Romance & Jalousie
L'amour est considéré comme le sentiment le plus pure au monde, il advient de pensé que les amoureux sont les plus fous de cette terre, car le simple fait de revoir leurs biens aimés, leurs fait perdre la tête.
Mais il existe aussi les danger de l'amour, des situations et des risques, qui peuvent corrompre l'amour entre deux personnes qui s'aiment vraiment.
Des épreuves que le destin met sur la route des jeunes tourtereaux à test afin de vérifier s'ils peuvent avancer ensemble dans la terreur et la peur de se séparer où de ce perdre à jamais.
Mais comme le veut la bien séance, l'on se doit d'aimer malgré ses coups bâts du destin. Car comme l'a dit voltaire "L'amour a ces raisons, que la raison ignore". Allé et aimé mes petits papillons !
Le weekend étant terminé, les étudiants se devait de retourner en cours. La semaine commençant bien évidemment avec le cours de madame Elène Chapro, sur le cours de littérature française.
Comme à la coutumier, Michel était encore en retard. C'était le sujet principal entre son meilleur pote Miguel et la belle Raja.
— Il exagère, souria Miguel. Il est presque 7h55, c'est vrai que madame Chapro est gentille..... mais il ne faut pas abusé, tu ne trouves pas Raja ?
— Il fait ce qu'il veut, ce n'est pas mon problème.
Elle était perdue dans le livre qu'elle lisait, il s'agissait du livre que Michel l'avait prêté. Elle avait tellement aimé le résumé qu'il l'avait fait, qu'elle avait décidé de le lire.
Et voilà que monsieur Michel arriva, il se fît bien sûr engueuler, jusqu'à ce que la demoiselle qui l'accompagnait ne se présente. Elle déclara être la cause de son retard, elle se présenta. Tous avait déjà au moins entendu parler d'elle, elle la plus sexy et la plus belle fille de Manhattan, d'après le people.
— Moi Francesca Elizabeth Darling, je ferai de mon mieux pour ne pas décevoir cet établissement.
Tous ces camarades se mirent à applaudir, du moins pour la plupart.
Michel alla s'asseoir, près de son ami Miguel et de bien sur Raja.
— Tu m'impressionne poto, dit Miguel en observant Francesca. Tu t'es dégoté une sacré meuf.
— De quoi tu parles ?
— Darling brother, répondit-il. Cette meuf est une bombe, et en plus elle est friqués de ouf.
— Tu te trompes lourdement, déclara Michel. C'est pas ma meuf, c'est juste une superbe copine. Mais c'est vrai que c'est un canon, elle ma tenue le bras tout la matinée et crois moi.....je peux t'assurer, physiquement cette meuf c'est du lourd, ajouta t'il en riant coquinement.
Pendant qu'il riait avec son ami, il entendit comme un crack derrière lui. Lorsqu'il se retourna, il vit une Raja assez furieuse.
— Sale.... obsédé !
Après le cours, la belle Francesca se rapprocha de Michel. Lorsque le regard de la Francesca et se croisèrent, un sentiment d'irritation entre les deux jeunes femmes naquit.
— Darling, dit Raja.
— La serveuse, répondit Francesca.
La tension entre les deux, mirent la puce à l'oreille qu'elles se connaissaient. Puis sans crier garde, Raja se leva et s'en alla.
Michel était un peu septique sur cette situation.
— Je vois que tu connais déjà Raja ? demanda Michel.
— Ouais, piafa Francesca. Elle a essayé de m'agresser une fois.
— Abon ?
Puis elle se pencha légèrement vers la droite, observant Miguel et là.....
— Waouh, fît t'elle. C'est du Versace ?
— La dernière sortie, souria Miguel.
— Je kiffe, réagi t'elle.
Alors qu'il discutait de mode, Michel en profita pour s'en aller à la recherche de Raja. Dans les couloirs, on le regardait avec admiration pour les uns et mépris pour les autres. Mais ne prêtant pas attention, il se dirigea vers la bibliothèque où il était sûr de trouver Raja.
Elle avait un coin préféré, avec lampe. Chaque fois qu'elle descendait à la bibliothèque, elle s'y rendait toujours.
— Bonjour toi, dit Michel en s'asseyant sur la table.
