Chapitre 63


Cassiopée était au chaud, dormant dans les bras d'Alex, qui finit par la réveiller en douceur :

- Wilson, dégage, ils servent à manger.

Encore somnolente, Cassiopée ne prit même pas la peine d'ouvrir les yeux malgré la lumière allumée dans l'habitacle.

- Débrouille-toi, grommela-t-elle.

Elle sentit qu'on la poussait jusqu'à retrouver une position assise. Une voix féminine lui parlait, mais cela paraissait si éloigné qu'elle ne prit pas la peine de répondre, préférant rester emmitouflée dans sa couverture et dans ses rêves.

- Wilson, tu veux manger ?

- Fous moi la paix O'Connor, l'intima-t-elle, à moitié endormie.

Elle entendit le blondinet parler avec cette femme, puis le bruit de quelque chose que l'on pose sur une table et l'odeur de réchauffé qui allait avec. Cassiopée se retourna en ouvrant enfin un œil. Il se tenait devant son plateau, sur le point d'ouvrir le sachet contenant les couverts. Cassiopée le détailla et vit l'espace entre lui et la tablette, c'était suffisamment large pour qu'elle passe en se mettant de côté. Et c'est ce qu'elle fit, elle attrapa le petit oreiller fourni dans l'avion, le plaça contre le hublot et s'allongea sur les jambes du pigeon affamé, ses propres jambes repliées sur son siège. C'était très confortable, idéal pour retrouver Morphée.

- Euh...

Alex se racla la gorge, gêné.

- Cassiopée, tu sais que d'un point de vue extérieur, ta position, sur moi, peut prêter à confusion ?

- Mange, marmonna-t-elle entre ses cheveux et la couverture.

- Si je le fais, tout va tomber sur toi. Tu vas avoir des miettes, de la sauce et tout parce que bon c'est pas très pratique de manger quand on a quelqu'un sur ses cuisses, déblatera-t-il.

- Roh, laisse moi dormir et va te plaindre ailleurs.

- Si je vais ailleurs pour me plaindre, argumenta-t-il d'une petite voix, il va falloir que tu te déplaces parce que –

- Alex ! Fous moi la paix et mange ton stupide plateau.

- Très bien... hum, bonne nuit Cassiopée.

Il n'eut qu'un grognement de sa part. Pourquoi l'avait-il encore agacé alors qu'elle était bien là et n'avait rien demandé ? Elle ne put même pas réfléchir à la question qu'elle sombra rapidement dans un sommeil apaisé pendant que son wagen dégustait son plateau repas.

Au bout d'un certain temps, la lumière de l'habitacle, bien que doux, suffit à réveiller Cassiopée et Alex une seconde fois. Ce dernier, toujours en position assise, avait la main posée sur le bras de sa wagen, qui se plaignait de la luminosité. Tout le monde se reveilla et même les enfants se remirent à pleurer. C'était certain, elle ne pouvait plus se rendormir, alors elle se rassit sur son siège, encore mal lunée.

C'est Alex qui lui rappela de remettre sa ceinture, étant sur le point d'atterrir. Le ciel gris lui faisait penser à celui de Londres, où elle habitait à l'année avec sa mère. Elle repensa à son vol aller pour rejoindre son père à Yaoundé. Qui aurait pu imaginer qu'il allait lui arriver autant de choses en si peu de temps ?

Certainement pas elle... Ses brûlures sur le bras lui faisaient encore mal. La douleur fut comme un rappel de ce qu'elle était capable, de ce qu'elle avait fait sans aucun remords : tous ces morts... et puis elle repensa à ce qu'elle avait découvert grâce à Alex et leur... « baiser ». Pour elle, ce n'en était pas un vrai, c'était juste pour voir, pas de sentiment, purement technique.

- Tu comptes rester ici Wilson ? Debout.

Alex l'avait ramené sur Terre, tout comme le pilote d'Ethiopian Airlines. Ils sortirent les derniers, non sans oublier leurs sacs à dos. Une fois dans le hall de Roissy Charles-de-Gaulle, ils se regardèrent, pantois :

- Bon... et maintenant ? Comment on se rend chez votre mère ?

- Euh... s'interrogea Taylor.

