Stuckwithtu

Une attablée d'amis se retrouvèrent autour d'une grande table dans restaurant.

Mais pas n'importe quel restaurant, c'était celui du Frypan. Celui-ci avait convié tout ces amis dans son véritable restaurant qu'il avait bâtit. C'était lui seul qui s'était occupé de tout. Après tout cela semblait normal, puisque c'était son propre restaurant, qu'ils avaient d'ailleurs appelé "FryResto".

Frypan et ses collègues avaient préparé, une belle table décoré sur lequel il allait retrouver ces camarades autour de ses petits plats délicieusement cuisinés. Frypan n'avait qu'une hâte, qu'ils arrivent tous pour lui dire ce qu'il pensaient de son petit restaurant.

C'était Minho, fidèle, qui entra le premier et fit part de ces plus beaux compliments à son ami, suivit de Térésa, et Thomas accompagné de Chuck. Alby et sa compagne, Lise arrivèrent aussi, main dans la main. Puis au tour de Winston, Gally et Brenda de mettre les pieds sous le toit du restaurant qu'ils trouvèrent tous les uns et les autres, splendide. Un sourire se dessinât sur les lèvres de Fry, qui les invitât ensuite à se joindre autour de la table, drapés de décoration fleurie et boisés. Son goût pour la nature avait fait l'unanimité.

« Tu en as du goût, poêle-à-frire! »
Lança Térésa en admiration devant la décoration de lierres suspendu à la poutre qui ressemblait à un arbres. Les murs étaient tapissés de couleurs noir et gris avec des formes rectangulaire difformes. On aurait presque l'impression de se croire dans un labyrinthe.

« Attendez de voir ce que j'ai concocté pour ce soir. Perdre pas de temps. Installez-vous, Newt ne devrait pas tarder. » lui répondit-il avec un sourire.

Minho arqua un sourcil.

« C'est bien la première fois que Newt est en retard! » Winston lâcha amusé mais surpris.

Sur cette phrase tout le monde prit place, mais la remarque de Minho, perturba son voisin brun, Thomas.

« Il doit sûrement être occupé. Je suppose. »

« Avec une fille encore. »

Winston ricana, suivit de Chuck en grignotant les gâteaux apéritif. Le jeune garçon brun, qui n'avait encore pas beaucoup bavardé de la soirée sentit son ventre se nouer, le sang bouillir jusqu'au oreilles. Pourquoi "encore"? Comme si c'était quelque chose de régulier que Newt allait traîner avec des filles, alors que non. Thomas leva les yeux aux ciel.

« Non, Newt a eu un petit imprévu, il n'avait pas le moral, et m'a téléphoné juste avant que vous arriviez pour me prévenir qu'il ne viendrait pas mais j'ai insisté, et il quand même cédé. »

Frypan rétorqua tout en posant deux corbeilles de pain chaud sur la table. Thomas se sentit soulagé mais un se sentiment de culpabilité trônait dans son estomac vide.

Newt avait voulu manquer le dîner ? Thomas baissa la tête. Les yeux sur son portable qui affichait, 0 messages.

Tu t'attendais à quoi, pensa t'il.

Quelque minutes passèrent, et la sonnette au dessus de la porte d'entrée retentit découvrant un Newton, camouflé dans un manteau d'hivers. Il secoua machinalement ces cheveux blond gracieusement, avec un sourire amicale vers la serveuse qui s'avança vers lui pour lui ôter le vêtement et préciser qu'elle le mettrait dans la penderie. Newt sembla gêné, et embarrassé d'arriver en retard. Il n'aimait pas ça, être en retard, mais il n'avait pas pu faire autrement.

Du moins, il ne l'avait pas choisi.

« Bonsoir tout le monde... » lança Newt en rougissant, son regard fuyant celui de Thomas qui remarqua son visage fatigué, ces joues rougis, et ces yeux aussi. Thomas se mordit la joue. Il était bien le seul à l'avoir remarqué.

Fry qui discutait avec les garçons, se détourna et ouvrit les bras joyeusement pour accueillir son meilleur ami, Newt. Celui-ci accepta avec plaisir, lui laissant un commentaire positif sur son restaurant avant de s'installer auprès de Alby, et face à Thomas.

