La rumeur circule le château comme la constance, refroidissement par infiltration. Il disent que le prince est resté pur. Qu'il ne prendra une femme qu'une fois marié.

Nous avons fêté nos dix huit ans tout les deux la semaine qui précédait celle ou Sir Douglas m'avait emmené à la chambre du prince. Il a l'age. Il se mariera bientôt. 

Il n'a clairement pas voulu attendre qu'une fois marié.

J'ai accueilli le jour nuageux dans un brouillard, de retour à mon propre lit. Je me suis sentie moins malade le matin mais je ne suis pas moins égarée.

Sur les pintes dans la maison de bière qui crépuscule, et dans les petit coins humides de nos quartiers, les hommes évidemment le proclament imprudent pour le prince d'entrer dans un mariage innocent. Il faut qu'il reconnaisse le touché d'une femme, disent ils, Il devrait l'achever et le faire avec.

Les femmes le trouvent romantique. Il faut qu'il attende, disent elles, il faut qu'il apprenne comment devenir un homme avec la femme qui le rendra ainsi.

Nous discutons à propos de cela parce nous nous soucions, vous voyez. Et parce que nos vies sont si minuscules.

 Nous discutons à propos de cela parce que, quelque soit la manière, nous avons tous ce sentiment qu'il nous appartient.

 Tout au long de tout, je garde mes lèvres fermes tout en regardant ma bière.

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Ça fait moins mal la deuxième nuit qu'il me prend, mais le prince ne regarde toujours pas mon visage.

Savait il au moins que c'était moi qu'il réclame?

Je ne prête pas attention à mes bras serrés si solidement à la tête du lit, ou même du majordome qui se retrouve avec nous dans la chambre durant l'acte le plus intime de la vie, même avec son regard évité. Mais je ne me plains pas, par peur de me faire frapper, ou pire.

Ils n'ont pas eu besoin de me retenir, je n'allais pas me battre de toute façon. Je devrai me battre, bien sur. Ou supplier le prince de ne pas me ruiner de cette façon. Mais je ne peux plus haïr le sentiment de mon ami -mon futur souverain- sur moi, je pourrais lui mettre un couteau dans sa gorge.

Au lieu de cela, je regarde son visage alors qu'il monte sur moi: ses yeux sont fermés fortement, sa bouche est fermée, dessinant une ligne droite qui ne représente que de la misère.

En cette deuxième nuit, il avait placé une main intentionnellement sur ma hanche pour faciliter les vas et viens. Déterminé à faire fonctionner son corps dans le mien.

Une poussée à la fois. Profondément, profondément.

Sa main est assez large pour entourer la moitié de ma hanche, sa paume est chaude et douce, ses doigts tremblaient. C'était la première fois que je sentait son touché durant toute ma vie, il fait exactement ce dont j'ai toujours rêvé qu'il fasse, mais ça ne ressemble à rien que ce qu'il y a dans mon rêve.

Il s'arrête une fois qu'il est complètement assis à l'intérieur, regardant en bas dans les ténèbres ou il était assis, entre mes jambes écartées. Il se regardait en moi, la bouche séparée. 

À l'intérieur, il se crispait, ça devient plus épais

Puis après il ferma ses yeux et trouva son moment de plaisir quelques secondes plus tard.

C'est quoi mon nom? Avais je envie de demander.

Mais je ne le fais pas. Je continue de regarder son visage tandis que le plaisir scintille à travers le relief dans son front, un tremblement traversa sa mâchoire, une exaltation de rafales profondes - et alors la réalisation s'installa et il glisse de moi, roulant sur son dos.

Avec une vague de sa main, il me transporta ailleurs.

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Cucuuu :)

Vous avez aimé le chapitre? Comme je vous l'avais dis avant, au fur et à mesure que l'histoire avance, les chapitres précédents seront plus compréhensibles ;)

Tout petit conseil: Lisez en écoutant Give me love - Ed Sheeran <3 c'est le paradis ^.^

Je pense poster la suite une fois le 5eme chapitre de Beg posté, pour tenir l'équilibre de ces deux fictions :)

A très bientôt mes amouuurs

xx