Romance & Déception & Désillusion

Les études constituent la fondation de l'éducation, qu'un apprenant désir. Dans cet esprit, ils se donnent les moyens de pouvoir apprendre et étudier, dans les différents cadres approprié à cet effet.

À ce propos, il n'est pas à ignorer que bons nombres de stress et d'épreuves sont à attendre. La vie en milieu scolaire n'est pas toujours rose et parfois, il nous ait imposé des épreuves casi déloyales, qui nous font perdre la raison et au sorti de là, seule la déception et la désillusion nous attendent.

Un jour Léon Tolstoï à écrit : "Les deux guerriers les plus forts sont le temps et la patience"; espérons ainsi que nos amis seront le comprendre.

Après le sale coup que Francesca a fait à Raja, cette dernière n'avais pas remise pied au campus tout le restant de la semaine. Mais la semaine qui suivi, elle se présenta au campus. Le conseil d'administration du campus, avait décidé de régler se problème par une sorte de procès.

Madame Luna, avocate au barreau de New-York, était à Columbia enseignante en droit des affaires sociales. Elle serait dans ce procès, le juriste qui donnerait le verdict.

Le prof de littérature française, Mr Mohammed, avait longtemps discuter avec sa protégé, afin qu'elle ne se laisse pas faire.

Elle affichait un air assez détendu, comme si elle allait au mieux de sa forme.

Elle entra dans les couloirs, comme si de rien n'était, le visage sérieux, les cheveux attachés et ses lunettes porte bonheur.

Les regards lui passait au travers comme de l'air, jusqu'à ce qu'elle arrive en salle de cours. Là aussi, ses propres camarades la regardaient avec ces yeux de préjugés. Insouciante de cela, elle alla s'asseoir à sa place habituelle.

Elle mise ses écouteurs, sortie ses cours et se mise à réviser. Dès son arrivée, Miguel se dirigea immédiatement vers elle.

— Yo !

Elle leva les yeux vers lui, puis elle retira ses écouteurs.

— Salut Miguel, nouveau ta coiffure..... je kiffe !

Après ça, elle retourna à sa lecture. Intrigué, Miguel se rapprocha ; il prit place prêt d'elle. Il commença par lui toucher le front, vérifiant si elle n'avait pas de fièvre.

— On peut savoir ce qui te prends ? demanda t'elle le visage décontracté ; tu as l'air bizarre.
— Sérieusement, s'exclama t'il. Et c'est toi qui me dit cela !
— Hein ?
— Genre tu as un rendez-vous avec la cours martial et avec une certitude de te faire exclure.......

Elle fût assez surprise de la réaction de Miguel, qui donnait l'impression de s'inquiéter. Elle regarda sa montre, ferma son livre et rangea ses affaires.

— Hé ne t'inquiètes pas pour moi, dit-elle en lui caressant délicatement la gou. Ce n'est pas grave et en plus, je n'ai rien à me reprocher.
— Si tu le dis, répondit t'il en attrapant la main de la jeune fille. Je suis de tout cœur avec toi, tu as certe un fort caractère, mais tu n'es pas ce genre de personne.

Ces paroles sonnèrent aux oreilles de la jeune fille, comme un chant de consolation, car depuis ce malentendu, elle en avait besoin. Elle le serra fort dans ses bras, avant de prendre son sac pour rejoindre la salle des profs.

Cette scène ne passa pas inaperçu aux yeux d'une certaine Francesca, qui n'en avait pas raté une seule miette.

Cependant, Raja venait d'arriver dans la salle des profs où elle devrait régler ses comptes.

Dans la pièce, elle était assise au centre de la pièce. À sa gauche et à sa droite, des profs étaient assis, patientant le début. Devant elle, se trouvait un bureau et une chaise.

Après quelques minutes d'attente, voilà qu'arriva celle qui jugera cette affaire. Mais elle n'arriva pas seule, car Francesca arriva à son tour.

— Bien, nous pouvons commencer, déclara madame Luna.

Face aux différentes déclaration qui étaient faites, Raja ne semblait pas vraiment le prendre la chose au sérieux. Ce qui attira assez rapidement l'attention de Mme Luna.

— Mademoiselle s'ennuie à ce que je vois !
— Oh non, dit-elle. Je ne sais juste pas pourquoi l'on me fait subir cette scène......si c'est déjà ma sanction, alors vous l'avez bien trouver.

La situation paraissait moins certaine après une telle déclaration. L'avocate fût assez intrigué, à t'elle point qu'elle arrêta tout ce qui se produisait. Elle se leva et se rapprocha de Raja, qui se leva instantanément.

Les deux femmes se regardèrent droit dans les yeux, puis la dame prise sur elle de demander clairement et sincèrement......

— L'as tu fais ?

