Romance & Vie d'étudiant
La fac, c'est une enceinte où nous pouvons poursuivre nos études après le lycée, nous choisissant une filière qui nous permettra d'avoir un bon travail dans le futur.
C'est aussi le lieu où l'on se fait les amis et relations, qui impacterons le plus dans notre vie de demain. Les jeunes et vieux s'y retrouve pour concrétiser le futur, qu'ils ont toujours souhaités.
Pour certains étudiants, il leur arrive la nécessité de se trouver un job étudiant entre leurs vies et la fac.
C'est le cas généralement d'une bonne partie des étudiants, qui font parfois du service dans les cafés où les restaurants en fonction de leur disponibilité.
Cela fût le cas de cette chère Raja, qui s'était trouvé un boulot dans un café proche du campus. Elle avait un emplois du temps assez simple, faisant cours trois fois par semaine, elle pouvait passer le reste du temps à travailler.
Un petit boulot pouvant rapporter 150$ à 200$ le mois.
L'année était encore en son début, mais tout les étudiants semblaient ne pas avoir déjà fait leur arrivée.
Dans ce café nommé la City zone, où travail cette chère Raja, arriva une voiture de marque.
De son bruit super impressionnant, le moteur de la voiture nous faisait comprendre que la personne était riche et impressionnant.
À l'intérieur, il y'avait une foule de client, car les samedi les étudiants profite pour marcher et se découvrir.
Au comptoir, s'était Raja qui s'y collait. Son sourire ravivait le cœur de tous, au service, il s'agissait de deux autres étudiants, Maxime et Ruben deux étudiants en économie sociale et statistiques financière.
Tous les trois, son de nouveau arrivant. Ils étaient relayé par des troisième année qui eux étaient disponibles lorsque ces derniers sont en cours.
Lorsque la dite voiture de luxe arriva, Maxime et Raja discutait au comptoir et Ruben les rejoignait.
— Ce son...... réfléchissait Maxime, une Pagani Zonda HP barchetta ! Elle est propulsé par un moteur V12 atmosphérique essence de 5987cm³........
— Je vois que tu es vachement calé en bolide toi, riait Ruben en applaudissant.
À l'extérieur, la dite personne propriétaire entama sa marche jusqu'à l'intérieur du café.
— Vous pensez que c'est un étudiant de première année ? demanda Nour, parce que je connais assez bien les troisièmes années.
— Disons que tous les étudiants n'ont pas encore fait leur arrivée, déclara Ruben.
— Ouais, c'est sur que c'est un première année et il doit être super friqués, renchérit Maxime.
Alors pour le bon plaisir, cette fille fît son apparition. Son charme, ne laissait aucune personne du café indifférent. Sa silhouette de mannequin, sa chevelure si parfaite, sa démarche si soigné. Sans compter son style vestimentaire qui impressionnait......car mes amis, mademoiselle tape à l'œil venait de faire son apparition, j'ai nommé Francesca Elizabeth Darling.
Elle arriva au comptoir et se mise à manipuler son iPhone. De ses airs pod aux oreilles, l'on était pas sûr qu'elle comprenait ce qui se disait près d'elle.
Puis elle eût l'attention de Raja qui s'occupait au comptoir, du moins, c'est ce que cette dernière pensait.
— Je vais la tuer c'est sûre !
— Hey la serveuse......sert moi quelque chose à ma hauteur tu veux !
Elle dit cela avec un ton assez ottin. Cela piqua la sensibilité et la bien séance de notre chère Raja.
— Tu me le prend frais hein ? Et dépêche toi, que les miettes que l'on te paie servent à quelque chose.
Après cette déclaration, Francesca se remise à son téléphone, discutant avec une de ses amis à qui elle faisait des ragots sur le café.
À première vue, Raja semblait très normal, affichant son précieux sourire. Mais au fond d'elle, sa rage faisait rage. Son amour propre et sa fierté en avait pris un coup. Jamais elle n'avait été traité de cette façon, jamais quelqu'un ne l'avait parlé avec tant de mépris. Il ne s'agissait plus vraiment d'un problème d'égalité social, mais de discrimination de la sous classe sociale.
