Romance & Rentrée

L'université Columbia (officiellement Columbia University in the City of New York ou tout simplement « Columbia ») est une université privée située dans le quartier de Morningside Heights, dans le nord-ouest de l'arrondissement de Manhattan, à New York (États-Unis).

Elle est l'un des plus anciens établissements d'enseignement supérieur aux États-Unis et fait partie du groupe de l'Ivy League regroupant huit des universités les plus anciennes, les plus célèbres, les plus prestigieuses et les plus élitistes du pays.

L'université Columbia fut fondée en 1754 sous le nom de King's College par une charte émanant du roi d'Angleterre George II. C'est ainsi la plus vieille institution d'éducation supérieure dans l'État de New York. Lors de sa fondation, une polémique opposa les anglicans aux presbytériens. Pour les anglicans, l'université devait être clairement liée à l'église coloniale.

La présidence devait être attribuée à un anglican et les services religieux se conformer à la liturgie anglicane. Les presbytériens refusaient ce lien institutionnel redoutant qu'elle ne devienne un lieu de prosélytisme anglican.

------------------🍀🏫🍀--------------------

La rentrée est souvent considéré par un bon nombre comme le premier jour, le jour où l'on vient pour découvrir dans quelles salles, nous passerons la plupart du temps pour nos cours.

L'université de Columbia, ici nos jeunes amis viendront pour notre petite histoire faire de la littérature et de l'écriture dans un sens.

Donc en ce jour du 17 Octobre, l'ensemble des étudiants de l'université se rassemblaient pour la rentrée, notamment une qui était impatiente d'intégrer sa nouvelle école.

Dans l'appartement de son oncle, Raja s'était réveillé vraiment très tôt pour cette rentrée, à t'elle point que à 6h30 elle était déjà prête.

— Bonjour mon oncle !
— Euh..... Nour ? S'interrogea Mohammad, tu vas quelque part ?
— C'est le premier jour de la rentrée, déclara t'elle toute souriante.
— Nour, ria t'il.....ma fille, il n'est même pas encore 7h !
— Papa disait que c'est important de toujours arrivé à l'heure.
— De mieux en mieux, dit t'il. Moi je vais prier et après si l'envie te prend de m'attendre, on ira ensemble, ajouta t'il en s'en allant vers la chambre.
— D'accord mon oncle, acquiesça t'elle. Mais c'est à quelle heure au juste ?
— 7h30, s'écria t'il !

Cependant, toujours à Manhattan et dans les mêmes instant, une certaine jeune fille s'était aussi réveillé et non, elle n'était pas prête comme sa future camarade. Mais, elle ne tarderait pas à l'être, dans l'immense building familiale, les Darling préparaient leurs petites princesses.

Tous le monde couraient dans tous les sens pour préparer miss Francesca Elisabeth Darling, afin que personne ne puisse oublier ce jour. Mais dans l'agitation, un détail pour les préparatifs de notre princesse avait été oublié.

— Stop, s'écria Francesca !

Tous le monde s'arrêta instantanément, à cet instant elle entra dans le salon toute furieuse.

— Non, s'écria t'elle à nouveau !

Inquiet, Raphaël s'approcha d'elle.

— Mon ange, dit t'il, mais qui ya t'il encore ?
— Il manque quelque chose papa, répondit t'elle en boudant.
— Je vois, déclara Raphaël, est-ce ta tenue ? Ton parfum ? Tes chaussures ? Si c'est ça, je t'achèterai toute la boutique si tu le désires.
— Non, s'écria t'elle à nouveau.

Puis Anastasie arriva à son tour.

— Mon bébé, allé viens voir maman !
— Maman, je ne veux plus allé à cette université.
— Mais chéri..... fît Anastasie toute inquiète, d'accord ma puce tu peux rester à la maison et faire des cours en ligne.
— Absolument pas, s'énerva t'elle en allant s'assoir sur le divan.
— Mais qu'est-ce qui ne vas pas alors ? Demanda Raphaël,si tu le veux Albert peut t'accompagner avec la limousine !
— Oui et on peut même la repeindre selon tes choix, ajouta Anastasie.
— Elle parle peut être du livre qu'elle avait commandé, s'écria Alice en passant par le salon.