Malheureusement pour lui.

Le repas se déroula comme prévu,  les garçons déconnaient, Gally ronchonnait comme d'habitude, et les filles papotaient de tout. Le seule bémol qui rendait le côté moins festif, était Newt et Thomas. Newt passait son temps à ignorer le brun, plus qu'agacé. Newt ne décrochait pas un mot, pas un sourire. Rien. Pas même lorsque Thomas lui demandât de lui passer le sel, Newt ne réagissait pas.

Qu'est-ce qu'il pouvait être caractériel parfois... Thomas levât les sourcils et croisa les bras en soufflant discrètement.

Comment allait-il réussir à décrocher un petit signe de son amant ?

Amant. Oui.

Au moins, c'est ce qu'ils sont sensé être, avant qu'une violente dispute ait eu lieu entre les deux amoureux, la nuit dernière. Toujours et encore sur le même sujet sauf que cette fois-ci, peut-être que Thomas avait été direct. Trop direct et que les mots avaient dépassé les pensés.

Le concerné allongea ses jambes sous la table, discrètement à l'abri des regards, pour caresser la jambe non blessé de son petit-ami secret. Il sourit. Il lui avait tant manqué aujourd'hui.

Quand le blond remarqua et sentit la chaussure de Thomas effleurer ces partis intimes. Newt fronça des sourcils, les yeux plissés sur son assiette. Empli d'incompréhension. Il ne regarda pas devant lui, sachant très bien qu'il serait déstabilisé. Thomas était foutrement beau avec ces cheveux retombé sur le front, ses lèvres rouges cerises envoûtante et son parfum... Entêtant. 

À quoi jouait-il ? Alors maintenant Thomas voulait se faire remarquer devant tout le monde ? Pourtant, il se souvenait comme une poésie étudié par cœur des ces paroles sortit de la bouche de son homme.

Newt leva la tête, les yeux dans ceux de Thomas qu'il rêvait d'étrangler, frapper, embrasser. Toute une poussé d'émotions. Une sensation électrisante dans ses yeux le fit perdre ses moyens mais Newt était malin, tout de même. Il sourit faussement au brun, qui lui adressa un petit clin d'œil mélangé de sous-entendu.

Le blondinet piocha dans l'assiette de sa voisine Brenda, discrètement. Une fois l'objet dans la main, il déplia l'emballage du petit cube jaune avant de l'écraser contre le pied et la cheville de son amant.

La sensation des doigts de Newt sur sa jambe fit gémir silencieusement le plus jeune des deux mais lorsqu'il se rendit compte que sa jambe devint huileuse, Thomas poussa un petit cri de surprise.

« Qu'est-ce qu'il t'arrive ? Tu as avalé de travers Tommy ? » Chuck dit, en avalant une grosse bouché de son steak au poivre.

Newt fronça les sourcils à l'entente du surnom « Tommy » c'était lui seul qui avait le droit.

Thomas se redressa, renfrogné, bras croisé sur la table.

« Chuck!! C'est toi qui à pris mon morceaux de beurre encore ? » la voix de Brenda s'éleva. Laissant les convives pouffer de rire.

« Non, ce n'est pas moi ! » se défendit Chuck la bouche pleine.

Thomas écarquilla les yeux et toisa le regard de espiègle Newt. "Ça t'apprendra!" Pensa le blond.

Le brun abandonna, la cheville beurré, il grimaçât, et s'essuya tant bien que mal avec sa serviette. Il l'avait bien cherché pour être honnête, ça avait au moins le mérite d'être clair, Newt lui en voulait probablement pour hier soir. Il soupirât consterné. Il se mit à penser. Le sourire disparu sur son visage alors qu'il pensa à la dispute entre lui et son petit-ami.

Thomas le voulait mais une barrière lui empêchait de l'avouer.

La peur du jugement ? Peut-être.
De perdre le garçon qu'il aimait ? Sans aucun doute.

