Chapitre Dix-Sept
Bonsoir tout le monde,
C'est le dernier chapitre de la fiction, je suis si triste...
Je vous prépare quand même une petite surprise, merci encore pour votre ENORME soutiens remarquable. Je vous embrasse très fort.
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« Dieu, tu ne sais pas à quel point ça m'avait manqué » marmonna Thomas quand ils entrèrent en trébuchant dans leur suite de lune de miel, pris dans leurs baisers. Il poussa Newt contre la porte déjà refermée derrière eux, le soulevant par la taille.
Le blond l'entoura de ses jambes, se pressant contre lui et les faisant tous deux gémir.
« Je ne peux pas attendre de te faire l'amour, de t'emplir, de sentir ton corps contre le mien » grogna t-il en parsemant le cou de son mari de petites morsures, le faisant haleter.
« Putain espèce de bâtard, qu'est-ce que tu attends, alors ? » siffla Newt en arrachant rapidement l'offensive chemise que portait Thomas.
Le brun sourit voracement, et en un rapide mouvement jeta le blond sur l'immense lit, grimpant immédiatement sur lui.
« Hm, Monsieur Edison, vous êtes bien trop habillé » souffla Thomas à Newt, qui frissonna et se tortilla avec impatience.
« J'aime la manière donc ça sonne à l'oreille. » le blond sourit joyeusement, rougissant quand Thomas lui rendit son sourire.
« Hm, j'aime aussi. » Le brun sourit d'un air satisfait. « Tu es tout à moi à présent, Newt, et je ne prévois pas de te laisser un jour partir. »
« J'y compte bien » chuchota Newt, et ils décidèrent ensuite rapidement de se taire et de laisser leurs corps parler pour eux.
Vêtements furent rapidement jetés au sol, de brûlants baisers échangés, des corps à nouveau explorés après plus d'un an sans aucune intimité amoureuse.
« Tu es toujours aussi magnifique que dans mes souvenirs » murmura le brun en écartant les jambes de Newt et se plaçant entre elles.
Le susnommé rougit violemment, mais avant qu'il ne puisse proprement répondre, il fut entouré d'une chaleur humide et son esprit devint délicieusement vide. Perdu comme il l'était dans me plaisir que lui procurait son mari, il ne remarqua même pas le premier doigt le pénétrant et commençant à la préparer.
Le second le fit cependant tressaillir quand il en sentit la brûlure, et Thomas leva la tête pour le regarder en guise d'excuse.
« Je suis désolé. Je vais essayer d'être aussi doux que possible. » promit-il.
« C'est bon. » Newt sourit faiblement et tenta de se relaxer. C'était étrange de se faire préparer après autant de temps, mais ils retrouvèrent rapidement leur rythme.
Au bout d'un moment, le brun se souleva pour l'embrasser, maintenant fermement ses hanches. « Tu es prêt ? » murmura t-il contre les lèvres rouges du blond.
Newt prit une profonde inspiration et enroula ses jambes autour de la taille de Thomas, entourant son cou de ses bras. « Oui. »
C'était douloureux et inconfortable. Il avait oublié combien Thomas était imposant, et quand ce dernier s'enfonça, il dut se contraindre à se relaxer, se laisser simplement aller. Plus facile à dire qu'à faire.
Mais Thomas commença un lent, doux rythme. La transpiration de leurs corps rendait leurs mouvements plus aisés, et Newt se retrouva rapidement haletant, gémissant quand le brun glissa sa main entre eux.
« Je vais bientôt, je vais... » geignit Newt.
« Vas-y. » haleta Thomas dans son oreille.
L'instant suivant, Newt jouit, arquant son dos, ses yeux se fermant d'eux-mêmes sous l'afflux d'un plaisir le submergeant, traversant son corps comme un éclair. Il réalisa à peine que Thomas l'avait promptement suivi avec un grognement sourd.
Lentement, son mari se retira, s'affalant à ses côtés et le prenant dans ses bras.
« Dieu, c'était incroyable. » Murmura le blond, comme étourdi, avant de jeter un bras et une jambe sur Thomas, se rapprochant de lui.
« Newt? »
« Hm ? » marmonna Newt, s'abandonnant déjà au sommeil.
« Je t'aime. »
Les yeux noirs se rouvrirent brusquement, un immense sourire apparaissant sur son visage. « Je t'aime aussi. »
Oui, il fallait connaître Thomas comme Newt le connaissait pour comprendre les exactes raisons pour lesquelles il l'aimait.
Au final, tous ces problèmes en avaient valu la peine. Il était maintenant marié à l'amour de sa vie, et il ne le laisserait plus jamais partir.
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