard.

— non ! Vraiment ! Tu ne m'as jamais menti, parce que tu sais ce que tu es, tu m'évites de ta vraie histoire, tu m'as tout gâché, je veux plus te voir Alyssa, plus jamais. Il était en colère à cause de ce qu'il avait pu comprendre dans cette histoire, il n'aurait jamais souhaiter vivre une expérience pareille. Il ne croyait pas à cent pour cent que cette histoire était si compliquée pour qu'il puisse être devenir un de ses victimes, parce qu'il était vraiment tomber amoureux de cette femme et il n'y avait aucune place pour des phrases qui pour lui, n'avaient pas trop d'importance.

Il se débarrasse rageusement de la main d'Alyssa qui voulait lui parler pour éviter les disputes, et s'en alla subitement.

— mais qu'as-tu fait Léon ?! Tu sais bien que la mission n'est pas encore terminée, pourquoi t'es venu de l'indifférence entre nous ? Connais-tu la voie de son cœur ? Je suis venue parce que je devrais changer sa vie, le rendre heureux comme s'est écrite, alors, hors de ma vue, Maintenant !
Cria Alyssa, de ses yeux remplis de larmes.

Léon reste dans son silence, puis tout à coup, disparu tout de suite en fumée.

Alyssa n'avait pas le courage de sécher ses propres larmes, voir se tenir sous sa vulnérabilité ; elle pleurait sous sa conscience indignée, et meurt sous un couteau sans forme et sans lame.
Elle s'y mettait en quelques minutes pour aller se faire pardonner, de l'autre côté, Marcelin lui-même, marchait dans le couloir du vide, sans savoir où d'y aller.

Toute la ville commençait à se rassembler, les jeunes gens, les enfants, les vieillards, commençaient à distribuer des fluors afin de mettre toute le reste du milieu au courant, mais il y avait pendant ce temps-là, une âme était épuisée et déprimée, il ne pouvait plus marcher, mais sa conception de foi se mettait justement à partir en courant.
Quand ils eurent entrés à la maison, l'un après l'autre, Alyssa était la dernière à pouvoir y arriver. Elle était très paniquée à ce moment-là.

— il est où ?? Mon amour ! Où se caches-tu mon chéri ? Je suis navrée, j'ai voulu tout t'expliquer, mais....

Ses paroles n'avaient point de place dans la maison qui craquait sous le froid, et d'une part, on pourrait voir de l'eau sortir de l'œil du bonhomme de neige géant qui n'avait pas de cœur pour affronter cette aventure.

Il n'y avait présence de personne à l'intérieur et du coup, elle se mettait à fuir en courant vers la forêt, le ciel développait une couleur terrifiante et tout le monde avait peur de la venue d'une tempête de neige.

Les nuages se passaient si vite pour se fondre l'une de l'autre sans arrêt, et l'orage parlait d'un cœur brisé sous les arbres envoûtés sous des trombes de pièges.

Il s'arrêta pour prendre un bout de souffle, respirer un peu d'air sous les yeux noyés, et lui enlève sa pantoufle qui lui protégeait contre le froid.

— je suis perdu dans un monde sans plaisir, j'ai sous les yeux un corps qui ne mérite point de plus de sacrifice, j'ai tant souffert et tant rêvé d'un rêve infâme, et aujourd'hui, je me livre à la mort, oh pauvre couturier ! Que la glace, les loups et bêtes sauvages fassent œuvre de ton décor.
Raconte t-il en se déshabillant de tout l'espoir qu'il avait gardé dans son cœur.

Alyssa courait si vite, qu'elle se faisait emporter par ses ailes, et elle était devenue de si petite taille que seul les oiseaux avaient la possibilité de la voir.

Elle avait trouvé le corps du jeune homme plonger sur la neige et s'est vite approcher, pour entendre les cris d'un cœur qui battait froidement au bas des rochers.

— mon amour ! Réveille toi !
Lança Alissa, en regagnant sa taille humaine comme si elle viendrait de se redressée.

Elle pleurait et le temps ne pouvait pas cacher sa douleur.

