Chapitre 9 : Bye club de Volley-Ball

Il est 12H15 quand nous décidons d'aller manger, nous n'avons pas arrêter d'enchainer les matchs. Nous en avions perdu la moities et gagner l'autre moities. Je m'assoie un peu à l'écart du groupe, mes pensées se dirige automatiquement vers mon grand frère, tellement de questions tambourine dans mon crâne mais je n'ai aucune réponse à leur apporter. Je prend mon téléphone et défile toute les photos que j'ai de lui, ou de nous deux. Je glisse vers son contact et l'appelle. Au fond de moi j'espère qu'il va me répondre mais je tombe sur sa messagerie. Des larmes coulent sur mes joues, mais je n'y prête pas attention et je recommence. Je fais ça durant deux bonnes minutes. Je pars annoncer à mes amis que j'allais partir courir quand Saori m'attrape le poignet et commence à me prendre la tête.

" Non, mais tu croyais que tu avais le droit de me parler comme tu la fais hier sens que je dise quelque chose ? Tu m'as manquer de respect devant tout mes amis, tu n'espère quand même pas que je ne vais pas te le faire payé ? J'en suis sur que tu es complice avec ton frère. Je suis sur que tout ça c'est du bluff. Tu voulais juste attirer l'attention de Nishi, mais c'est dommage pour toi, il n'ai pas tomber dans le panneau. "

Je reste bouche bée devant ce qu'elle vient de dire. Je serre les points pour ne pas lui en mettre un dans la mâchoire j'allais partir quand elle attrape mon poignet et qu'elle me plaque violemment contre le mur. J'échappe un cri de surprise et de douleur. Plusieurs tête se retourne vers nous.

" Tu te sens tellement inférieure à moi, que tu as simule le suicide de ton grand frère. Tu voulais tellement que Nishi te voit, et redeviennent proche de toi, que tu es prête à mentir sur des choses aussi grave. Tu me dégoute. "

Plus elle parler, plus elle hausser le ton, mais malheureusement pas assez fort pour que les garçons nous entende. Elle resserre une nouvelle fois son emprise sur mon poignet. Elle plante son regard dans le mien et elle continue, mais elle dit une phrase qui fait déborder l'eau du vase.

" Puis même si c'est vrai, c'est tout simplement ce que tu mérite. "

Je la repousse, j'allais la gifflé quand les garçons se mettent entre nous. Daichi m'attrape les bras et Tanaka attrape Saori. Je me débat de toute mes forces, tout en hurlant à Saori que cette fois elle était aller beaucoup trop loin et qu'elle ne pouvait pas se cacher dernier un mensonge. Au même moment Kageyama, Hinata et Nishinoya sortent du gymnase, il passe de moi à Saori et de Saori à moi. Évidement Nishinoya prend place au cotes de sa petite amie, ce qui m'énerve encore plus, mais je ne lui laisse pas ouvre la bouche.

" Tu m'as parler de respect mais tu es toi même irrespectueuse en vers moi ! "

Elle me lance un sourire provocateur, mon fort intérieur sait qu'il ne faut pas que je réagisse mais sens réellement réfléchir je fonce tête baisser dans son piège. Au moment où j'allais lui dire ma façon de pensé elle me dit.

" Pourquoi tu me hais ? Dit-elle les larmes au yeux. "

Nishinoya la prend dans ses bras et me lance un regard d'avertissement, mais je n'y prête aucune attention et je laisse toute ma colère et ma peine prendre le contrôle de mon corps. Je me plante face à elle, Daichi essaye de me retenir mais je ne lui laisse pas le temps.

" Et toi ? Pourquoi as tu si peur de moi ? Pourquoi tu sens tu en danger quand je suis ici avec mes amis ? Pourquoi fais-tu la fille si pure ? Pourquoi veux tu m'éloigner de Nishinoya ? Pourquoi cherches-tu à m'éloigner de mes amis ? Cela ne te suffis pas de m'avoir pris Noyo ? Tu veux aussi Kageyama, Tanak, Hinata ? Je te fais si peur que ça ? Tu es autant jalouse ? C'est pitoyable...    Dis-je "

Malheureusement, c'est après avoir fini ma phrase que je me rend compte de la porte que je lui ai laissé ouverte, son sourire s'agrandit puis elle s'effondre dans les bras de son petit ami.

