vérité avouer à moitié pardonné suite
Ice
Une fois séchés nous allons dans sa chambre pour un deuxième round où cette fois-ci, j'y met toute la passion qui m'habite, je vois qu’elle la ressent aussi.
J'ai juste l'impression de rêver, de survoler la terre, de plus toucher le sol tellement je suis bien avec elle dans mes bras.
À tel point que tout me semble naturel avec elle, comme si nous nous connaissons depuis longtemps. L’impression que l'on connaît le corps de l'autre par cœur, qu'il n'y a pas secret pour nous d'eux. Quand je la tire par les hanches au plus près de moi et lui lèche le sexe déjà bien humide, je la dévore même après ses cris de jouissance jusqu'au bout je la torture. Cette fois-ci j'enfile un préservatif, elle a la gentillesse de m'aider à l’enfiler avec ses doigts graciles. Un vrai plaisir des sens, aussi légers qu'une plume, je me sens transporté même comme ça avec elle.
C'est décidé elle à moi. Je m'installe entre ses cuisses, trop excité je rentre dans le tas sans chipoter et la pilonne comme un malade tout en jouant avec ses magnifique seins et sa peau douce, parfumée de miel. Un vrai délice cette femme, un fantasme et celui-là il est à moi.
- Mon bébé tu es à moi.
- Mmff.
- Tu es moi maintenant mon cœur.
- Non.
Je lui claque le côté de la fesse en donnant un grand coup de rein :
- À qui tu es ?
- À, à toi.
- Bien… Comme moi je suis à toi mon cœur.
- Ouiii… à moi, oh oui va s’y bordel je suis pas en sucre.
- À tes ordres mon amour.
Je me fais pas prier et commence à augmenter la cadence, allant jusqu'à la garde. Je la vois en extase la tête renversée en arrière et lui intime l'ordre de me regarder ; j'adore voir ses yeux quand elle prend du plaisir comme sous la douche.
- Regarde moi mon trésor.
Je sens une légère douleur envahir mes reins, signe que l'orgasme est pas loin. Soudain elle reste extatique et gémit, sa voix rauque remplie de jouissance déclenche le mien d'une puissance phénoménale. J'éjacule douloureusement, un cri silencieux sort de mes lèvres, les yeux fermés, noyé dans l'euphorie qu'il me procure.
Essoufflés et enlacés l'un à l'autre, nous reprenons notre souffle heureux et repus. Tout en caressant sa cuisse par de petits cercles encore entre ses cuisses, mon sexe en elle, je finis par ouvrir la bouche :
- Noémie j'ai appelé mon Président.
Elle se raidit immédiatement, je le sent car ses parois vaginales se contractent sur ma verge encore prise dans le préservatif. Elle reste silencieuse en attentant la suite que je m'empresse de dire pour la rassurer.
- Beurk et Gun lui en on déjà touché un mot. Ne t'inquiète pas, s’il vient c'est pour t'aider et connaître le fin mot de cette histoire. Et n'oublie pas, ce soir nous fêtons Noël dis-je en souriant pour la détendre, cela fonctionne car son vagin me relâche instantanément.
- J'ai peur Ice me dit-elle avec de l'appréhension dans la voix.
Je me retire de son antre chaud et sourit comme un idiot en l'entendant gémir, me relève après lui avoir déposé un baiser sur ses magnifique lèvres et lui dit :
- Allons nous préparer avant qu'il arrive et hum... Tu nous expliqueras pour toutes tes cicatrices Noé’ en le lui montrant du doigt l'ensemble de son corps.
- Je sais pas si je pourrais aller jusque là Ice, ça va me faire revivre de mauvais souvenirs.
Je m'approche et la prends dans mes bras, la câline et lui promets que tout se passera bien. Il faut se préparer, ce qu'on fait à contrecœur une fois notre moment de douceur fini.
- Tu as de la chance que mon Président vienne, je t'aurais fait l'amour toute la journée dis-je d'une voix suave et un sourire charmeur, qui fait généralement craquer les filles.
Une fois habillés, nous descendons au salon et entendons quelqu'un frapper à la porte. D'un accord tacite avec Noémie, je crie à Aaron (mon Prés’) :
- Entre !
Aaron entre, me fait une accolade et fait de même à Noémie. Il lui explique qu'étant la petite de Rosie, elle fait partie de la famille tout autant que sa grand-mère, ce qui la fait rosir de plaisir.
Une fois les embrassades faites, il s'installe en face de nous pendant de Noémie va la chercher dans la cuisine une bouteille de whisky et trois verres pour ce qui va suivre. J'étais stressé et Aaron me connaissant me rassure :
- T'inquiète mon frère, on l'aidera quoi qu'il arrive, je vois bien que tu tiens à elle.
J'acquiesce en expirant de soulagement et la vois revenir le visage fermé. Alors, sans attendre je me dirige vers elle pour la prendre dans mes bras pour la détendre. Elle se love dans mes bras, les siens sont collés à ma taille.
- Bon les enfants, vous êtes mignon mais le temps presse nous dit Aaron.
Elle et moi, on s’installe sur le canapé en face de mon Prés’, Noémie nous sert et boit son verre cul sec sous nos yeux, avant de se resservir. Elle prend cette fois une gorgée avant de commencer le récit de ce qu'elle m'a déjà dit, qui encore une fois, me met les nerfs à fleur de peau.
Noémie ne lui cache rien et répond à toutes ses questions sans hésiter. On voit qu'elle ne cherche pas à mentir car ses réponses fusent aussi vite qu’Aaron pose les questions.
À la fin, Noémie a l'air épuisée mais on en a pas encore fini, oh non. À bout de nerf, il me faut encore beaucoup de courage et de remise en question pour lui poser la question qui me brûle les lèvres. Depuis que j'ai vu toutes ses cicatrices sur son corps magnifique ce qui me rend fou de rage. Je sens son regard plein d'angoisse et de peur qui la ronge. Je le sais, me tourne vers elle et fixe mon attention sur elle ; plongeant mon regard dans le sien en lui prenant les mains. Je les serre assez fort pour lui donner un peu de ma force et mon courage.
- Ma puce, je veux savoir d'où viennent toutes tes cicatrices sur ton corps car elles sont extrêmement fines ?
Je la vois déglutir et fermer les yeux. Une larme coule sur sa joue nacrée, elle renifle et se lance en évitant notre regard à Aaron et moi :
- Comme... comme je me refusais à ses hommes, il m’a puni à l'aide d'une cravache finit-elle dans un murmure gêné.
- Putain ! crions-nous en cœur Aaron et moi, énervé pour ma part.
- Merci de me faire confiance alors que nous nous voyons pour la première fois et pour tout ce que tu viens d'avouer.
- Ice et ma grand-mère te connaissent et te font confiance.
- Je te remercie et tout ce que tu nous as révélé restera entre nous.
Noémie soulagée, soupire la main sur le cœur :
- Oh merci merci.
Aaron sourit devant cette douce et magnifique femme et dit pour alléger l'atmosphère :
- Nous faisons une fête ce soir. J'espère te compter parmi les invités, ta grand-mère vient tous les ans.
Elle sourit et acquiesce. Ses yeux pétillent de larmes, l'air soulagée et détendue maintenant. Par instinct, je la prends d'en mes bras et elle s’y love la tête dans mon cou tout en respirant mon parfum et soupirant de bien être.
- À ce soir les amoureux dit Aaron en quittant la maison et nous faisant un signe de la main.
Une fois Aaron parti je demande, inquiet :
- Ça va ma puce ?
- Maintenant oui.
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Corriger par Marie Laure 🍂
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