— S'il ne fallait que des tables pour s'asseoir, le créateur de la chaise serait un idiot, annonça la jeune femme.
— Alors qu'est-ce que mademoiselle lit.....?
Il arracha le livre qu'elle lisait et regarda de plus prêt. Elle le hurla dessus et arracha le livre de ces mains, ce qui lui fit éclater de rire. Puis il tira une chaise et s'assit devant elle, l'admirant dans sa lecture.
— Qu'est-ce que tu regarde ?
— Stendhal a dit un jour, "la beauté, c'est la promesse du bonheur", déclara Michel. Tu rayonnes de jours en jours, te regarder est un véritable plaisir.
À ces mots, elle baissa légèrement son livre et regarda ses yeux pour voir s'il était sincère. Puis elle le souleva à nouveau.
— Arrête tes bêtises, ça ne marche pas avec moi, répondit-elle de façon gênée.
Il attrapa les mains de la jeune fille et baissa le livre.
— Ne soit pas si modeste, car tout ce que je dis est vrai. Être en ta présence, c'est comme admirer un coucher de soleil en Méditerranée. Ta voix résonne en moi comme un concert de Beethoven, sans compter que ta magnifique et délicate peau m'apaise comme une berceuse.
Elle rougissait casiquement à vue d'œil, son regard pétillant la faisait partir en vrille.
Il avait le regard assez fuyant, sur tout qu'elle avait retiré son manteau, si vous voyez se que je veux dire.
Elle ferma son livre et leva la tête du jeune homme.
— Hé petit obsédé, mon visage est plus haut, dit-elle en souriant. On rentre en cours ?
— Bien sûr ma lady !
Ils se dirigèrent vers la salle 108 du bâtiment B, où ils feraient cours de poésie et écriture avec Mme Frantz.
Mais avant cela, Raja voulut se rincer le visage. Alors que Michel l'attendait dehors, il vit passé Francesca.
Elle accourut vers lui pour qu'ensemble, il fasse route jusqu'à la salle de cours. Il l'informa qu'il attendait Raja, qui se debarbouillait au toilette.
Elle n'était pas ravie de cette nouvelle, car elle considérait que Raja ne s'intéresserait à lui que pour son argent.
Alors elle prise une initiative des plus inattendus, alors que Raja sortait des toilettes, elle attrapa Michel subtilement et l'embrassa.
— Lorsque tu m'as dit que ma présence te plaît..... tant..... j'ai.....
Elle fut témoin d'une scène assez audacieuse, qui était particulièrement ignoble pour elle.
Bam !
— Mais......
— Raja, dit Michel tout gênée ; je peux tout expliquer.
— Ne te fatigue pas, dit elle en s'en allant.
Son cœur était comme touché, elle se sentit mal tout à coup. Elle fonça ainsi jusqu'à la salle de cours.
— Qu'est-ce-que j'ai fait bon dieu ?
— Elle a quoi la serveuse ? demanda Francesca, bon on y va chouchou ?
Arrivé en salle, Michel alla s'asseoir près de son ami Miguel comme d'habitude. Mais il fût suivis par Francesca, qui ne le lâchait plus.
Il s'en voulait tellement pour cette situation. Pendant plus d'une heure, il ne faisait que regarder Raja. Elle paraissait si calme et détendu, comme si la situation ne l'affectait pas.
Alors, que la fin du cours arriva, Mme Aloïse Frantz partagea des exposé. Le but étant d'évaluer la capacité des étudiants à travailler en groupe. Elle forma des groupes de cinq, et le dernier groupe était constitué de Miguel, Michel, Raja, Natalie et bien évidemment Francesca Darling.
Lorsque ce groupe fût annoncé, les deux filles se jetèrent des regards pas très sain.
À la sortie, il ne restait plus que ces cinq en classe.
— Waouh, s'écria Miguel ; que des canons dans notre groupe.
Nathalie se rapprocha, elle posa des tas de livres devant Michel qui avait la tête baissée sur la table.
Et se fût au tour de Raja de se rapprocher, elle préféra s'asseoir devant tout le monde, pour ne pas être près de Francesca.
— Chouchou, il faut que tu parles, dit Francesca en caressant délicatement la tête de Michel.
