Chap.5 - Une rencontre qui n'était que bénéfique.

La matinée venait tout juste d'arriver dans le village où était venu s'installer de nombreux monstres.
Voilà maintenant quelques mois qu'ils étaient venu s'installer dans le monde après avoir été libérer de l'Underground par on ne sait quel miracle.

Notre jeune humaine, qui s'était alors couché tard suite à la balade nocturne qu'elle avait fait la veille, dormait encore paisiblement sur le lit sur lequel elle a été installé, avec pour compagnon son petit chien blanc qui s'était rouler en boule pour se reposer tranquillement.

Elle aurait pû dormir plus longtemps, mais à la place, quelqu'un entra soudainement par la porte en criant:

- Debout soldate ! Vous avez dormi trop longtemps, maintenant !

Le sommeille dans lequel était rester Louanne s'estompa aussitôt, et tout ses muscles se raidirent tandis que ses yeux s'ouvrirent d'un coup, provoquant un sursaut chez elle et Toby, suivit d'un cri de frayeur de l'humaine.

Pour se calmer, la jeune femme prit son chien contre elle pour se détendre et calmer les battements de son cœur, tout en regardant la coupable se trouvait à l'entrée de la porte.

En voyant leurs mines effrayés, Undyne, habillé d'un sweat bleu en plus de sa tenu habituelle, se mit à rire un bon coup, heureuse que sa blague est fonctionné.

- C'est ce qui s'appelle un réveil SURSAUTANT ! Rajouta-t-elle pour détendre l'atmosphère, même si à la place, elle reçue plutôt des froncements de sourcils.

Toby se degagea des bras de sa maîtresse, se mettant à quatre pattes sur le lit en grognant et en aboient pour montrer son mécontentement face au réveil qu'il avait reçu de la femme poisson.

Cette dernière n'y réagit d'ailleurs pas du tout, se concentrant plutôt à vouloir faire que Louanne sorte du lit.

- Allez ma grande. Papyrus nous attend en bas, il t'a préparé un petit déj' exprès pour toi. Tu ne voudrais pas que je le mange à ta place, n'es ce pas ?

Cette seconde phrase eut l'effet escompter, puisque Louanne changea aussitôt d'état en ayant l'air de dire: "Quoi ?! Mais certainement pas !"

Elle enleva la couverture qui avait été installé sur elle, couverture qui alla recouvrir l'animal blanc sans qu'il ne comprenne ce qui lui arrivait, et se leva aussitôt sur ses deux pieds, comme si elle avait retrouvé toute son énergie rien qu'à cette simple phrase.

- Alors non ! Hors de questions ! Repondit Louanne, mécontente, mais sur un air amusé.

Elle allait se dépêcher pour allez à la cuisine avant Undyne, mais avant, elle entendit les grognements confus de son chien, ce qui l'alerta et la fit enfin enlever la couverture qui avait recouvert le chien.

- Ouuups- Excuse-moi, Toby ! Je ne t'avais pas vu...

Face aux excuses, la boule de poiles blanches lui grogna simplement dessus, et lui tourna la tête, pas prête à lui pardonner pour cette fois ET pour les autres moments où sa maîtresse n'avait pas beaucoup fait attention à lui.

Cette action de la part de son animal depita l'humaine qui perdit aussitôt son envie d'aller dans la cuisine.

Elle tenta d'attirer l'attention de son chien, mais rien y fait, il avait décidé de lui faire la tête, nah !

Undyne en rigola bien en arriere plan. Vraiment, Louanne et Toby n'étaient pas comme ces autres personnes avec leurs animaux de compagnies, non, eux, ils possédaient ce petit truc en plus qui rendait leur relation spécial, adorable et amusante.

- Bon, je te laisse nous rejoindre une fois que t'aura réussi à te réconcilier avec ton chien. A plus !

La femme poisson quitta aussitôt la chambre pour descendre les escaliers et rejoindre son frère (adoptif) qui venait tout juste de terminée le petit déjeuner de Louanne.