Raja se mise subitement à ressentir un sentiment particulier, qui l'offrit une sorte de réconfort au point qu'elle en versa quelques larmes.

— Je n'ai rien fait.... madame...... Luna !
— Bien ma petite !

Mme Luna retourna à son bureau et annonça à tous que cette affaire n'avais ni tête ni queue, mais que pour un bon compromis, les deux parties recevront des dommages collatéraux.

Raja serait affectée à la bibliothèque pour la ranger après les cours chaque jour pendant un mois et Francesca l'impossibilité de participer au bal qui ferait élire le roi et la reine.

Cette décision ne plus pas à mademoiselle, qui se précipita par la suite pour demander explication au près de Luna.

La discussion n'avais pas vraiment de sens pour la dame, qui lorsqu'elles se retrouvèrent seul, Luna attrapa Francesca et d'un froid immense.....

— Sachez mademoiselle Francesca Darling, que le parjure est un crime......
— Hein ?
— Faite très attention aux vidéos avec lesquelles vous traitez !

Elle relâcha la jeune fille, et retourna à ses occupations. Dans son tourments, Francesca passa le reste de son temps dans les réflexions.

À la soirée venue, le groupe de Michel se retrouva pour poursuivre leur exposé..... bien évidemment, Raja et Francesca auraient toute deux l'honneur de se recroiser.

Lors de la période de travail, Raja et Francesca apportaient chacune des comportements différents, soit l'une évitait l'autre, soit l'autre provoquait sa camarade.

Par chance, les tensions n'arrivaient pas au niveau extrême, car un certain Miguel se trouvait dans les parages.

— Il suffit !

En ramenant Raja vers lui, Miguel évita au groupe un sérieux problème, sans compter que la jeune Raja ignorait particulièrement les dis du bien veillant chef de groupe.

Il n'est pas dit que l'harmonie régnait, mais l'exposé avança grandement. Les idées des uns, voguaient vers les autres. Et c'est durant cela, que Raja se rendit compte d'une chose bien particulière, chose dont elle garda pour elle.

Après deux bonnes heures de travail acharné, plus de 80% du devoir était terminé.

Le groupe se sépara à la sortie, Francesca alla à sa voiture, Nathalie elle avait une route différente des autres. Il ne restait plus que notre trio, Raja, Miguel et Michel.

L'atmosphère était assez tendue, cela faisait plus d'une semaine que Michel essayait d'avoir une discussion avec Raja depuis le jour de l'incident.

Dans cette hypothèse, Miguel commença doucement à se laisser distancer par ces deux amis, afin de les laisser discuter.

Pendant un moment, Michel n'arrêtait pas de regarder discrètement la jeune femme, ce qui attira assez vite.

— Tu veux bien arrête de me relooker comme ça !

Directement, il commença à sourire, comme si un soulagement l'avait touché.

— C'est de ta faute, souria t'il ; comment veux tu que je puisse m'en empêcher ? T'es tellement si belle et......

Parfois le regard a une telle influence, que l'on se porte à croire qu'il représente une forme de language. Par ce simple acte, Raja ne fît pas qu'interrompre Michel, il il réveilla la peur que ce dernier avait plutôt.

Ce regard..... pensait-il, elle m'en veux c'est sûre !
Ah..... fît la jeune femme en se retournant vers son ami ; Je l'admet t'es un mec pas très futé, mais tu es ce qui se rapproche d'un ami pour moi. Tu t'es trompé une fois, mais c'est humain.

À nouveau, un sourire de réconfort.

— Alors tu me pardonnes ?

Boum !

— J'ai vraiment le choix ? demanda t'elle en grimaçant un sourire ; si je ne le fait pas, tu risques de me coller encore plus.
— Chouette, s'écria t'il tout joyeux. Et crois moi, plus jamais je ne te ferai du tort.
— Humm......souria t'elle.

Un sourire assez lassant et d'une tristesse indescriptible.

— Tu es très important pour moi, déclara Raja. Tu m'as appris une chose nouvelle, une chose que je n'avais jamais connu.
— Ma petite Raja !
— Et donc...... dit-elle en lui prenant par la gou ; le problème pour moi, n'est pas de te pardonner, mais d'oublier, ajouta t'elle en versant une larme.

Puis elle s'écarta un instant et s'essuya rapidement la petite larme versé, afficha un sourire comme elle sait le faire et ajouta :

— Aujourd'hui, j'en suis vraiment sûr, nous sommes de bon ami et ça c'est suffisant pour une quelconque relation.

Une telle réponse, n'était pas forcément celle qu'attendait notre ami, à nouveau son sourire disparu.

— Ah, fit-il ; d'accord, si c'est ce que tu veux !