Tous le monde fût stupéfait, mais comme un sourire apparut sur le visage de Raphaël.

— Mais c'est simple, il s'agit de quel livre ? demanda Raphaël, car si ce n'est que ça, on peut te trouver ça pour le déjeuner de midi !
— Non c'est impossible, dit t'elle, c'était l'un des trois livres de la collection stars édition de James Éliot Ryan. Il est mort il y'a plus d'un an, ajouta t'elle.
— Ça commence à se compliquer là, rétorqua Anastasie.
— Ryan hein ? Je crois que c'est faisable, déclara Raphaël.
— Hein ? S'étonna Francesca.
— Donne moi juste le temps que tu arrives à l'école et tu l'auras, déclara Raphaël.

Une bonne nouvelle pour notre princesse, pour qui les parents seraient prêts à tout pour satisfaire leur petite princesse.

Cependant, plus loin vers Brooklyn, un jeune homme qui aussi intéressé par cette rentrée, se passionnait encore de son précieux sommeil.

La demeure des Ryan habitait la rectrice de l'université de Columbia. Celle ci se disait déjà en retard à 7h45, lorsqu'elle remarqua que son garçon était encore endormi.

— Michel, s'écria t'elle toute furieuse.

Ce dernier entendit sa mère crier, ne prêta pas pour autant attention. Alors, elle monta jusqu'à sa chambre.

— Mais dites moi que je rêve, s'écria Manuela. Michel Sébastien Ryan !
— Hein..... Ma'an..... mais pourquoi tu crie comme ça ?
— Tu sais quel jour nous sommes ? demanda t'elle, bon je dois te laisser.....je suis déjà pas mal en retard.
— Bonne journée Ma'an !
— Jeune homme, dit t'elle toute sérieuse, si par malheur j'apprends que tu as zappé cette journée de cours...... Coldwater sera un véritable paradis, comparer à ce que je vais entreprendre pour toi.

Sur ces mots, elle se dépêcha d'aller au boulot.

Après cette discussion assez éducative, le jeune homme se réveilla une heure après. Insouciant, il alla prendre son petit déjeuné ; il alluma la télévision et au infos, le centre d'attention était focaliser sur la rentrée des grandes universités du pays.

Alors qu'il s'allongeait sur le canapé, il se rappela qu'il oubliait quelque chose. Puis Roger vînt s'assoir pour déjeuner, mais apparemment son déjeuner avait déjà été consommé.

— Bizarre.....marmonna Roger, je croyais que Manuela m'avait fait des pancakes.
— Alors il était à toi, s'écria Michel allongé sur le canapé. J'aurais dû mis attendre, vue le message qu'il y'avais écrit dessus, ajouta t'il en se rapprochant.
— Ah d'accord, répondit Roger.
— Bon je vais faire un tour, dit Michel en s'en allant.

Puis au infos, ils se mirent à parler de la prestigieuse université de Columbia et là Roger se demanda......

— Euh.... Michel, tu ne devrais pas être à la fac ?
— La fac ? S'interrogea t'il, mais..... maman.....la fac.....il est......

Puis il se précipita vers sa chambre et en moins de dix minutes, il redescendit en dévalant l'escalier comme un cascadeur.

— Déjà prêt ? demanda Roger, attend je vais mettre un pantalon et t'accom.......
— Nan, s'écria t'il. Je vais me débrouiller, ma mère va me tuer !

Ainsi il courut jusqu'au garage, mais il se rendit compte qu'il avait oublié les clés de la voiture. Au lieu de remonter chercher les clés, il prit le vélo et fît quelque chose d'audacieux. Il pédalaa jusqu'à Columbia ; à son arrivée, il était complètement épuisée et plus encore, il était complètement perdu dans ce vaste endroit.

