Chapitre 1

Ascension d'un cœur vide


Sous les nuages aisés qui caressent la carte grise du ciel voilé d'étoiles belliqueuses, un banc de neige soumis à l'un de nos villes patrimoine sous les flocons qui défilent de l'escalier de ce grand début de saison d'hiver.

Une histoire d'amour qui commence avec un cœur aimant, sage et tendrement admirable. mais surtout, il avait une qualité qui lui apprenait à toujours comprendre la fatigue des autres gens de cette ville.
Une étrangère brusquement apparue, une chanson qui fait cet éclat, et des phrases d'amour qui naissent sous le toit.
Un homme pieux, courbé au bout de sa taille, cours jusqu'au bas de l'escalier pour abattre ses détails.

Il n'était pas aussi dégoûtant, mais fragile comme un lapin, il n'était pas assez riche pour lui faire acheter des bonbons, mais pourtant, il était un vrai escroc à la fête de Noël même s'il ne pouvait guère lui procurer un sapin.

Son nom est Marcelin Barbutchier et il était couturier. Il avait carrément le portrait d'un sportif, pourtant, ce n'était pas vraiment le cas parce qu'il négligeait souvent cette pratique.

Un jour pour une soirée, ce fut son unique référence, car il se préparait à dépenser toute la journée du 25 décembre pour ne pas succéder sa joie au regret d'avoir passé une nuit blanche.
Souvent, il se tient devant sa machine jusqu'au soir, ce qui, certaines fois, le pulvérisait et l'affaiblit au lendemain.
Toujours pour les fêtes de Noël, il avait souvent été très attentionné à tout les préparatifs de réveillons quand sa famille se retrouve dans un seul état d'esprit.
La neige, le soleil sombre qui cachait sous les nuages épaisses, le faisait toujours croire qu'un jour il sera responsable et qu'il devait lui-même préparer la venue de ce grand moment de tout les pays du monde.
Il rêvait de voyager dans d'autres pays, voir les arbres de Noël  illuminés dans toutes les rues et les magasins.
Il se demandait aussi " et si le père Noël avait réussi de changer le monde ? Apporter un jour, de la joie et de l'amour partout et ailleurs ? Pourquoi personne ne l'a jamais vu en face pendant que l'on crois toujours qu'il existe ? Peut-être qu'il est mort! Et que l'on pense qu'il vit sans avoir la moindre idée de ce qui pourrait lui arrivé ? Mais, non! Il est possible qu'il soit immortel ! C'est... Difficile de croire qu'il va venir un jour pour changer quoique ce soit. Le jeune Marcelin croyait en partie qu'il avait de la chance que le père Noël y vient toutes les fins d'années qui survenaient, ce ne sont que des idées en passant.

Son visage marquait le désir d'un fêtant, mais son travail lui tenait beaucoup trop par la manche pour être plus sûr de vouloir fêter ce Noël, entre autre, il était un peu désespéré de pouvoir regarder la fête écoulé ainsi. Il s'y mettait chaque jour sur sa machine à coudre pour avoir le mieux-être chaque jour de sa vie, mais aux moindres tentatives, les regards des gens lui obstruait cependant ne pouvait guère lui barrer le chemin sous les nuages d'influences.

Son unique profession, lui a rendu un peu vulnérable, mais son regard délibéré prouve toujours aux autres qu'il s'agissait d'un cœur d'homme généreux.

Il faisait très froid, et la nuit lui marquait le commencement du départ de son ultime sourire parce qu'il avait toujours cette allure sur son visage, car déjà, son calendrier marquait le 23 et toujours rien pour planifier son repas.

8 heures, déjà l'heure de se mettre au lit, un lit de bois comme celui d'une cabane abandonnée, mais cependant, il continuait à coudre des vestons pour des couples et des jeunes amoureux ; il n'avait pas le cœur gros parce que lui il n'avait pas eu ce genre de chance, car il avait toujours l'air d'être ambitieux par son travail et non contre les autres. Et son cœur, assiégé par la peur, lui parlait d'une chanson de glace, d'un mur de froid et d'une attention hivernale.

Il était toujours seul, mais pas pour autant abandonné, car ses rêves lui suivaient tous les jours de sa vie et c'est là sa grande prétention.

Assis sur son siège de paille l'un de ses préférés, et ses chaussures de peau de cerfs n'avais jamais l'air d'être paires, mais lui fixait comme de bonnes expressions.

Sa chemise avait l'air d'une étoffe bourrée, mais il l'aimait, car s'était la dernière que son père lui avait procuré avant qu'il fût vécu il y a quelques années de cela. Aucun plis n'apparaissait sur son visage, malgré son âge marquait un peu la vieillesse.

Un coup de pétard, et il s'était rapidement levé de son siège, abandonnant son travail pour aller jeter un regard par la fenêtre ; il marchait désespérément, mais il avait le cœur un peu froid à la même heure; car il gardait toujours l'espoir de pouvoir devenir l'un des hommes les plus bienheureux du monde, même si en réalité, il marchait à pas-de-géant dans l'obscurité.