Papyrus releva la tete en voyant sa sœur arrivée, lui lançant un joli sourire qu'il montrait très souvent aux personnes qui l'apprécie, et qui avait le don de faire réchauffer l'âme de n'importe qui.

Il demanda si Louanne allait bientôt descendre, ce à quoi Undyne repondit qu'elle n'était pas prête de descendre avant de bonnes minutes au moins. Cette réponse fit un peu soupirer Papyrus, qui avait fait exprès de préparé le chocolat et le croissant pour le réveil de son amie, pour qu'ainsi que cela reste chaud. Le squelette alla tout de même déposé le bol et la viennoiserie sur la table, tout en mettant sa sœur en garde de ne pas y toucher, car cela était réservé à leur jeune amie.

Pour patienter, les deux monstres sortirent un jeu de société pour passée le temps jusqu'à ce que les deux réveillés se décident enfin à descendre.

Le temps passa de manière assez lente, mais finalement, après une vingtaine de minutes durant lesquelles Papyrus et Undyne avaient eut le temps de faire 3 parties de leur jeu, Louanne et Toby descendirent enfin les escaliers, mais pas comme on pourrait s'y attendre.

La jeune femme avait la mine triste et dépité.
Tandis que le petit chien blanc descendait avec la tête relevée et ignorant tout simplement sa maîtresse en lui passant devant.

Evidement, face à cette tête que faisait son amie, le squelette s'inquiéta immédiatement et se leva de sa chaise, se précipitant vers l'humaine.

Il posa ses deux mains sur ses épaules, et s'exclama:

- LOUANNE ?! TOUT VA BIEN ?! TU AS MAL QUELQUE PART ? J'AI DES SOINS DANS LA SALLE DE BAIN SI BESOIN ! OU NON, PEUT ÊTRE AS-TU MAL DORMI ET QUE TU AVAIS ENCORE BESOIN DE REPOS ! J'AVAIS DIT À UNDYNE DE NE PAS VENIR TE RÉVEILLÉ AUSSITÔT !

Et il continua à lui posez d'innombrables questions pour savoir ce qui n'allait pas, allant parfois jusqu'à croire qu'elle avait attrapé une grave maladie qui l'a rendait dans cette état là.
En arriere plan, Undyne ne disa rien, savant exactement ce qui la mettait dans cet état.

Pour toute réponse, Louanne posa simplement une main sur l'une du squelette pour espérer le détendre un peu.

- Nann, c'est rien de ce que tu dis... C'est plus grave, encore... Je me suis mal occupé de Toby, et maintenant, il me boude ! TwT

Heureusement, l'inquiétude montante de son ami le squelette descendit aussitôt, mais ne disparu pas, même, il commença à prendre la situation au sérieux.

- ALORS DANS CE CAS, MOI, LE GRAND PAPYRUS, VAIT TOUT FAIRE POUR VOUS RÉCONCILIEZ !

- C'est très gentil de ta part, Papyrus, mais c'est pas la peine... Ça concerne moi et Toby, je vais trouver un moyen pour qu'il me pardonne. Enfin, j'espère-

Le monstre voulait lui répondre qu'il ne lâcherait pas l'affaire, mais sa sœur intervenu pour lui dire que cette histoire ne les regardait pas, et qu'il fallait laissé Louanne faire. Après tout, elle connaissait Toby depuis un peu plus longtemps qu'eux...

A la base, ce petit chien blanc vivait avec les monstres dans l'Underground, et tellement il faisait de bêtises qu'il avait été surnommé Chien Pénible par la majorité des personnes. A la limite, ce surnom était même plus devenu son nom qu'autre chose, vu qu'il réagissait parfois quand on l'appelait ainsi.

On sait peu de choses de comment cette boule de poiles à réussi à survivre si longtemps dans le royaume des monstres, alors qu'il n'avait ni maison, ni famille, ni ami. Enfin si, peut être Papyrus à qui il volait souvent un os quand celui-ci voulait montrer son attaque spécial à l'humain qui s'était retrouvé dans la forêt de Snowdin après que Toriel l'ai laissé passer.