C'est dans cet atmosphère qu'ils continuèrent à marcher, jusqu'à ce que Miguel ne les rattrape.

Arrivé à la rue menant au lieu de service de Raja, Miguel eût un appel et fût obligé de laisser nos amis.

C'est toujours dans une atmosphère de calme et de silence, que nos amis arrivèrent devant le café où Raja travaillait.

Alors que Raja voulut entrer dans le café, Michel attrapa la main de la jeune fille. D'une pression légère, il la retourna avec délicatesse. Dans ces bras et la tête sur son épaule, la jeune fille était envahit d'un sentiment si puissant.

— Eh bien ma petite Raja......
C'est quoi ce sentiment ? Pourquoi mon.......
Juste des amis hein ? Bah moi j'suis pas d'accord !

La jeune fille était vraiment stressé, ses sentiments étaient tous émoustillés.

— Je te le dis, je te le dirais et ne je ne cesserai jamais de te le dire..... Raja Mephisto Ryad, moi Michel je t'aime, le simple fait de te voir me déstabilise......

Il leva la tête de la jeune fille vers le haut, affichant un sourire de passion à la jeune fille.

— Je suis fou de toi !

Gustave Thibon a écrit un jour : "L'amour commence par l'éblouissement d'une âme qui n'attendait rien et qui se clôt sur la déception d'un moi, qui exige tout".

— Peut-être......oui, peut-être que l'on a été en phase à un moment, déclara la jeune femme en s'écartant de Michel. Mais aujourd'hui, je suis désolée !
— Dis pas ça s'il te plaît !
— La déception ne vient jamais des autres, elle est juste le reflet de nos erreurs de jugement !

Sur ces mots, Raja pénétra dans le café, laissant un Michel dans un brouillard de chagrin.

À l'intérieur, dès que la jeune fille entra, elle explosa de pleurs. Pour réfuter tous ces sentiments envers celui pour qui son cœur bât, elle a été obligé de mettre des fixations sur ce qu'elle voudrait pour son bien.

Le lendemain, Michel qui a sa fâcheuse habitude d'être en retard, croisa étonnamment une certaine Raja. Dans les couloirs, le concierge faisait son nettoyage comme chaque matin dès huit heures, car c'est la période pendant laquelle les étudiants sont sensé faire cours.

Alors que Raja qui courait ses formats à la main, entra dans le couloir en cour de nettoyage, sur le sol glissant, la jeune fille fît une belle glissade. Dans l'optique d'une chute, elle vit la situation dans ses pensées.

Ses livres voltigeaient dans les airs, son sac pareil, sans compter qu'elle même allait faire une belle chute. Mais par chance, une main pour habilement rattraper le sac et tout les cahiers, l'autre pour s'agripper à la taille de la jeune fille.

— Alors ma petite Raja, on n'arrive en retard ?

Ses mots, se sourire, cette sensation si particulière, qu'elle ressentait à cet instant...... Oui les symptômes ne mentent pas !

— Hein ? fit-elle en se relevant, Michel !
— Allez, dit-il en la traînant par le bras ; nous sommes à la bourre !

Dans ce footing du matin, Raja avait le cœur qui s'emballait, non pas parce qu'elle courait énormément, mais parce que......

— Monsieur et madame, s'exclama Mme Aloïse. Le cours a commencé il y'a environ une bonne trentaine de minutes.

Après une sacré réprimande, les purent allez s'asseoir pour poursuivre le cours. Pendant le cours, Michel affichait une mine particulière. Aujourd'hui est exactement le 27 Novembre, pendant que le jeune homme paraissait tout triste, Raja le remarqua.

Son sourire avait temporairement disparus, sa joie de lire pareille, sa détermination même prise un coup.

À la fin du cours, son groupe d'exposer devait se retrouver à la bibliothèque. Les remarque des autres, les disputes de Francesca et Raja ou encore l'humour de Miguel, ne faisait plus vraiment effet.

— Hey chouchou, dit Francesca ; tu es malade ?
— Moi ? souriait il, t'inquiète !

Rapidement, il perdit à nouveau ce sourire qu'il venait d'afficher à Francesca pour la rassurer.

Puis soudainement, la bibliothécaire annonça au microphone que Michel était attendu dans le bureau de la rectrice.

— T'as encore fait quoi mon pote ?
— Fou lui la paix Miguel, s'énerva Francesca. Alors Mich.....

Il se leva sans rien dire et s'en alla, le groupe resta assez septique. Après quelques minutes de travail, ils se separèrent et chacun alla de son côté, abandonnant Raja toute seule avec l'exposé.

Par la fenêtre de la pièce, Raja vît Michel et la rectrice s'en aller ensemble. Mais la scène était assez particulière, car les deux se disputaient et cela paraissait assez émouvant.