Alors il courut vers l'accueil et on lui indiqua l'emplacement de sa classe. Il s'élança dans les couloirs et juste avant sa classe, une vieille dame nettoyait.

— Hein....fit la dame.

Alors qu'elle pensait se faire heurter, elle fût très étonnée lorsque pour l'éviter, le jeune homme fit un salto avant.

— Désolé m'dame !

Puis, il se remit à courir et arriva jusqu'à la classe.

Dans la classe, la rectrice faisait son habituel tour pour voir les étudiants dans leur nouvel environnement, lorsque à la porte un dernier individu se présenta.

Il était tout essoufflé et n'était même pas sûr qu'il s'agissait réellement de sa classe. Alors ce petit jeu de fixage dura quelques minutes, jusqu'à ce qu'il la pose, cette question.......

— Euh..... salut, c'est ici la salle de littérature française ?

À cet instant, il était observer de tous, d'un point de vue très intriguant. Et subitement, la rectrice se mise à applaudir, se moquant de la remarquable et lamentable prestance de notre jeune ami.

— Jeune homme, êtes vous sûr que tout va bien ?

Il observa les différents étudiants présents et les professeurs présents, mais aucun indice.

— Avez vous perdus votre langue jeune homme ? demanda la rectrice toute énervé, où l'usage du language vous a été retiré ?
— Eh bien........

Il commença lentement à avancer et à montrer dans l'amphi pour prendre place.

Cela était très amusant pour les étudiants, ce qui ne se cachait pas de la par des étudiants.

La rectrice quand à elle, se calma par les rires et décida de ne pas faire de scène dès le premier jour de la rentrée.

Cette arrivée abracadabrantesque du jeune Michel ne resta pas inconnu, jusqu'à la fin de la présentation des profs. Alors pendant les quelques minutes d'absence du premier prof de la journée, notre ami fît malencontreusement une rencontre des plus jouissif.

Il était allé faire un tour à la bibliothèque. Une rangé de livre à gauche, une autre à droite, pareil devant et derrière. Voilà avec quoi, les yeux de notre ami, s'illuminait.

Il parcourait les rangés tel un garçon, dans une fête foraine.

Cela étonna particulièrement les autres, dans son extase, il cherchait un livre en particulier. Il frouilla sur la rangé que lui avait indiqué la bibliothécaire, jusqu'à tomber dessus.

Le destin, joua donc son premier tour de carte ! Il tomba sur ce livre, avec une jeune femme. Le contact entre leurs mains, eût comme un effet électrisant. Leur regard se croisèrent sans se détourner, comme s'il s'agissait d'une bataille de regard entre ces deux là.

Puis à force de se regarder ainsi, cela devenait indirectement gênant, pour ces deux là, qui ne se connaissent pas.

Waouh, ça devrait être un crime d'être aussi belle ! Pensa le jeune Michel sur le coup.

Il était comme suspendu dans le temps, comme si le regard de la jeune fille, l'avait littéralement envoûté.

Mais c'est qui lui ? Pourquoi il me regarde comme ça ? Si c'est yeux n'était pas d'une telle sincérité, j'aurais juré, qu'il s'agit d'un pervers. Pensait également la jeune femme.

Ce moment assez gênant entre nos deux amis, allait malheureusement toucher à sa fin, car il faut une fin à tous.

— Je vois que tu t'intéresses à ce livre, tout aussi bien que moi ; déclara Michel les yeux rivés sur la jeune fille. Si c'est le cas, alors prends le !

Boum !

— D'accord, dit-elle.

C'est ainsi qu'ils se séparent, chacun allant de son côté. Malgré cela, ce brève moment entre eux, leur a laissé des traces.

Après quelques minutes, il fallait déjà retourner en classe. Là, notre ami fît une nouvelle rencontre assez particulière, alors qu'il pensait à quelque chose d'assez anodin.

La personne était un jeune homme de son âge, il débuta le dialogue dès qu'il prit place prêt de Michel.