- Non, mais j'hallucine, s'exclama Robert. On est vraiment des bras cassés ! Vous pensez qu'un jour on aura un plan structuré et tout ? Parce que bon, franchement je sais même pas comment on fait pour encore être en vie...

Tout le monde rigola bien qu'il eut raison.

- Déjà, je peux aller changer mes dollars en euros, proposa Alex.

Il regarda aux alentours et trouva le petit bureau de change.

- Tu ne sais pas où maman habite ?

- Non, elle m'a juste dit que pour sa sûreté, elle était partie se réfugier à Paris.

Quand Alex revint, ils se regardèrent à nouveau dans le blanc des yeux. Les gens circulaient tout autour d'eux, avec leurs chariots ou valises.

- J'ai peut-être une idée, avança Gianni. Quand je travaillais pour le gouvernement français, on faisait appel à des contractants pour...euh... s'informer sur certaines personnes. Nous avions besoin de connaître quelques informations sur ces individus et-

- Ouais des espions quoi, explicita Robert.

- Non pas vraiment, passons-

- Vous travailliez dans quoi Gianni, demanda promptement Selena.

- J'étais l'attaché de liaison entre les nilées et l'Etat français.

- Oh.

- Tout ça pour dire que j'ai un ami qui pourrait nous aider.

- Il vit où ? voulut savoir Taylor.

- Dans le 9e arrondissement.

- Je sais pas où c'est, médita Robert.

- Ne vous inquiétez pas, sourit Gianni. Paris n'a aucun secret pour moi.

C'est ainsi qu'ils se dirigèrent vers le métro menant jusqu'au centre-ville de Paris. Ils étaient sur le quai à attendre le train, dans le froid, non seulement parce qu'ils étaient en t-shirts, mais parce que le changement de climat avait été brutal.

- Faites attention, le RER B est l'un des plus bondés de Paris.

Quelques minutes plus tard, un train à dominante rouge entra sur le quai. Quand ils s'installèrent dans le wagon insalubre, des dizaines de voyageurs firent de même. Si la trame était bondée, c'était simplement parce qu'ils étaient à l'aéroport, rien de plus logique. Mais plus ils passèrent par des stations, plus la rame se remplissait. Ils étaient si serrés que plus personne ne pouvaient rentrer et la chaleur ne tarda pas à les étouffer malgré le froid automnal de Paris.

Quand la voix automatique annonça « Gare du Nord », Gianni les incita à descendre. Ils durent jouer au coude à coude pour sortir. C'était si bondé que Cassiopée pensait que jamais elle n'en sortirait. Pendant leur changement de ligne, ils s'arrêtèrent en plein milieu :

- Attendez, ils ont refait les panneaux, il faut que je me retrouve.

Pendant que Gianni tournait sur lui-même à la recherche de leur prochaine ligne, des gens continuaient de les bousculer et d'autres pestaient parce qu'ils étaient plantés en plein milieu. La gare était noire de monde, littéralement, étant donné que les passants ne portaient quasiment que du noir.

- C'est bon c'est par là.

Gianni se remit à marcher activement, au point que les nilées eurent du mal à suivre son rythme tout en évitant les dizaines de passagers qu'ils croisaient.

- C'est que vous marchez vite, commenta Robert.

- C'est le cas de tous les Parisiens. Ici la priorité est à celui qui s'impose.

Ils eurent la démonstration quand Gianni fonça dans la foule, les gens le laissèrent passer avant de reprendre leur chemin et de s'imposer eux aussi. Le groupe d'amis fit de même pour retrouver leur compagnon terrestre.

- Il est quelle heure ici? voulut savoir Taylor.

- Sept heures du matin, déclara Gianni en regardant le panneau indicateur.

- Si tôt et il y a déjà du monde ?

- Bienvenue à Paris, les amis !

Quand la rame de métro arriva, ils se retrouvèrent si serrés que Cassiopée ne pensait pas qu'on pouvait entasser autant de mondes dans si peu de mètres carré. Le métro avait beau bouger dans tous les sens, il était tellement compact que Cassiopée n'avait pas besoin de se tenir pour ne pas tomber. La pression des autres la tenait en place.