" J'ai peur de toi depuis que tu m'as giflé à l'hôtel. Je voulais pas en parler car je ne voulais pas te crée plus de problème mais la tu commence à me faire de plus en plus peur. Tu n'arrête pas de dire que je t'ai volé ta place, que je devrais même pas être la, que je ne mérite pas d'être avce toute ces sublimes personne."

Tout les regards se tourne vers moi, si mes yeux étaient des mitraillette elle serait déjà troué de balle. Quoi que je dise Nishinoya la croira elle. Je n'ai même pas le temps d'essayé de me défendre que Nishinoya prend place face à moi et me dit.

" Aya, tu me déçois de plus en plus qu'est ce qu'elle ta fait pour que tu la haïsse comme ça ? Je crois qu'il est tant que notre capitaine face son choix,ce n'est plus possible. Tu as bien vue ? Aya ne supporte pas Saori, elle lui fait vivre un enfer et en plus elle a lev la mains sur elle . Soit Aya quitte définitivement l'équipe soit c'est moi. Mais si c'est moi, je ne reviendrais pas !"

Il se tourne vers Daichi, celui-ci me lance un regard désolé. Je comprend très vite ce que signifie ce regard. Je sens les larmes me montaient au yeux, mais je ne veux pas craqué devant eux. Je ne veux pas lui faire se plaisir. Je prend mes affaires et par sens laisser le temps à Daichi de donner son choix. Je pars sens même regarder dernier moi. Mais je m'arrête 100 mètres plus loin et leur dis.

" Nishinoya, le jour où tu comprendra ton erreur il sera peut-être trop tard. J'espère sincèrement que vous gagnerais votre match contre Oikawa. Sache que quoi qu'il se passe je suis fiere de vous. Daichi, je ne t'en veux absolement pas, je comprend ton choix, tu préfre perdre un aide-coach qu'un joueur. Sâche que je suis la si tu as besoin. Nishinoya, je crois que nous nous somme tout dis, je n'ai rien d'autre a te dire sauf de te méfier des apparences et de prendre soin de toi. Sugamara prend soins de tout le monde. Je compte sur toi pour vieller sur eux et ne pas qu'ils fassent trop de bêtise. 

- Daichi tu ne peux pas faire ça Crie Kageyama

- Arrête Kageyama, c'est mieux comme ça et tu le sais. Dis-je. Ne lui en veux pas il a prit le meilleur choix qui s'offre à lui. Entre perdre le meilleur libéro ou une aide coach, il y a pas de doute à avoir, j'aurais fais le même choix. "

Kageyama allait répliquer mais je me tourne vers lui et quand il voit mes yeux il s'arrête net. Puis je pars. Au même moment les équipes de Nekoma et celle de Fukurôdani sortent du gymnase, ils passent de moi au reste de l'équipe sens comprendre. Daichi s'excuse et leur dis qu'ils vont rentré. Ils repartent en direction du mini-bus. Ils sont plutôt étonner de me voir devant, mais ils ne disent rien. Nous montons dedans, je me mets loin de tout les joueurs de l'équipe. Le trajet se fais d'un un silence presque effrayant. Aucun de nous ne veux prononcer un seul mot. Quand nous arrivons enfin au lycée, je suis la première à descendre. Je les vois tous partir vers le gymnase, j'hésite à les suivre mais je me rappelle que je ne suis plus la bien venu. Alors je pars chez moi, au plus personne ne m'attend. Quand j'arrive enfin devant chez moi, je reste devant la porte 5 bonnes minutes. Je prend plusieurs inspirations avant de rentré. Le parfum de Nao flotte encore dans l'air. Je me dirige instinctivement dans la chambre de mon grand frère, je fouille dans son tiroir et j'en sors son doudou et son pull qu'il porter tout le temps. Je l'enfile et m'effondre dans son lit. Je plonge ma tête dans l'oreiller qui sens encore le parfum de Nao. Je pleure sens pouvoir m'arrêter, je serre le plus fort possible son doudou contre mon coeur et je m'enroule dans sa couette pour me sentir proche de lui. Je me réveille en sueur dans le lit de mon frère, je tourne ma tête vers le réveil il n'est seulement que trois heures du matin. Je sors mon téléphone, et met mon réveil pour aller en cours demain. Je me lève et pars dans ma chambre. Quand mon réveil sonne pour que je parte en cours, tout me reviens en tête, je n'ai plus de club, plus de grand frère, plus de famille. Je suis seule... Je traine des pieds vers la salle de bain, je me débarbouille puis pars dans la chambre de mon frère et lui prend un pull, et j'enfile un simple collant noir. Quand je passe dans la cuisine je me rappel que demain, c'est mon rendez-vous à l'hôpital, pour enlever mes points de suture. Au même moment, je reçois un message de l'infirmière qui s'occupe de moi.   