— Alors comme ça, c'est toi le rigolo de la rentrée ?
— Le quoi ? s'étonna Michel, donc c'est comme ça, que tout le monde me vois ?

Son camarade se mit à sourire, mais pas pour ce moquer, mais de compassion. Alors que Michel l'eût compris, il décida de prendre les devants.

— Moi c'est Michel Ryan !

Cette main et ce sourire, ce n'est peut-être rien pour quelqu'un d'ordinaire, mais cela devait marquer le début d'une belle amitié.

— Enchanté, moi c'est Miguel Emmanuel Oliveira !

La discussion entre ces deux là était tellement fluide, c'était comme si ils se connaissaient depuis toujours.

Puis le prof entra, et commença le cours. Mais alors que le cours se passait, Michel était comme perdus dans ses pensées.......

Sans déconner, cette fille, c'est un plaisir pour les yeux ! Sans parler de son parfum, elle était trop...... bordel, un véritable ange. Je me demande bien........

Perdus dans ces pensées, notre ami ne compris lorsque le prof l'appela et encore moins quand son nouvel ami lui fit signe.

— Yo mec !

Il affichait un sourire d'une telle sincérité, sans compter son regard évasif, qui fît ravivé dès que la porte de la classe fut ouverte.

Elle était là, avec ces lunettes, son mètre soixante-dix-huit, ces cheveux noirs lissé et emballer dans un foulard, d'un blanc si pur, sans compter sa voix si douce, qui envahissait littéralement notre ami.

— Je suis désolée madame, s'inclinait la jeune femme. J'ai été plongée dans une lecture et je n'ai pas vu l'heure.

Elle attira vivement l'attention de tous, alors qu'elle montait s'asseoir.

Lorsque le cours repris, la prof présenta un livre pour le cours.

Elle présenta le livre intitulé "Le mariage de Figaro".

Organisée selon les codes de la comédie, la pièce se déroule dans le château du comte Almaviva, où Figaro, le valet, prépare son mariage avec Suzanne, la femme de chambre de la comtesse. Cependant, le comte Almaviva, qui a des intentions envers Suzanne, tente d'entraver leur union.

C'est sur cet œuvre, que le cour de littérature française de Mme Elène Chapro.

— Alors, qui peut nous parler de l'œuvre ? demanda Mme Elène.

Comme elle le pensait, c'était un désintéressement général. Quoique une personne en particulier leva la main, il s'agissait là de la fille musulmane qui avait envoûté Michel.

Elle se leva donc et sorti le livre en question.

— Le "Mariage de Figaro" offre une critique sociale satirique de la noblesse et explore les relations entre les maîtres et les serviteurs.
— Bonne description, mademoiselle......?
— Raja Mephisto Ryad, répondit la jeune fille en s'asseyant.
— Alors en observant la pièce en elle même, dit la prof. Que pensez vous des personnages ?
— Moi, dit la jeune Raja ; je suis très fan de Suzanne, qui s'est tant battus pour son ho.....

Avant qu'elle n'eut terminer, Michel l'interrompit en applaudissant. Cela étonna assez les étudiants de sa classe, particulièrement la jeune Raja.

— Marcelline, elle n'était pas très douce certe. Mais elle aussi était amoureuse !

Sur cette réponse, la jeune femme souria.

— Marceline, amoureuse de Figaro je ne le réfute pas, mais elle complotait avec Bartholo pour empêcher la noce des deux amoureux.
— L'amour est un sentiment d'une telle pureté, déclara Michel. Son goût, sa tendresse, son parfum...... imaginé un de ces matins, décrit par Maupassant dans son roman "Une Vie". Le vent dans les cheveux, la sensation du soleil levant sur la peau, le chant des oiseaux, qui s'envole à l'aurore......

Sur cette description plus que magnifique, la salle entière en fût subjugué, un silence fou accompagnait les paroles de Michel. Cela réussi même à émerveillé, sa camarade qui revint même sur ces mots.

— Je l'avoue, vu comme ça c'est à rediscuter.