— Tu n'a pas encore fini la serveuse ? demanda Francesca avec un air regretté, ah les pauvres avec leur fainéantise !
Sur cette parole, Raja hésita à remettre la commande. Mais alors qu'elle avait déjà tendue le paquet, la cliente sans se prier arracha cela. Puis elle lui sortie un billet de 100$ en déclarant, avec un air ottin et insultant......
— Je me demande, comment on se permet de mettre à mon service des incapable pareil ! Tu peux garder la monnaie, considère ça comme ton pourboire, que ça te serve à aller voir un coiffeur.......ces cheveux frisés ferai pleurer un nouveau né.
Alors qu'elle ouvrait son paquet, Raja eu une seconde de lâchement et ne supportant plus cette jeune femme, elle parti pour lui en coller une bonne ; mais par chance, elle fût rattraper par Ruben qui était près d'elle.
— Hé la serveuse, s'écria Francesca. Qu'est-ce-que tu voulais faire ? Tu ignore qui je suis ?
— Absolument pas, répondit Ruben ; qui ignore la belle Francesca Darling ?
— Faut rappeler cela à cette petite...... je n'ai même pas de mots pour la qualifier.
Cet à cet instant, que sa copine qui l'accompagnait arriva.
— Qu'est-ce-que tu fiche Frances ?
— T'inquiète Mireille, je pensais que j'avais faim, mais......
C'est ainsi qu'elle lança son paquet à Raja et se retourna, s'en allant avec sa copine.
Sans crier garde, Raja retira son tablier et s'en fuya. Elle était tellement remplie de colère, qu'il fallait qu'elle se défoule.
Elle se mise à courir, car pour elle s'était un moyen d'évacuer. Elle courut près d'un kilomètre, car même si cela ne se voyait pas vraiment, elle était très sportive.
S'étant trop éloigné, elle prise un taxi pour rentrer. Dans la foulée, le chauffeur se trompa d'adresse. Il se dirigea vers Brooklyn, de plus la jeune fille qui paraissait épuisé, s'était endormi dans le taxi.
Lorsqu'ils arrivèrent, le chauffeur réveilla la jeune fille, qui se trouvait bien gênée par la situation. Ne voulant pas comprendre, le chauffeur refusa de la reconduire. Et bien sûr, ce n'est pas comme si la vie était de son côté, elle ne trouva plus de taxi.
Sa rage et sa colère reprirent ainsi de plus belle.
Elle arriva dans une ruelle assez sombre, son téléphone complètement à plat à cause de la musique qu'elle avait suivis toute la journée, elle en était vraiment à se dire qu'elle n'est pas chanceuse.
Dans ce coin sombre, elle remarqua un groupe de voyous qui fumait des clopes.
Lorsqu'ils la virent passé, ils se mirent à la siffler. Elle les ignoraient bien évidemment, passant sa route comme si de rien n'était.
Mais alors, dans son immense malchance, cela ne pouvait se terminer ainsi. Ils commencèrent à la suivre, tout en essayant d'attirer son attention.
À la sortie de la ruelle, elle fût encerclé par ces voyous. Et leur chef s'approcha, avec sa clope dans la bouche.
— Je vous assure les mecs, c'est vraiment pas le moment, murmura t'elle en baissant la tête.
— Qu'est-ce-que que tu viens de marmonner chéri ?
Il passa ses doigts dans ces cheveux, puis il souleva sa tête.
— Hé les gars, vous ne trouvez pas qu'elle est assez mignonne ?
— Sans déconner, répondit l'un des voyous ; mais c'est qu'elle a des cheveux sacrement au vent. Alors mamselle, ont kiffe les cheveux frisés ?
Frisé ! Lorsque Raja entendit se mot, elle eût un flashback rapide de se que Francesca avait dite sur sa coiffure. Un violent sentiment de haine s'en suivit, sa colère refit surface.