Yoko à Aya :

N'oublie pas notre rendez-vous de demain.

Je lui répond en la remercier de me l'avoir rappeler. Je sors de chez moi puis je me dirige vers le lycée. Quand j'arrive, plusieurs personne me regarde et plusieurs chuchotement se font entendre mais je l'ai ignore et continu ma route. Quand je rentre dans ma salle de classe je suis étonner d'y voir déjà Ryu. Je l'évite et m'assoie le plus loin possible de lui. La sonnerie se fait entendre, tous rentre le professeur commence son cours quand le directeur entre.

" Désolé de vous dérangez, Aya Ota pouvez-vous me suivre dans mon bureau. "

Tout le monde me fixe, je prend mes affaires et le suis sens prêter aucun regard à Ryu. Nous marchons dans le silence jusqu'à son bureau. Il me dit de m'assoir. Nous nous regardons dans les yeux, il pose ses mains sur son bureau.

" Mademoiselle Ota, vous savez si vous voulez rester un peu chez vous c'est possible. Prenez le temps qu'il vous faut. Perdre quelqu'un de sa famille est douloureux, mais cela est encore pire quand c'est lui qui fais ce choix. "

Je baisse la tête vers mes chaussures, avant de répondre au directeur.

" rester chez moi ? Pour faire quoi ? Me rappeler sans cesse que mon frère c'est donner la mort car il n'arriver plus à vivre avec le fait qu'il est mit des photos de moi en sous-vêtement dans mon ancien lycée ?  Juste car il n'aimè pas mon petit ami ? Me rappeler que j'ai détester quelqu'un qui n'avait rien fais. Me rappeler que j'ai insulter, hais et souhaite le pire à une personne qui m'aimer vraiment. Me rappeler sans cesse que je suis sensé le haire et pas lui trouver des excuse ? Rester chez moi, pour me rappeler que je suis seule, que je n'ai plus personnes. Que tout le monde disparait de ma vie. Hurlais-je "

Le directeur se dirige vers moi, il pose une mains sur mon épaule avant de me dire qu'il y a un psychologue dans l'enceinte du lycée si j'en ressent le besoin. Je lève mon regard vers celui-ci du proviseur.

" Si vous voulez je peux lui demander quand il est libre pour te recevoir. Continu-t-il "

Je hoche la tête, il me libère et me dis que je peux retourner dans ma salle de cours. Je reste devant la porte, j'essaye de trouver mon courage avant de frapper, je prend plusieurs inspirations avant de frapper, le professeur ouvre la porte, quand il me voit il me dit de m'installer sens faire de bruit. Je m'exécute, je sors mes affaires et j'écoute tout le reste du cours. La mâtiné passe très vite. Je prend mon bento et sors de la salle. Je pars en direction du toit, mais je fais vite demi tours quand je vois l'équipe de volley. Mon coeur se serre quand je l'ai vois rire avec Saori comme si je n'avais jamais exister. Je sors du bâtiment et par manger dernier le gymnase, je m'assois sur un petit murer. Quand j'ouvre mon bento, l'odeur de la nourriture me donne des haut le coeur. Je balance la nourriture dans la poubelle, et je me rassois sur le muret. Je sors mon téléphone et j'envoie un message à Nao.

Aya à Nao :

Bordel, qu'est ce que c'est dur sens toi, reviens moi ! Je te pardonne, je te pardonne tout ! Je veux juste te revoir, revoir tes yeux vert brillant de vie, revoir ton sourire si doux et apaisant. Je veux sentir tes bras autour de ma taille quand j'étais triste, te revoir rire avec Bokuto et Akaashi. Je veux venir te chercher à ton lycée. Je veux te voir te battre et perdre encore et encore contre Akaashi, je veux revoir tes yeux pétillant d'amour pour Bokuto. Je veux avoir la chance de vous voir heureux ensemble. Reviens moi ! J'ai besoin de toi, je suis seule, je n'ai plus personne, plus aucune famille. Je tombe dans le trou sens fond des ténèbres.