Arrivant sous la fenêtre, il apercevait quelques voisins qui étaient toujours présent dans la cour marchant timidement sous la neige, un coup d'œil vers le ciel lui faisait chauffé sa passion ; un sourire léger se lâcha et décida de retourner dans son siège.

Après une certitude d'avoir terminé ses travaux, ses yeux clairs étaient déjà mourants, mais s'asseyait pour quelques secondes en pensant à lui faire un petit repas assez coloré de la couleur pâle de Noël, par contre, il lui fallait du temps dans la journée pour vérifier s'il lui restait suffisamment de cookies, pas la peine ! Car il était assez trop bon cordon-bleu pour lui faire du bon sablé très appétissant.

Du coup, il alla dans sa chambre et se mette au lit sous un ciel fatigué, et il ne lui fallait pas une seule seconde pour être volé par un profond sommeil et se las de rêver.

Le lendemain, toute la couleur de la ville changeait complètement et les enfants étaient beaucoup heureux de jouer au combat de boule-de-neige.

Coucou ! Coucou !
Son petit réveil qui tout à coup chanta, celui-ci qui était installé sur son petit buffet où sa petite lampe berger au coin du mur, était assez modelé pour éclairer toute sa chambre.
Il se réveilla brusquement, tapant sur le petit interrupteur d'horloge pour arrêter l'alarme.

— drôle de nuit ! S'exclama t-il tel qu'il apparaissait sous un sombre regard de ses yeux fatigués et son visage grisé par l'horreur du sommeil.

Il se leva de son lit, frotta un peu les sourcils et se dirigea tout de suite vers la douche, il brossa ses dents blanches comme les bancs de neige et ensuite, il s'est retourné en se dirigeant vers le garde-manger où il s'est mis à commencer la cuisson.

Après avoir terminé de faire quelques biscuits et sablés de Noël, il lui fait chauffer une bonne tasse de café pour chasser la fatigue, puis, il se mettait tout de suite à table et commença à déguster son petit déjeuner calmement sous le froid.

Dans une espace de temps, bling-bling ! quelqu'un qui sonne à la porte.
Ce n'était pas la première fois que cela arrivait en pleine heures de travail, sa grand-mère lui venait souvent apporter des pastèques même quand elle connaissait bien l'horaire du grand travailleur. Il cru que c'était sa grand-mère, cependant, la surprise était bien incarcérée sous le toit de sa maison.

— Oui, j'arrive ! Cria t-il en abandonnant vite son repas sur la table.
Il marcha vers la porte sans avoir fait le moindre soucis, parce qu'à ce moment-là, il n'était pas encore assis sur sa machine à coudre cependant, il réfléchissait à tout les travaux qu'il devait rendre ce jour-là.

— Bonjour ! Lança une jeune femme qui tremblait sous le froid du dehors.

Il était vivement étonné de voir une jeune femme inconnue qui venait sonner à la porte de si bonne heure, elle avait l'air chiante comme une plume de pan mais bien décidée.

— eu hm.. Bonjour madame ! Répondit t-il d'une voix tremblante. Ce visage lui avait surpris, ce n'était pas un livreur de toiles ou de quelque chose d'autre, mais, une fille avec des yeux etincellants.

— je suis nouvelle dans la région et je pense avoir perdu le bon chemin, cela fait des jours que cherche un refuge, mais je me sens un peu fatiguée d'errer dans toute la ville en suivant le chemin alors je suis tombée sur votre maison. Je ne sais pas si cela vous dérangerait si vous m'aider à trouver un endroit pour me faire changer et chauffée un peu ?? J'ai tellement froid ! À déclarée la jeune femme couvrit de son étoffe.

Il regardait calmement la femme au blanc des yeux et subitement, son cœur commençait à palpiter. Il n'était pas caractérisé par la peur, mais quelque chose d'extraordinaire lui marquait les idées. Il essaie d'éviter toutes reproche et haussa les épaules.
Le jeune Marcelin ne fuyait pas sa stupeur, mais, il avait compris que de cultivé de l’hospitalité était bien une de ses rôles.
— allez-y,rentre ! Ordonne t-il au jeune fille étrangère. Il n'avait pas l'habitude d'accueillir chez lui des gens étrangers qu'il n'avait jamais vu nulle part, mais ce visage lui avait dit quelque chose et s'est rappelé qu'à Noël, il faut avoir du bon cœur pour aider les autres, même d'ailleurs, il avait toujours l'habitude de faire d'aider les autres mais, pour laisser entré un étranger sans avoir de qui il s'agit vraiment, ce n'était pas son habitude.

— oh merci beaucoup ! Dieu vous bénisse. Avait répondue la femme au visage juvénile, couvrit d'une étoffe de peau d'animaux de la forêt qui lui chauffait contre le froid.

Il ferma doucement la porte et questionna à la jeune femme qui enleva rapidement son étoffe :

—— que désiriez vous ? Interroge t-il à la femme qui tremblait de froid.
Elle avait lancée un sourire qui pouvait définir sa gratitude, son cœur avait peut-être trouvé la chose la plus importante pour elle.
Entre-temps, la ville était blanchit et les rues étaient occupées par les gens qui étaient enveloppés avec leurs pantoufles sous la clarté pâle du soleil.

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