Malgré le froid parisien, Cassiopée sentait la sueur perlait sur son front et dans son dos, le souffle âcre et chaud des inconnus frôlant son corps ainsi que la chaleur humaine et leurs corps collés qui accentuait son sentiment d'oppression. Le monde se bousculait à chaque station accompagné des râlements des passagers.

Lorsque Gianni parvint à leur expliquer qu'il fallait descendre, cela eut l'effet d'une délivrance pour Cassiopée. Pendant qu'ils sortaient de la station, pour retrouver l'air frais, Zekaryah dit à voix haute ce que tout le monde pensait :

- C'est l'horreur Paris...

Ils remontèrent à la surface pour y découvrir une ville grise. Les façades de type Haussmannien étaient magnifiquement salies par la pollution. Les gens s'impatientaient et semblaient aussi tristes que leurs vêtements. Le bourdonnement des voitures bloquées dans la circulation matinale donnait une autre image de la capitale française. Quand Cassiopée huma l'air, celui-ci n'avait pas le goût de liberté qu'elle convoitait tant. À la place, elle sentit l'air mauvais et densément pollué râper sa gorge.

- Et encore, vous n'avez pas tout vu, tout à Paris sent mauvais : les transports, les gens et même l'air.

- Ah oui ça se ressent, confirma Cassiopée

Le temps que Gianni repère les lieux, Robert rajouta :

- Vous avez vu ce monde ?

- Comme quoi, le surpeuplement est partout, disserta Alex.

- Et puis toute la saleté ici ? réitera Robert. Et après on dit que la pollution et le réchauffement climatique ne sont que des foutaises...

- En fait, suppléa Cassiopée, Paris n'est qu'une Terre miniature : surpeuplée et polluée avec des gens si pressés qu'ils ne font pas attention à leur environnement.

- Tu as tout à fait raison, soutenu Zekaryah. Je suis sûre qu'ici, tu pourrais avoir besoin d'aide que personne ne t'aiderait dans la rue.

Cassiopée pensa qu'elle avait raison mais que d'un autre côté, il y avait toujours des personnes pour être l'exception. Elle n'eut pas le temps d'approfondir sa réflexion que déjà, Gianni avait retrouvé son chemin.

- C'est par là.

Ils prirent une rue en biais puis une autre plus petite et s'arrêtèrent devant un bâtiment dans le même style que tous les autres qu'ils avaient vu pour l'instant. Gianni sonna au numéro 3 de l'interphone une première fois, rapidement, puis une seconde fois, plus longtemps. Le bruit d'un interphone se fit entendre :

- Bonjour, que puis-je pour vous ?

- Excusez-moi de vous déranger, je cherche la rue de Trévise, demanda Gianni.

- Je pensais que-

Selena n'eut pas le temps de terminer sa phrase que la grande porte bleu foncé emit un bruit de déverouillement.

- Vous ne croyez tout de même pas qu'il ferait rentrer n'importe qui.

Ils gravirent l'escalier qui craquaient sous leurs pas, malgré le tapis bordeaux posé dessus. Arrivés au troisième étage, deux grandes portes s'offraient à eux. Gianni frappa rapidement sur celle de droite, avant de redonner un coup plus bas et un troisième au niveau du parquet. Cela amusait Cassiopée de le voir faire ainsi mais quand la porte s'ouvrit sur la personne, son sourire se figea de surprise. Étrangement, ce fut un jeune homme, il devait être aussi grand que la porte. Mais ce qui fascina Cassiopée était ses cheveux. Elle n'avait jamais vu de couleur acajou aussi intense. Elle en était subjuguée sans vraiment savoir pourquoi.

- Gianni ! Comme c'est bon de te revoir.

Ils s'enlacèrent avant qu'il ne les invite à entrer.

- Je sais qu'on débarque à l'improviste mais nous avons besoin de ton aide.

Quand le jeune homme sourit, Cassiopée fit bêtement de même.

- Cela a toujours été le cas Gianni, c'est toujours dans l'urgence avec toi, je m'y suis habitué.

- Oh ! Je ne t'ai pas présenté mes amis.