Elle en avait plus que marre que l'on s'en prenne à ses cheveux. Alors elle qui voulait évacuer et se lâcher, elle ne s'en priva pas.
Un direct du droit sur le chef des voyous et un bon coup dans les jambes.
C'était tellement impressionnant, que ce n'est qu'après qu'elle se rendit compte de ce qu'elle avait réellement fait. Aussi surprise que les autres membres du gang, qui se sentirent en danger.
— Mais c'est qu'elle a pété un câble la salope, déclara un des voyous en retrait. Elle a mise KO le chef et Jef, allé les gars occupons nous de cette petite poufiasse.
Elle venait de s'attirer les foudres du groupe tout entier, ils sortirent des couteaux et des battes de baseball.
— Mais dans quoi est-ce que je me suis encore fourré moi ? Qu'Allah me protège.......
Au premier coup de batte, elle croyait que tout était fini pour elle, mais elle ne reçu finalement aucun coup. Lorsqu'elle ouvrit les yeux, elle vit une silhouette masculine. Et le temps qu'elle ne puisse bien remarqué la personne, le type en question s'occupait des membres du gang.
Lorsqu'il eurent disparus, il se rapprocha de la jeune femme.
— Michel ? s'étonna Raja, mais.....
— Tu vas bien ? demanda t'il, en proposant à la jeune femme de se relever.
Elle eut à cet instant un sentiment de réjouissance, par sa seule présence il avait réussi à dissiper sa peur.
— Alors comme ça, tu kiffes les quartiers sombres et les bastons avec les petites frappe du quartier ?
— Euh......non pas vraiment, répondit t'elle toute gênée.
— Ouais je me disais bien, souria t'il. Mais sinon, t'es vachement forte pour une fille, si douce au premier regard.
— Euh, non...... s'écria t'elle en cachant son visage avec ses mains ; tu te trompes, je n'avais même pas conscience de ce que je faisais. Vue que..... j'étais super vénère, murmura t'elle ensuite.
— Abon ? s'étonna t'il.
Voyant son regard à ce moment précis, Michel compris qu'il ne serait pas propice de demander pourquoi, alors sans prévenir, il la porta.
— Hey, s'écria t'elle. Mais qu'est-ce que.......
— Ton chevalier servant va s'occuper de tout !
— Fais moi descendre où je cri, dit-elle. Je suis sérieuse, et je peux marcher toute seule.
Il posa alors celle-ci, et attrapa sa main. Elle sentit un autre sentiment monté en flèche, il était casiquement l'inverse du sentiment de colère qu'elle avait ressenti.
Durant le chemin, ils se tenaient par la main telle un véritable couple, ce qui gênait énormément Raja.
Il l'amena jusqu'à l'arrêt de bus le plus proche. Il l'avait offert son manteau, et a payé un ticket pour elle.
— Tu devrait éviter les quartiers du genre à l'avenir......du moins, sans ton chevalier servant !
— Arrête s'il te plaît, soupira Raja. Tu peux reprendre ton manteau tu sais, il ne fait pas......
— Non garde là, insista t'il. Et en plus, je serai trop jaloux si quelqu'un d'autre avait l'honneur de contempler une si belle poitrine, ajouta t'il en souriant.
Elle soupira à nouveau, puis monta dans le bus. À l'intérieur, elle ouvrit la fenêtre et remercia Michel.
— Bonne soirée Raja !
— Encore merci......et, Michel......
Il eût l'impression qu'elle allait lui déclarer quelque chose d'incroyable, mais il fût surpris.
— Oui ma petite Raja ?
— T'es qu'un gros obsédé !
Et le bus embarqua son dernier passager et s'en alla.
Dans le bus, elle affichait un sourire qu'elle ne pouvait s'en détacher.
La nuit allait être longue pour les deux, mais pas assez pour nous.
Le lendemain des l'aurore, Michel faisait le célèbre footing familiale. Il faisait le déplacement jusqu'à centrale Park où il faisait un sport de détente.