Thomas était perdu dans ces pensés, ne se préoccupant plus de ce qu'il se passait autour de lui. Il n'avait même pas remarquer que la moitié de la table était en admiration devant le ventre rond de Lise. Les yeux rivés se ces mains tremblantes, il ferma ces yeux et les rouvrit. Soudain, il se leva précipitamment de sa place, jetant sa serviette sur la chaise et se réfugia au toilette.

Il courut jusqu'au cabinet et plongea les mains sous le robinet. Le dit, Tommy se rafraîchit le visage comme pour s'interdire de penser mais c'était plus fort que tout, Thomas n'avait jamais aimé être faible. Il plia les genoux, s'accroupit, les phalanges appuyés contre le rebord du lavabo. Sa respiration était irrégulière et rauque. Dû à son anxiété. Il n'avait jamais été bon de trop penser jusqu'à se rendre malade. Il craquait littéralement.

« Thomas. »

L'intéressé se leva en reconnaissant l'accent britannique de son amant. Tête baissé, il fonça dans les bras de son bien-aimé, c'est ce qu'il quémandait en ce moment. Les bras de Newt était son refuge. Sa maison, son élément, son bien être mais Thomas jura entendre son cœur émettre un "boom" lorsque ce dernier le repoussa , à contrecœur.

« Je crois pas que ça fonctionne comme ça. » lâcha froidement Newt, en regardant le regard brisé de son interlocuteur.

Thomas fit incapable de prononcer quoique ce soit. Il avala durement sa salive, et comprit sur les larmes allèrent couler dans peu de temps.

« Newt, je.. »

« Tu as été clair hier soir, je vais pas te forcer. J'ai compris que tu voulais pas officialiser notre relation devant tes amis et tes parents, je l'ai compris maintenant que tu voulais pas de moi, alors ne me fais pas espérer avec tes... approches. » Newt se libéra, durement, froidement et difficilement. Le cœur entre les lèvres, ils allaient tout les deux exploser en sanglots s'ils ne se retenaient pas, mais leurs deux personnalités forte et fier ne leur laissèrent pas le moment pour démontrer un moment de faiblesse.

Newt posa son épaule sur la porte battante, s'apprêtant à partir lorsqu'il leva les yeux vers Tommy.

« Tu avais raison, c'était sûrement une erreur nous deux.. » lâchât durement Newt en répétant mot pour mot, les paroles du garçon la veille avant de s'en aller rejoindre la bande. Son cœur brisé plus que jamais.

Thomas qui ne réalisa pas, s'éffondra par terre, les genoux au sol laissant un bruit sourd résonner dans la pièce. Son organe vitale battant à vive allure, atterrie brusquement dans son estomac. Les yeux humide, remplis d'eaux salés le long de ces joues, désormais. Il sanglotât en faisant face à sa plus grande phobie. Les mots de Newt avait commis un énorme torrent de sentiments dans son corps mais avait-il réfléchis que le jeune blond avait vécu la même chose la nuit précédente ? Thomas s'arrêta de pleurer et plissa les yeux.
Égoïste avait-il pu être.
Il secoua la tête avant de se relever rapidement, en se regardant devant le miroir. Il se contemplât durant un fracas de secondes, s'auto-insultant, avant de prendre conscience du mal qu'il avait commis, il quitta la pièce en trombe.

Newt se dirigeait vers la table quand Thomas le rattrapa pas l'avant-bras et le fit pivoter sur lui-même. À ce moment, il ne compris aucunement ce qu'il se passait. Allait-il tomber par terre ? Il retrouva le visage Angélique de Thomas face à lui. Un peu trop proche à son goût.

Curieusement, Gally fit signe à tout le monde de lever le bout du nez pour apercevoir Thomas écraser fougueusement les lèvres de leur ami, Newt. Les visages des spectateurs, se décomposèrent de surprises. En premier surprit, Newt, qui resta stoïque incapable de répondre au baiser. Il soupira de contentement, de soulagement et d'amour surtout. Son cœur battait jusqu'à ces tempes, et les papillons gigotaient le long de son bas ventre. Était-il en train de rêver ?

Thomas le lâchât, puis posa son regard dans les yeux marrons de l'anglais avant de lui prendre la main, et s'avancer les yeux brillant.