Un coup d'orage s'est rapidement déclenché et une petite tempête de neige s'en approchait, quoi faire maintenant ? C'est la seule et l'unique question que se posait Alyssa.
La petite fée y était apparue comme un fantôme, ses ailes battaient rapidement et des étincelles magique sortirent au-dessus d'elle.
— écoute moi attentivement Alyssa, j'ai vu vos comportement et vous êtes vraiment tombés amoureux l'un de l'autre, cependant, te souviens-tu que la mission était seulement de le rendre heureux et non pas de tomber pour lui? Tu n'es pas une simple créature Alyssa, tu es comme moi. Maintenant, tu as le droit de faire un choix et selon votre promesse, vous serez tout les deux les seuls à avoir ton secret. Si tu veux, je pourrais t'aider en te rejoignant comme une sœur. Propose la petite créature aux ailes fines et brillantes.
— non Anna, pas question que tu te mêle à cette histoire. J'ai compris quand tu m'as dit que j'étais la seule à pouvoir faire un choix, mais c'est plus difficile que pourrait l'imaginer. Mon père m'abandonnerais si j'accepte de rester coincé dans ce monde et il n'accepterai jamais qu'il vienne avec moi là-bas. Répondit-elle en pleurant.
— écoute, parle avec lui, explique lui et avoue le que tu es juste ici pour l'aider à passer un nouveau Noël et que tu dois  l'épargner de certains danger, sinon, parle à ton père, tu sais qu'il est un personnage d'amour et il comprendra certainement. Reprit la petite fée qui disparaît froidement.
 

 

Au cours de la même soirée, comme tout le monde dormait au corps allongés pleins de fatigue, le calme avait résidé dans tout le quartier.
Particulièrement chez Marcelin, Alyssa avait dormi sur sa poitrine, et lui, la tête sur ses oreillers et il ronflait.
Heureusement, la petite fée qui était à l'intérieur du cristal n'était pas encore partie, mais elle utilisait la petite maison qui apparaissait plus grande pour en faire sa demeure et non pour un portail.
Ce n'était la nuit pour dormir en réalité, mais comme ils étaient tous fatigués, il leur fallait un moment de repos.
Du coup, une fumée s'est faufilé à travers la fenêtre de leur chambre et soudainement, l'homme était apparu silencieusement, puis, il prit un moment pour leur regardé dans leur lit, ensuite, il prit la direction vers le tiroir où Alyssa avait placé la boule de cristal qui était d'une grande valeur pour sa génération. Une fois qu'elle ne soit plus, il n'y aura plus de Noël et tout le monde entier vivra dans le noir et dans l'amertume de la vie.
Quand il ouvrit le tiroir, il prit la petite boule de cristal et il était très content de pouvoir la maintenir. À l'intérieur, la petite fée ne dormait pas, mais couchée calmement avec les yeux fermés.
Quand elle avait brusquement ressenti les secousses, elle se leva vite, pensant que c'était sa maîtresse.
— oh non! Elle avait criée avec sa petite voix fine. La petite fée avait vu le visage de l'homme à travers la vitrine et elle avait ressentis une mauvaise énergie dégager par cet homme qui avait de très mauvaises intentions.
Elle avait franchit la petite maison et sortit invisiblement, ensuite, elle alla chuchoté dans l'oreille d'alyssa qui dormait de manière approfondie.
— maîtresse ! Maîtresse ! Réveille toi vite! Elle avait criée avec toute sa force.
Alyssa s'est vite réveillé et avait vu l'homme qui tenait la boule de cristal qui se tourne vers elle avec un œil méchant.
La petite fée, se faisait apparaître et lui avait lancé un coup de magie pour le stabiliser et qu'il ne puisse aller nulle part. Alyssa cours alors pour récupérer la boule de cristal et Marcelin c'était rapidement réveillé de son sommeil.
— que se passe-t-il ici? Il avait demandé, le jeune homme. C'est qui lui? Avance t-il.
— c'est le messager, il a dû nous trahir et est venu nous volé la boule de cristal du père Noël. Il est dangereux. Avait répondue Alyssa qui lui avait rapidement ôté la boule de cristal.
D'un instant, l'homme s'était déstabiliser et tira un coup de poing sur la jeune femme qui l'esquive et tenait fermement l'objet sous ses bras.
— et... C'est quoi cette créature ? Marcelin avait pour la première fois de sa vie, vu une fée d'aussi réel et il ne pouvait pas croire que c'était de la vrai vie.
La petite fée avait lancée un dernier coup de baguette magique et l'homme s'était tourné une petite insecte qu'elle envoyait loin de ce petit village.
Tout à coup, la petite créature s'était disparue et Marcelin n'a pas pu rien faire durant ce coup, mais Alyssa avait remerciée la petite fée avait repris sa place dans la petite boule de cristal qui était aussi un portail et pourquoi pas, une traversée du pôle nord.
Alyssa couru vers son homme qui avait resté la bouche bée et n'a donc rien dit à propos de toute cette histoire.

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