J'appuie sur envoyé comme si il allait me répondre, mais je sais pertinemment que je n'aurais aucune réponse. Je regard l'écran de mon téléphone, tout en espérant que tout cela ne soit qu'un affreux cauchemars et que quand je vais me réveiller, il y aura toujours mon grand frère, Nishi ne sera pas avec Saori, je ferais toujours parti du club de Volley. C'est Oikawa qui à mis ses photo de moi dans tout le lycée, mais la sonnerie me prouve que je suis bel et bien réveiller et que tout ça est la triste réalité. L'après midi passe encore plus lentement que la mâtiné. Quand la cloche sonne enfin, je me précipite dehors. Quand je passe devant le gymnase j'entends des voix familière se disputer, mais je ne m'arrête pas. Je continue ma route, jusqu'au moment où j'entends mon prénom.

" Aya était très importante dans l'équipe... Depuis qu'elle n'est plus là rien n'est comme avant. Hinata, Kageyama et même Sugawara ne sont plus comme avant. Coach ! Je ne sais pas quoi faire j'ai essayer de parler avec Noya mais il ne veut rien entendre. Il veut qu'Aya s'excuse auprès de Saori, et nous savons tous qu'elle ne le fera pas. "

Je n'ai pas le temps d'entendre la réponse du coach, car je vois Nishinoya arriver alors je reprend ma route avant qu'il me voit.

Point de vue Nishinoya :  

Quand j'arrive près des vestiaires et que je vois l'air triste sur le visage d'Aya, je sens mon coeur se serrer dans ma poitrine. Je me sens quand même coupable. Elle était déjà très mal et moi j'en ai rajouter. C'est vrai qu'elle n'ai pas super gentille avec Saori mais ce n'est pas une raison pour avoir dis ce que je dis. Je prend mon téléphone et envoie un texto à Aya

Fin de point de vue

Quand j'arrive chez moi je sens mon téléphone vibré. Je le sors de ma poche, j'espère avoir une réponse de Nao mais je savais pertinemment que ce n'étais pas possible. Mais une voix me disait qu'il y avait peut-être un peu d'espoir. Quand je vois le nom qui est afficher mon coeur arrête de battre. J'appuie d'une main tremblante sur la notification.

Noya à Aya :

Aya... Je voulais m'excuser et savoir si tu accepterais qu'on discute toi, moi et Saori. Tu n'es pas obliger de me répondre tout de suite.

Je reste bouche bée devant son message, une boule de chaleur s'installe dans le cru de mon ventre, je lui tape une réponse affirmative. Sa réponse ne se fais pas attendre.

Noya à Aya :

Tu es libre là ?

Aya à Noya :

Oui, on se dit dans 5 minutes devant le lycée.

Je sors de ma maison et marche en direction du lycée. Quand j'arrive, je vois déjà Noya et Saori, mon coeur s'emballe quand Noya s'approche de moi. Nous nous installons autour d'une table. Je ne lâche pas Noya du regard, ce qui ne passe pas inaperçus. Saori me lance un regard noir, mais je m'en moque.

" Je voulais m'excuse au près de toi, car je sais cas cause de moi tu dois te sentir encore plus seule et je ne voulais vraiment pas ça ! Tu compte beaucoup pour moi, et ne plus rigoler comme on le faisait avant me manque on ne vas pas se mentir. Tu compte beaucoup pour moi. Dit-il "

Saori ouvre grand les yeux quand il prononce ses mots, elle se lève et commence à crier.

" Pourquoi tu t'excuse ? C'est elle qui à gâcher votre relation... En tombant amoureuse de toi ! "

Quand elle prononce ces mots mon coeur s'arrête, j'entends toujours sa voix mais je ne comprend plus aucun mot depuis qu'elle a prononce les dernier mots.

" Si j'ai inventé tous ce qu'elle ma fait c'est tout simplement parce que je savais qu'elle t'aimait et je savais qu'elle aurait essayé de détruire notre couple. Dit-elle. J'ai fais ça pour nous.