Alors qu'ils poursuivaient leurs étirements, ils virent passé Francesca Darling. Elle faisait un footing pour garder la forme, et lorsqu'elle croisa le regard de Michel, il eût se déclic comme on n'en vois qu'au cinéma.
Elle commença par s'arrêter et elle resta figé un instant. Puis elle se rapprocha du groupe de travail de Michel, car pour respecter le temps de son père, il reprit l'entraînement des vieux.
Cela n'était pas vraiment le style de la jeune femme, mais à cause de se regard qui l'avait frappé à l'œil, elle s'y ajouta.
Avec le groupe, elle fit les différents exercices. Au moment de travailler en commun, tous les vétérans se mirent ensemble. Il ne manquait qu'elle, alors Michel se rapprocha.
— Tu veux t'exercer avec moi ?
Le son de sa voix fit chavirer la jeune fille, son sourire la rendait complètement folle.
— Oui..... dit-elle d'une petite voix, si vous le voulez bien !
— Cool, moi et une fille canon.
Cette phrase fit exploser la jeune fille, au point qu'elle lacha un cri de joie.
Ensemble, ils passèrent un assez bon moment. Elle se donnait à fond pour en mettre plein la vue à notre ami, qui ne se gênait pas vraiment pour en profiter.
Des que la séance fût terminé, Francesca eût une assez bonne discussion avec la mère de Michel, apprenant ainsi qu'elle et lui fréquentes la même fac, sans compter qu'il est le fils de la rectrice. Cela l'informa sur le faite qu'il pouvait être assez fortuné comme elle.
Alors lorsque tout le monde fût partie, Michel décida de marcher et il fût accompagné par Francesca.
Ensemble, ils furent un bon bout de chemin, discutant de tout et de rien. Il apprit beaucoup de cette fille, notamment qu'il s'agit d'une petite fille que l'on a forcé à trop vite grandir.
Le soir de cette journée, Michel décida de faire un saut au café près de la fac.
Il était 17h15 et à cet heure, les premiers année étaient presque tous rentrer. Il resta néanmoins une dernière personne, Raja avait décidé de faire une heure supplémentaire après la fin de la journée, afin de rattraper sa mystérieuse fuite après le passage de Darling.
Lorsqu'il entra il ne dit rien, l'observant pendant qu'elle mangeait un beignet. Lorsqu'elle le vit, elle paniqua......
— Oh désolée, je ne vous avais pas vue, s'écria Raja. Que puis je pour...... vous......?
Michel lisait un livre, un roman. Puis il sourit à la jeune fille, qui réagi à ce sourire.
— Je vais prendre ce sourire et un peu de votre temps......ce sera tout merci !
Elle ocha de la tête et retira son tablier, puis elle apporta une carafe de citronnelle avec deux verres.
— Je t'assure, ça va te coûter cher, dit-elle en s'asseyant. Alors, qu'est-ce que tu lis ?
— Elle est passable, mais pas assez belle pour moi !
— Hein ? fit la jeune fille, de quoi tu parles ?
— Orgueil et préjugés de Jane Austen, annonça Michel. Il est considéré comme l'une de ses œuvres les plus significatives et est aussi la plus connue du grand public.
— Intéressant, souria t'elle. Désolée, moi je suis l'exception à la règle.
— Drôle et romanesque, le chef-d'œuvre de Jane Austen continue à jouir d'une popularité considérable, par ses personnages bien campés, son intrigue soigneusement construite et prenante, ses rebondissements nombreux, et son humour plein d'imprévu. Derrière les aventures sentimentales des cinq filles Bennet, Jane Austen dépeint fidèlement les rigidités de la société anglaise au tournant des xviiie et xixe siècles.
— Intéressant ça, dit la jeune fille. J'aime beaucoup les romans d'amour......dit m'en plus.
— À travers le comportement et les réflexions d'Elizabeth Bennet, son personnage principal, elle soulève les problèmes auxquels sont confrontées les femmes de la petite gentry campagnarde pour s'assurer sécurité économique et statut social.
— Je vois, ajouta t'elle. Vue que tu l'as lu, t'aimerai pas me faire un petit résumé ?