C'est là, qu'un débat se créa entre ces deux là. Un débat qu'ils poursuivirent, lors de la pause. Ils se retrouvèrent à nouveau à la bibliothèque, où il tombèrent encore nez à nez.

Cette fois-ci, c'était pour une place. Ce soir là, la bibliothèque était bondé d'étudiants ; la mythique visite du campus, alors il ne restait qu'une seule place.

Ainsi perdu dans son téléphone, Raja ne prêta pas attention, et Michel, qui discutait avec son nouvel ami fît de même.

Ainsi lorsque Michel posa la main sur la dernière chaise, directement Raja fît de même. Encore cette fois, le destin jouait avec ces deux là. Les cœurs des ses deux là se mirent à nouveau à s'emballer.

- Lui ?
- Elle ?

S'était assez bizarre, car aucun d'eux ne voulais lâcher l'autre. Comme si, ils étaient scotchés l'un à l'autre.

Leurs regards ne cessaient de se tenir tête, puis la jeune fille souria et comme avec le le livre le matin, elle fût comme lui à ce moment.

— Je suis désolée, tu es arrivé avant moi !
— Euh.... fît le garçon, non.....

Et là il posa sa deuxième main sur celle de la fille, ce qui fit réagir celle ci d'une façon assez étrange.

Euh.... mais c'est quoi son problème à lui ? Pensa la jeune fille, avec son visage qui rougissait au regard du garçon.
Elle devient toute rouge soudainement, j'ai fait quelque chose ?

En y réfléchissant, c'est là qu'il vit se qu'il avait fait. Cela n'étant rien de très particulier pour certaines personnes, mais pour ces deux là......il tenait la main de Raja dans ces deux mains, comme s'il y'avais quelque chose entre eux.

Alors qu'il l'eût remarqué, il relâcha rapidement sa main et elle lâcha un cri assez particulier, ce qui attira l'attention de tous.

Tous virent la jeune fille qui était complètement gênée et Michel, qui souriait bizarrement en la regardant. Ainsi des bruits sous les tables commencèrent, ils ont peut-être mal interprété la situation, mais ce n'est pas ça qui le déstabilisa. Il fut assez étonné du comportement, que Raja eu après.

Elle qui avait laissé son sac tombé, le ramassa et s'en alla comme si de rien était. Ainsi notre ami vît celle-ci passé devant lui, affichant un visage septique.

Cela lui trotta dans sa tête, pendant un bon moment. Au cours d'art, il était complètement perdu dans ses pensées, se posant une seul question en boucle.

Me déteste t'elle ?

C'était la même chose à la sortie, alors que son nouveau pote lui racontait une blague qu'il avait entendu.

Lorsqu'il se rendit compte que Michel ne le suivait pas, il lui tapota à l'épaule, attirant ainsi son attention.

— Alors mon vieux, on pense à la nouvelle ?
— Hein ? s'étonna Michel, comment tu sais ça ?
— Humm..... disons que j'en avais aucune idée, c'est toi qui vient de me le dire. Alors, petit pervers tu fantasme sur elle hein ?

Sur ces mots, Michel fût immédiatement frappé par un sentiment de remord, qui lui traversa tout le corps.

— Bien-sûr que non, répondit Michel. Qu'est-ce-que tu vas imaginer ?
— Mouais, dit Miguel pas convaincu. Bon et si on se prenait un McDo sur le chemin ?
— Ouais pourquoi pas ?

Après cette première journée de cours, il rentra à la maison où il trouva sa mère.

L'ambiance était assez calme, car il avait réussi à aller en cours et éviter la menace de sa mère.

Cependant, il n'était pas le seul à qui cette journée avait marqué. À Manhattan, où Raja et son oncle vivait, la journée passée se faisait aussi ressentir.

La jeune femme, n'arrêtait pas de pensée à cette journée qu'elle avait passé. Au point où lorsque son oncle lui parlait, elle était comme dans un autre monde.

— Tout va bien Nour ?
— Oh oui mon oncle, je réfléchissais.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top