Le jeune homme regardait chacun des invités au fur et à mesure que le terrestre les nommait. Cassiopée avait hâte qu'il pose ses yeux verts vifs sur elle et quand il le fit, elle se remit à sourire bêtement, sourire qu'il lui rendit. Si elle avait pu, elle aurait fondu sur place devant tant de charisme et de beauté. Quelqu'un lui donna un coup de coude. En se tournant vers O'Connor, il la dévisagea avec dégoût de haut en bas, les bras croisés. Elle n'aimait pas qu'on la dérange ainsi devant telle contemplation alors elle lui rendit sa mine rebutée.

- Et je vous présente Alban. C'était un stagiaire qui travaillait avec un de nos contractants vers la fin de ma carrière. Mais je vois que tu as bien avancé.

- Oui on m'a nommé chef des opérations C.

- C ? répéta Taylor.

Le dit Alban, regarda furtivement Gianni, qui hocha de la tête, prouvant qu'il pouvait faire confiance aux jeunes.

- C pour Clandestines. Les opérations de surveillance des agissements des...

- Nilées en France, compléta Alex. Je lis dans les pensées.

- Oh.

C'est fou comme tout le monde avait la même réaction quand Alex dévoilait son don. Mais Alban dégageait quelque chose de particulier, même quand il était gêné. Toujours avec cet air dédaigneux, Alex ajouta

- Et elle a six ans de moins que vous, vous êtes beaucoup trop vieux pour elle.

Alban rosit légèrement et Cassiopée trouva ça très mignon. En fait, toutes ces mimiques étaient mignonnes, même si ca ne faisait que deux minutes qu'elle l'observait.

- Vous êtes un espion alors ? voulut savoir Robert.

- Il n'en a certainement pas la carrure en tout cas, cracha Alex.

- Non, rigola Alban en ignorant le télépathe. Je suis juste un petit surdoué geek qui a été engagé par le gouvernement français, officiellement à ma majorité. Mais j'ai travaillé en free-lance on va dire à partir de mes quinze ans.

- Ah ben il est digne d'un Français : hautain et vaniteux ! grommela O'Connor

- Vous êtes nilée aussi ? l'interrogea Zekaryah

- Non je suis un terrestre, mais je rêverai d'être comme vous.

- Pas moi, lâcha O'Connor.

- Arrête un peu, tu veux ! le sermonna Cassiopée.

- Mais c'est lui aussi à vouloir faire son coq.

- Oui ben j'en connais un autre qui aime faire ça aussi, et puis ca n'apporte rien à la discussion, alors ton venin, tu le gardes pour toi, tempêta Cassiopée.

Ronchon, O'Connor garda les bras croisés et porta un intérêt quelconque au mur d'à côté.

- Bon, alors, comment puis-je vous aider ?

- Nous sommes à la recherche du logement de quelqu'un, expliqua Gianni.

- Facile ! Allons dans mon bureau.

Ils entrèrent dans une pièce où trônait un énorme bureau circulaire sur lequel se trouvaient six écrans d'ordinateurs . Alban quitta la pièce pour revenir avec plusieurs chaises.

- Installez-vous.

Cassiopée ne manqua pas de s'asseoir le plus près d'Alban, sur sa droite. Gianni se trouvait de l'autre côté pour le guider dans les recherches. Quand le jeune Français plaça ses lunettes rectangulaires, Cassiopée trouvait que cela rajoutait encore plus de charme à sa personne.

- Qui cherchez-vous ?

- Ma mère.

Il la regarda derrière ses verres et une fois de plus Cassiopée ne put s'empêcher de sourire.

- Elle s'appelle Lawrence Wilson.

Alban la fixa quelques secondes avant de se tourner vers l'un de ses écrans. Il pianota dessus et rapidement le résultat s'afficha :

- Je ne trouve rien...

- Elle vit à Londres mais elle emménagé fin Août à Paris, expliqua Taylor.

- Vous ne savez pas dans quel secteur ?

Cassiopée se retourna pour voir son frère faire non de la tête, juste à côté de lui se tenait O'Connor l'air boudeur. C'était un vrai gamin en fait.

- A-t-elle un deuxième prénom ?

- Emma.

Alban s'était à nouveau tournée vers elle pour la remercier et reporta son attention sur son écran. Il fit plusieurs recherches.

- Non ça ne marche pas..."Wilson" c'est son nom marital ?