- Attend tu es entrain de dire qu'elle ne ta jamais rien fais ? Que depuis le début te me mens ? Juste parce que tu savais qu'elle m'aimait ? "

Je reprend peu à peu mes esprit, Nishinoya me lance un regard d'excuse Saori aller dire quelque chose mais elle s'arrête quand elle voit le regard que lui lance Nishinoya.

" Tu n'as pas intérêt à me mentir, si tu ouvre la bouche c'est pour me dire la vérité et tout m'expliquer. Si j'apprends que tu m'as encore menti ça va mal se passer.

- C'est vrai j'ai mentis. Aya ne ma jamais rien fais, c'est même plutôt le contraire. "

Je ne m'attendais pas qu'elle avouerait aussi facilement. Elle lui raconte tout sens oublié aucun détail. Nishinoya l'écoute mais il ne la coupe jamais. A la fin de son récit, il lui demande de ne plus jamais l'approcher, ni même moi ou encore un joueur du club de volley. Saori s'en fuit les larmes aux yeux. Noya se tourne vers moi, je sens les larmes me montaient au yeux, elle lui a tout dit, mais alors pourquoi je me sens si mal ? Pourquoi mon coeur me fait souffrir ?

" Aya... Je suis tellement désolé, j'aurais du te croire des le début. Pardonne moi. "

A ces mots, mon cerveaux craque.

" Te pardonnais ? Qu'est ce que vous avez à tous me demander ça ? Vous me blessez et après c'est à moi de vous pardonnez, c'est à moi de passer au dessus de tout cette douleur. Mais est ce que vous pensez à ce que moi je vis ? A ce que moi j'ai du endurer ? Non, vous en prenez conscient cas prêt que le mal soit fais. "

Je crie tellement que tout les joueurs de l'équipes sortent du gymnase, quand il me voit avec Nishinoya, Sugawara comprend ce qui se passe. Tous s'approche, mais je n'y prête pas du tout attention, mon regard et scotcher sur Nishinoya. Je lui dis tout ce que mon coeur ressens depuis maintenant un certain bout de temps. Je lui dis vraiment tout.

" C'est facile pour vous, vous avez juste à faire une connerie et a attendre que la personne d'en face vous pardonne. Mais c'est pas si simple. Est ce que tu sais comme ça ma fait mal ce que tu m'as dit ? Est ce que tu sais combien de larmes j'ai versé ? Est ce que tu sais à quel point mon coeur me fais mal ? Putain, je t'aimais et je t'aime encore mais tu m'as fais tellement de mal, tu m'as fais du mal alors que j'avais besoin de toi, de vous. Mais vous m'avez tous abandonner. Que se soit toi, Nao, L'équipe. Vous comptez plus que tout et vous m'avez abandonnez vous deux en même temps. Un à rejoint les étoiles, l'autre m'a oublié pour une autre. Je vous aimez, je t'aimais. Mais plus rien ne sera comme avant. Vous m'avez abandonnez, quand j'avais le plus besoin de soutiens et d'amour. Vous avez choisis de partir sens vous soucier de ce que moi j'allais ressentir ni comment je gérerais tout ça. Vous m'avez fais du mal et aprés, vous me demandez de tout effacez sens vous souciez de comment moi je me sens, de comment moi je suis ! Vous ne vous souciez même pas de savoir si je suis capable de surmonter tout ça. Vous partez et vous ne revenez jamais. Pas vrai Nao... Tu es partis et jamais, plus jamais tu reviendra me voir et me dire que tu vas bien se passer.  "

Je dis cette phrase à voix basse, des larmes coulent sur mes joues mais je m'en moque. Je reste fixé sur Nishinoya. Des larmes coulent sur ses joues mais je m'en moque, je veux qu'il comprenne le mal qui m'a fait, je veux qu'il ressente ce que j'ai ressentis. Je sais que je n'ai pas dis tout ça que pour lui mais aussi pour Nao.

" Je vais y allé dis-je "

Aucun des garçons ne bougent, je rentre chez moi le coeur plus léger. Quand j'arrive chez moi, je pars directement dans ma chambre et je m'endors tout en pensant à des moment joyeux avec Nao.

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