Le grand squelette le grondait assez souvent sur cette action, mais rien y fait, il continuait à faire son cirque.

Son histoire aurait pu s'en arrêter là, à seulement être le petit Chien Pénible qui embête tout le monde en court de route et à parfois empêcher l'avancement de l'humain dans le monde souterrain...
Mais non, son histoire se suivit juste après que la barrière fut détruite.

Il n'était pas resté sous terre, et même, avait profiter de l'air libre autant qu'il le pouvait, à courir partout dans les champs, à aboyer après les oiseaux... A faire tout ce qui pouvait lui plaire tout en découvrant le monde de la surface.

Malheureusement, comme il n'était le chien de personne, la fourrière eut tôt fait de lui mettre la main dessus, et de le placer à la SPA...

Les gens étaient aimables, là bas, ce n'était pas le soucis, non, le problème, c'était qu'il était privé de liberté, qu'il ne pouvait plus profiter de l'air libre comme il le faisait avant. Cela la tellement blessé et attristé qu'il a même arrêter de prendre soin de son corps, arrêtant de manger et de boire, ce qui, au fil des jours, l'affaiblissement et le rendait maigre.

Juste à côté de ça, déjà, les gens ne l'adoptaient pas, sentant cette même énergie au sujet de ce chien qui semblait adorer faire des bêtises à droite et à gauche. Même à la surface, il avait gardé ce surnom de Chien Pénible, surnom qui lui restait coller à la peau sans qu'il ne puisse l'enlever...

Il etait seul, isolé, malade... Il était passé à deux doigts de subir une euthanasie qui signerai alors sa fin.
Mais le destin ne semblait pas vouloir le laissé souffrir en silence, non, même, il semblerait qu'il ait décidé de lui offrir une chance, de lui montrer une nouvelle voie vers la lumière.

Ce jour-là, c'était un jour comme les autres... ou presque, ça allait être aussi le dernier jour pour notre petit chien blanc, qui lui etait resté couché au panier, le poile abîmé et les os sur la peau. Sauf que contre toute attente, une personne, une jeune femme aux cheveux châtain à lunettes, avait décidé de s'arrêter devant la cage du petit animal malade. Le Chien Pénible, pourtant, ne releva meme pas la tête pour regarder qui cela pouvait etre. Elle allait sûrement passé son chemin, comme toute les fois...

Et effectivement, peu de temps après, elle partit...
Mais seulement deux minutes après, des personnes qui s'occupaient des lieux vinrent cherché le petit chien, le portant dans leurs bras pour l'amener à la jeune femme qui s'était arrêter plus tôt. Cette dernière lui offrit d'ailleurs un sourire radieux, un sourire que le petit animal blanc n'avait jamais l'habitude d'en voir, surtout attribué à lui. Cela lui fit quelque chose au cœur, comme une sorte de déclic...

Le geste l'avait touché.

C'est à partir de ce moment, de ce simple geste, que la meilleure relation possible entre les deux commença à se construire. Une nouvelle vie debuta autant que pour la petite boule de poiles que pour sa maîtresse.

Et enfin, enfin, après tant de temps à errer sans rien, le chien reçu un cadeau qui lui fire gonfler ses poiles blancs de bonheur.
Enfin, il avait reçu un nom...

Il n'était plus le Chien Pénible qui faisait des bêtises à tout va, non.
Il était désormais TOBY qui faisait des bêtises à tout va.

Ces deux là, Louanne et Toby, ils ne s'étaient pas trouvé que par hasard. Le destin avait fait exprès de joindre leurs deux chemins, et tout cela, uniquement pour des choses bénéfiques aux deux...

Et ce fut quelques mois plus tard que l'humaine rencontrera la personne qui allait devenir sa meilleure amie...
Quelques mois plus tard, ce fut Undyne qu'elle rencontra dans son village.

Attendez...
Undyne ?

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Eh oui ! Deux chapitres en un jour >:] !
J'ai de L'inspiration, chercher pas-

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