— Il pique un roupillon le bébé ? demanda Miguel en lui donnant une bonne tapette dans le dos ; debout fainéant.
Lorsqu'il se leva, il avait une tête d'enterrement, comme s'il venait de se réveiller. Il baya un coup et attrapa un livre.
— Les poèmes de Emily Dickinson, s'exclama Miguel.
— Jamais lu, déclara Francesca.
— Emily Dickinson (1830-1886), annonça Raja ; n'est pas seulement l'un des plus grands poètes américains.....c'est aussi un personnage mythique. Toujours vêtue de blanc, cette femme mystérieuse, à l'âge de trente ans, se mura à jamais dans la demeure familiale d'Amherst, son village natal, en Nouvelle-Angleterre, et passa le reste de sa vie à contempler le monde depuis sa fenêtre.
Tous la regardait d'émerveillement, même si pour un rat de bibliothèque comme elle, ce n'était que normal.
— C'est sur ça que tu veux exposer Raja ? demanda Nathalie, car vu tes connaissances......
— Si elle est la seule à la connaître je m'y oppose, déclara Francesca.
— Hein ? S'étonna Raja.
— Moi non plus, je ne connais pas, ajouta Miguel.
Elle paraissait bien stupide, car pour la première fois, ces connaissances ont produits l'effet inverse.
— Celle que ses proches surnommaient la "poétesse à demi fêlée" ou la "reine recluse" n'avait qu'une obsession, écrire......elle a laissé des milliers de lettres et de poèmes. Ironie de l'histoire.....sur les deux mille poèmes ou presque que nous lui connaissons, six seulement furent publiés de son vivant.
Michel sauva le coup, car Raja paraissait presque comme une folle.
— C'est une femme, qui a révolutionné la poésie américaine, dit Michel le sourire aux lèvres. C'est une femme sur qui j'aimerais exposer, pas toi Raja ?
— Euh....si, elle est très connue et sa notoriété n'a d'égal que son talent..... oui pourquoi pas ? De plus c'est toi qui a été choisi comme chef de groupe, alors.....
Sur cette déclaration, Miguel se rangea, Francesca s'accrocha sur Michel et Nathalie elle aussi accepta.
— Adjugé vendu, s'écria Michel. Je vais m'occuper de vous fournir des œuvres de Emily Dickinson. J'ai chez-moi des exemplaires de tout ces six livres publiés.
— Super, s'écria Francesca en lui donnant une bise.
Cet atmosphère, allait soit être très pesante et dur à supporter pour certains, soit aimante et romantique pour d'autres.
À la sortie, Raja et le groupe se separèrent devant l'entrée du campus. Miguel accompagné de Nathalie, avait son travail du soir au booling, Francesca prise sa voiture.
Il ne restait que Raja et Michel, qui allaient aussi tout les deux dans la même direction.
Lorsqu'ils marchaient ensemble, l'atmosphère était assez détendu. Raja lisait son livre et Michel écoutait de la musique.
Lorsqu'il eût marre, Michel brisa le silence.
— Tu kiffe la musique ?
— Oui, répondit Raja.
— Quel genre de musique ? Parceque moi, j'aime beaucoup le rap.
— Jamais écouté, répondit-elle.
— Sérieux ? Lil Wayne, Taylor Be Stallone, Nicky Minaj, Drake.....
— Non !
Puis le silence s'imposa à nouveau, comme si de rien n'était.
À la traversée d'une ruelle, le soleil commença à se coucher et le spectacle était magnifique.
— C'est magnifique, souria Raja.
— Oui, un peu comme toi, répondit Michel.
Elle se retourna dès lors et le regarda droit dans les yeux. Puis elle changea d'attitude et traversa rapidement la route. Il se dépêcha de la rattraper, jusqu'à ce qu'il arrive à son niveau.
— Mais attend moi Raja, si tu es fâché parle moi s'il te plaît.
Enfin il se décida à parler du sujet sensible, car sa lui rongeait de ne pas savoir où elle était sur la question.
— À propos de ce qui s'est passé, dit-il ; parle moi s'il te plaît !
Elle continua son chemin comme si de rien n'était. Il la suivait sans rien dire, patientant qu'elle daigne lui dire quelque chose.