« Euh.. Avec Ne..neeewt... Hm.. » Thomas paniqua.

« Thomas... Qu'est-ce que tu fais... » Newt bégaya, encore bouleversé par ce qui venait de se passer mais Thomas lui posa un doigt sur ses lèvres doucement. Il se détendit.

« Laisse-moi. J'aurais du le faire depuis un bout de temps. »

Les joues du plus vieux s'empourprèrent. Alors finalement, il avait changé d'avis ?

« Je.. Je voulais vous dire... Hm, Newt et moi on est ensemble. » Thomas s'arrêta, puis reprit. « Je n'ai pas peur de vos avis à mon égard , ou vos jugement, en fait je m'en tape. On traîne ça depuis longtemps, par ma faute... Parce que avant dix seconde, je pensé avoir peur de vos réactions, de ce qui allait se passer si je vous l'annonçait que j'avais une attirance pour les grand blond britannique, mais j'ai réalisé que ce n'était rien comparé à lui. C'était une putain de connerie de penser ça car la seule chose qui me fais peur aujourd'hui, c'est de le perdre. Je suis fou de lui, je l'aime...ouais, les tocard, vous m'avez bien entendu je suis amoureux de Newt. »

Térésa qui avait la main plaqué contre sa bouche, fut la première à se lever de sa chaise. Lançant un regard à choqué sur Thomas et Newt, ça ne prit q'une fraction de seconde avant qu'elle se mette à applaudir toute seule. Minho qui avait remarqué la main de Newt se glisser dans celle de Thomas, sourit, et suivit Térésa dans son action. C'est ainsi que tout le monde les imitèrent avec fierté même Gally qui avait fait la grimace en voyant Thomas donner un baiser à Newt. Ils exprimèrent chacun leurs fierté dans leurs applaudissement. Chuck siffla et Brenda sautillât jusqu'à eux pour les prendre dans les bras. Alby leur fit un signe avec la main, exprimant son dévouement. Ils étaient tous amis.

« Alors ça! J'en reviens pas... Cela dit, c'est génial. » Winston rétorqua tout en levant son verre.

Thomas inclina la tête. Sa main contre celle de Newt qui se pinça les lèvres, regrettant amèrement ces dernière paroles qui avait été particulièrement sévère ainsi que son comportement puéril à table. Dans un soupir, il serrât la main de son Tommy, et l'attirât contre lui tendrement.

« Pardon d'avoir été aussi con. » soufflât honteusement Newt.

Thomas lui baisa le front, avant de faire tomber son doigt sous son menton et l'embrasser d'un bisou tout doux. « Ce n'est rien. Je l'avais mérité de toute façon. » ajoutât-il dans une étreinte affectueuse.

« Bon, maintenant, si vous le permettez place à mon gâteau au chocolat. » lâchât joyeusement Fry, en s'interposant entre les deux nouveaux amant.

« Chouette! Moi j'adore le chocolat! » dit Chuck.

-

Thomas entra dans la pièce à coucher de son appartement, un caleçon le long de sa taille, il glissa rapidement sous la couverture rattraper son amant déjà allonger prêt à passer une bonne nuit. Newt enlaça le corps de son amant, les mains sur ces épaules musclés quant à Thomas, il entoura la taille de son amoureux pour un long et agréable câlin.

« Merci d'avoir fait de moi l'homme le plus heureux ce soir. Je ne pouvais pas demander autant Tommy, c'était tellement beau. » souffla Newt dans l'oreille.

« J'ai réalisé que tu était plus important qu'une fierté. J'ai envie d'assumer, de dire à tout le monde que je suis pas seulement tomber amoureux d'un homme, mais de toi. Je t'aime Newton. »

Il lui déposa un baiser sur les lèvres avant de nicher sa tête dans son cou et de prendre place sur les hanches de l'anglais au joue rouge.

« à toi de me le prouver maintenant. »

« Ça prendra toute la nuit s'il le faut, alors. »

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C'était mon premier one shot newtmas. Ça change que d'écrire toujours du narry. Aha! J'ai essayée d'écrire quelque chose de bien... J'espère que ça va plaire. Bisous, bonne soirée! Chloë

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