— Si tu veux, partons sur le tome 1 de 22 chapitres.......
Il lui fit en un premier temps un résumé, mais alors qu'il le faisait, des clients arrivèrent et ensemble, ils réussirent à se serrer les coudes pour servir la clientèle.
Après cela, ils retournèrent s'assoir afin que Michel termine son résumé.
— Malheureusement il est accompagné de ses deux sœurs, Caroline et Louisa, plutôt imbues d'elles-mêmes, et d'un ami très proche, Mr Darcy, jeune homme immensément riche, propriétaire d'un grand domaine dans le Derbyshire, mais très dédaigneux et méprisant envers la société locale.
— Humm...... réfléchissait t'elle, je ne l'ai pas encore lu, mais ce Mr Darcy ne me plaît pas beaucoup.
— Abon ? Riait Michel, ouais je suis d'accord avec toi. Mais tu ne sais pas tout......Elizabeth observe avec amusement ce petit monde. Si elle apprécie le charmant Mr Bingley, elle est irritée par le fier Mr Darcy qui à leur première rencontre, au cours du bal organisé dans le bourg voisin de Meryton, a refusé assez impoliment de danser avec elle, même si elle en plaisante en disant : « Je pourrais facilement lui pardonner son orgueil s'il n'avait mortifié le mien ».
Pendant qu'il expliquait, elle lisait le livre pour en prendre le bain.
— De plus, dit Michel ; De là naît le "préjugé" qu'elle nourrit contre lui ; préjugé que le séduisant Wickham, officier récemment arrivé qui connaît Darcy depuis l'enfance, entretient soigneusement par ses fausses confidences.
— Oui, répondit Raja ; et ayant donc des motifs personnels pour détester Darcy, elle se montre à la limite de l'insolence lorsque celui-ci, qui apprécie de plus en plus sa vivacité et son intelligence, cherche à mieux la connaître.
— Tu lis vite, souria Michel.
— Ne me déconcentrez pas Mr Darcy junior.
— Attention mademoiselle Elizabeth Benet, répliqua Michel en se levant. Je ne ressemble en rien à Darcy.
— Oui c'est vrai, répondit Raja ; il à plus d'orgueil que toi.
— Et toi petite Benet, tu as plus de préjugés que cette chère Elisabeth !
Une atmosphère propice venait de se créer, Michel se rapprocha d'elle et Raja se leva vers lui. Leur regard, qui n'avaient de cesse de se croiser, eurent à nouveau l'occasion de jouer à ce jeu de drague silencieuse.
Des boum et des bam, voilà ce que faisaient les cœurs de nos amis. Les lèvres de Raja n'attendaient qu'une chose, l'ordre de voler jusqu'à celles de Michel. Michel quand à lui, des papillons lui volaient dans le ventre, il n'avait qu'un désir, la prendre dans ses bras, la faire danser et peut-être vérifiée les mots de que Shakespeare avait prêté à Roméo dans Roméo et Juliette. "Les baiser sincères on le goût de fraise".
Au dernier geste, un imprévu se produisit et voilà que le gérant du café fit son entrée.
Il surpris nos deux amis, qui se sentaient assez gênée.
— Oh, je dérange ? demanda t'il, vous pouvez faire comme si de rien n'était hein !
— Non monsieur Thompson, souria Raja. Entre lui et moi, il n'y a rien de tel.
— D'accord, si tu le dis.
Ainsi malgré une tentative raté, Michel et Raja purent quand même faire le chemin retour ensemble, discutant sur leur nouveau livre en commun.
— Ahh, soupira Michel.
— Quoi ? demanda Raja, et est-ce que tu pourrais arrêté de me mater comme ça ?
— Oui, mais comment le pourrais-je ? Je t'ai déjà dit que j'adore les poches à l'arrière de ton pantalon ?
— Est-ce vraiment mon pantalon que tu regardes ? demanda t'elle, ahh..... Michel......
— Oui ma petite Raja !
— T'es qu'un gros obsédé !
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