Arrivé devant le café où elle travaille, elle ouvrit la porte et s'arrêta un instant.
— Entre Francesca et moi, ce n'est pas très cline, déclara la jeune femme. Je la déteste, pour des raisons qui ne nous concerne ; entre toi et moi, on est juste camarades, ajouta t'elle tristement.
— Raja !
— Je te l'ai dit, déclara t'elle ; mes problèmes se sont mes affaires et elles ne concernent personne. Ce....
Elle baissa la tête, et regarda le sol. Puis elle leva la tête, prise une grande inspiration.
— Ce que tu fais, avec qui tu le fais, ne me concerne pas, dit-elle en souriant. Entre toi et moi, il n'y a pas de problème..... petit obsédé.
Ces paroles souriante de la jeune femme, redonna directement le moral au jeune homme. Puis tout les deux se separèrent, Raja entra dans le café pour débuter son service.
Mais néanmoins, n'oublions pas que parfois notre corps pense une chose et nous l'autre.
Après ces trois heures de service, elle devrait rentrer chez elle. Surprise à la sortie, son oncle était là. Il s'y était arrêté pour acheter un café, et ensemble ils repartirent.
Dans la voiture, notre amie était très pensante. Se remémorant ses dernières paroles adressé à Michel, avant qu'ils ne se séparent.
— Pourquoi j'ai cette sensation ? Pourquoi..... ai-je l'impression d'avoir menti ?
Elle se posait ces questions sans cesse, et son oncle s'en rendait compte.
— Un problème ?
— Oh non mon oncle, répondit-elle. Je suis juste un peu fatiguée.
— Je vois, dit-il. Orgueil et préjugés, j'ai longtemps médité cette œuvre...... pauvre Darcy, qui souffre sous cette Elizabeth Benet.
— Hein, fît Raja. Comment ça il souffre sous Elizabeth ? Elle s'est le sum et lui avec son orgueil démesuré, il.....ahh ça non !
— Ma petite Nour, c'est moi qui te le dit.
C'est ainsi que super tonton réussi à chasser les mauvaises pensées de notre amie, permettant à celui-ci de bien terminer cette journée, qui fut remplie d'obstacles.
Le lendemain, au tour de treize heures, Raja arriva fraîchement du café où elle avait fini son service du matin.
Elle arriva avec les idées pour l'exposé, mais l'atmosphère qu'elle trouvait dans les couloirs était assez mouvementé.
Elle entendit au passage des rumeurs selon lesquelles Michel et sa nouvelle petite amie, avait décidé d'être les candidats fare pour le bal organisé pour l'accueil des nouveaux.
Lorsqu'elle arriva dans la classe, elle vit les étudiants assit. À l'avant se trouvait Mme Aloïse, qui devrait organiser le bal.
Raja arriva et alla s'asseoir au fond à l'arrière, près de Miguel.
— Salut toi !
— Bonjour Miguel, je vois que ton pote fait encore les jolies cœur.
— Comment ne pas, répondit le jeune homme. Cette meuf, c'est la petite amie parfaite. Faudrait être aveugle pour ne pas le voir..... même Michel peut le comprendre.
Suivant cela, le regard de Raja changea. Miguel s'en rendit compte et compris quelque chose.
— Mais..... peut-être qu'il ne pense pas comme moi hein, déclara Miguel.
— Laisse tomber, dit-elle en se levant.
Lorsque Raja sortie de la salle, elle fût interpellé par Francesca. Sachant que c'était elle, elle ne voulut s'arrêter, mais par politesse, elle s'arrêta.
— Alors comme ça, tu t'appelles Raja Ryad..... allias la serveuse.
Cette qualification, n'était pas bien prise par Raja, qui se retourna directement.
— Il paraît que mon mec t'affectionne particulièrement.
— Ton mec ? s'étonna Raja, de qui tu parles ?
Francesca sortie son téléphone, et montra une vidéo à Raja. Dans cette vidéo, Michel était avec elle dans une des salles du bâtiment. Le jeune homme lui déclarait sa flamme, l'embrassant volontairement.
— Je ne savais pas si tu étais au courant, alors je voulais te prévenir.
— Waouh, souria Raja. Et on peut savoir pourquoi tu penses que je devrais être au courant ? Demanda t'elle en se rapprochant de Francesca.