- Oui, répondit Taylor.

- Si elle cherche à passer incognito à Paris, peut-être a-t-elle utilisé son nom de jeune fille ?

- C'est Kofolau.

- Merci Cassiopée, sourit Alban.

- Ça va elle t'a juste donné les informations de sa mère, pesta O'Connor. Elle ne t'a pas sauvé la vie non plus.

Elle allait l'étrangler. Pourquoi avait-il sa tête des mauvais jours maintenant ? Le décalage horaire ne lui réussissait pas. Pendant que Cassiopée fixait le pigeon aux oreilles décollées d'un regard noir, qu'il lui renvoyait, Alban tapait à toute vitesse sur son clavier.

- Trouvée. Emma Kofolau.

Alban souriait victorieux vers Cassiopée avant de lire les informations qui s'affichaient sur son écran.

- Arrivée à Paris par train le 28 Août. Loue un appartement 37 rue Fabert dans le 7e arrondissement. Dernier achat la semaine dernière : un billet d'avion pour Yaoundé.

- Elle est au Cameroun ?? s'étonna Cassiopée

Il hocha de la tête, les yeux rivés sur son écran.

- Pas de date retour prévu, mais l'appartement est loué jusqu'à la fin de l'année.

Il cliqua et tapota encore.

- Il semble qu'elle réside chez un certain Will Wilson.

- C'est notre père !

- Il vous faut d'autres informations ?

Tous se concertèrent pour conclure qu'ils avaient toutes les informations recherchées.

- Au moins on a un logement de disponible, positiva Taylor. Cela nous laissera le temps de travailler sur la pierre. Ensuite, nous retournerons au Cameroun.

- Là ou tout a commencé, commenta Cassiopée.

- Allons-y.

Alban nota l'adresse et la station de métro : Invalides. Il y dessina un plan grotesque pour trouver l'appartement, le digicode pour entrer dans le bâtiment et ajouta quelque chose d'autre avant de tendre le papier à Cassiopée :

- Je vous mets mon numéro de téléphone, au cas où.

Quand il lui tendit le papier, Cassiopée sourit face aux dix petits chiffres qui s'y trouvaient. Elle releva la tête pour se plonger dans ses yeux d'un vert intense avant de vouloir le remercier à sa façon. Elle fut toutefois devancée.

- On bouge avant qu'il te bouffe la glotte, maugréa O'Connor.

Il avait déjà commencé à se diriger vers la sortie pendant que tout le monde remerciait Alban. Quand Cassiopée lui dit au revoir, il ajouta :

- N'hésitez surtout pas à m'appeler d'accord ?

Elle hocha de la tête et sortit de l'appartement en compagnie de ses amis.


~•~•~•~•~•~•~•

Et coucou!

J'espère que vous vous êtes régalés entre la surprise d'hier et le chapitre du jour!

Que pensez-vous du nouvel arrivant, Alban ? Vous l'aimez ? Vous pensez que nos protagonistes l'aiment ?

Tous vos messages hier m'ont fait super plaisir, j'ai eu pleins de notifs aussi comme le montre mon écran à 15h😜


Juste après Wattpad m'a dit "non, nous, on arrête de compter à 1k".😅
Par curiosité, je suis allée voir les stats et j'ai eu, uniquement sur Nilées, 230 votes et 1126 commentaires...ce qui fait un total de 1356 notifications!

VOUS AVEZ EXPLOSÉ MON RECORD DE NOTIFS LÀ !! BRAVO! 🎊

J'avoue ne pas avoir eu la foi d'y répondre le jour même mais je vais le faire, tout doucement! Et si je me chauffe je vous ferai un petit compte rendu, du style parmi X réponses combien ont dit détester Adastrée 😏

D'ailleurs ! Vous avez vu l'histoire sur le screen ? Le peuple des Vents ? Eh bien c'est la nouvelle histoire Fantastique de notre Laurine internationale (alias AspirineLaLicorne ) ! C'est elle qui vous fait rire avec ses commentaires tout le long des chapitres de Nilées alors n'hésitez pas à aller la remercier en allant faire un tour sur son histoire! Je suis sûre qu'elle plaira à beaucoup d'entres vous 😉

Aller mes kikou lol, à jeudi!

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