Les deux jeunes femmes se dressaient l'une face à l'autre, yeux dans yeux. L'assurance et l'audace de Raja, réussi à ébranlé l'orgueil de Francesca.
— Tu peut sortir avec qui tu veux, je.....m'en..... contre...... balance ! Maintenant, petite Darling, toi et qui tu voudrais, n'êtes pas le centre de l'univers. Et si s'était le cas, moi je m'en fiche.
Sur ces paroles pleines d'assurance, Francesca recula d'un pas.
— Comment oses tu ?
— J'ai pas bien entendu, tu as quelque chose à dire ? demanda Raja, et puis tu sais quoi, je m'en fous.
Elle se retourna, et s'en alla. Puis elle s'arrêta un instant, se retourna avec un immense sourire.
— Hé Darling, je voterai pour toi. Ce prix de pétasse t'irait à ravir crois moi.
Elle reparti instantanément, le cœur en joie. C'était comme si elle venait de gagner une bataille.
Elle alla à la bibliothèque, et y passa le reste de la journée.
Les jours passèrent et Raja eût une petite surprise le vendredi lorsqu'elle arriva. Elle s'était absenté pour retourner chez elle, pour s'occuper de sa mère malade.
Dans les couloirs comme à la bibliothèque, tous la regardèrent d'un mauvais œil. Ne se reprochant rien, elle ignorait radicalement les regards.
Puis au cours de littérature américaine et anglaise, elle sentit le même effet. Elle l'avait remarqué qu'elle était fuit par tous et majoritairement les filles.
Miguel arriva par derrière et s'asseya près de Raja.
— Tu ne m'évite pas toi aussi ?
— Donc tu t'en étais rendu compte, dit-il. Je ne te savais pas autant extrême.
— Comment ça ?
C'est alors qu'il l'expliqua le comment et avec son téléphone, il montra le pourquoi.
Dans la vidéo, elle vit sa discussion passé avec Francesca. Tout était normal, jusqu'à la fin où elle vit une scène complètement divergente. Dans cette scène, elle offrit une sacré claque à Francesca, suivis de ses déclarations qui ont réellement suivis.
C'était là quelque chose de grotesque, et le pire étant que la vérité y était présente à 97%.
Elle était très effrayé par celà, et lorsqu'elle vît cela, elle commença à voir réellement le regard des gens au tour d'elle.
— Hé Raja !
Elle eut un moment d'égarement et posa son front sur le banc. Miguel s'inquiétait beaucoup, lorsqu'elle se leva, elle s'empressa vers la sortie et lorsqu'elle ouvrit la porte, elle tomba nez à nez avec le doyen.
Ensemble ils se dirigèrent vers le bureau de la rectrice. Là, elle vit une Francesca la joue bandé et pleurant sur l'épaule d'un Michel assez intrigué.
L'accusation fut émise et la preuve faites. Raja se défendit du mieux qu'elle pu, mais tous étaient contre elle malheureusement.
Puis elle regarda la seule personne de la pièce qui comptait pour elle, mais lui aussi détourna son regard.
Crack !
Elle sortit du bureau de la rectrice la tête baissée et le regard vide. Sa haine était plus que jamais vive, elle ouvrit la porte et claqua celle ci en sortant.
Dans le couloir, elle jetta son livre dans la poubelle.
À l'intérieur, les regards l'enervait, les dis selon lesquelles elle aurait agressé la copine de Michel la frappait droit au cœur.
Elle arriva au dernier étage du dessus et monta sur le toit et s'assise dans un coin.
Comme si la journée n'allait pas déjà assez mal, il se mit à pleuvoir. Se soir là, elle resta sur la pluie.
Trente minutes après, son oncle arriva. Il la trouva assise à terre, il l'embarqua jusqu'à sa voiture, pour la ramenée à la maison.
Dans la voiture, elle resta silencieuse, ce qui n'était pas le cas de son oncle.
— Maudit soit cette fille, elle n'a pas honte ? Comment oses t'elle.....
— C'est quoi l'amour ? demanda Raja, est-ce que aimé se ramène à la souffrir ?
— Raja ?
— C'est vraiment pathétique, souria t'elle.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top