Sans explication et ne sachant pas concrètement de quoi il s'agissait, la jeune femme ne prêta pas vraiment attention.

Elle poursuivit l'exposé et travailla jusqu'à oublier l'heure du cours suivant. Alors à nouveau, elle courut jusqu'à la salle de cours. Tout comme ce matin, elle fût encore victime d'un accident. Mais comme pour ce matin, elle fût rattraper par l'un de ces camarades.

Mais cette fois-ci, c'était assez compliqué. Alors qu'elle prenait le couloir, elle se cogna sur Miguel. Mais alors qu'elle allait tomber, le jeune homme la rattrapa avant de la ramener vers lui et là.......

— Oh, souria le garçon. Je suis vraiment désolée Raja.
On.... sais..... embrassé ?
Bon il y'a eût plus de peur que de mal, annonça t'il. Bon bah, on se voit en cours.....ok !

Directement, il repartit en courant, laissant la jeune fille complètement retourner.

Pendant le cours, elle n'arrêtait pas d'y penser, se caressant les lèvres avec les doigts. Elle n'y revenait pas, une action si banale et a se moment en particulier.

Pourquoi est-ce que...... Ahhhhh !

Dans la tête de la jeune fille, c'était devenue un véritable casse-tête. À la soirée venue, elle croisa Miguel, comme chaque soir il empruntait la route qui passe devant le café où Raja travail.

Alors qu'ils marchaient tous les deux, ils discutèrent de divers sujets, qui laissaient sortir quelques rires et blagues.

Puis la jeune fille fût un constat assez étonnant, ces sentiments n'étaient pas les mêmes. Comme si d'un garçon à un autre, elle réagissait différemment.

Michel m'a déclaré ses sentiments et son désir d'être en couple avec moi..... mais Miguel, lui m'a embrassé..... mais.....!

Elle était face à un dilemme assez plaisant, alors pour avoir quelques bruns de réponse, elle prise une grande décision.

Elle attrapa Miguel par le bras et l'attira dans un endroit assez reculer du campus. Après plus d'une heure de marche, ils arrivèrent devant l'empire state où ils montèrent jusqu'au toit. Même si la chose n'était pas aussi facile, car les réticences des grooms faisaient obstacles.

Après une sacré course avec le personnel, il arrivèrent sur le toit. Miguel s'écroula de fatigue, pareille pour Raja, avant qu'elle n'éclate de rire.

— Wow, s'écria Miguel. Je ne te savais pas aussi joueuse..... sérieux, le personnel dois être complètement dépassé, ajouta t'il en riant.
— C'est magnifique, dit-elle.

Il se retourna et admira cette vue magnifique de Manhattan en pleine nuit. C'est la un spectacle incroyable, d'une beauté sans égal.

Miguel sorti son portable et pris une photo surprise de Raja devant cette vue incroyable. Elle le vit au dernier moment et s'intrigua, puis il lui montra la photo.

— Pour une aussi belle vue, il faut une belle photo, dit-il. Mais sinon, un jolie visage, ne peut qu'être bénéfique pour ce genre de photo.

Raja mise sa main sur sa poitrine écoutant son rythme cardiaque. Rien à signaler ; l'émotion, l'instant, la sincérité et surtout ce sourire iconique.

Miguel vînt s'asseoir prêt d'elle et commença à parler d'un sujet complètement hors contexte. Mais la jeune fille n'était pas vraiment à son écoute. Elle baissa même le regard à un moment, et lorsqu'elle leva la tête, elle vit encore se sourire.

— Je suis vraiment content d'avoir passé ce moment avec toi, ma petite Raja, dit Miguel en souriant.

Oui elle s'en rappela, il a exactement ce sourire la, sans compter cette appellation, dont jusqu'à là, il était le seule à en faire usage.

Là à se moment où elle ne pensait plus qu'à lui, qu'il occupait ses pensées, son cœur s'accéléra instantanément.

— La terre appel Raja ! Alors on rentre ? demanda t'il la main tendue.

Lorsqu'elle attrapa sa main, elle retrouva ses esprits. Et a cet instant, elle mise à nouveau sa main sur sa poitrine et la son cœur battait à la chamaille.

Mais..... mais.....non pas lui aussi !

Ils descendirent assez rapidement, et réussirent à sortir de l'immeuble sans se faire prendre. Mais à l'arrêt de bus, une pluie torrentielle débuta. Alors ils se refugièrent, patientant la fin de l'averse.

Tout deux étaient assis sur un banc patientant le bus qui tardait à arriver. Complètement épuisée par cette journée, Miguel s'était endormi. Dans sa fatigue, il s'écroula sur Raja.

Au début celle ci passait son temps à le relever, mais après un moment elle le mit dans une meilleure position. La tête du jeune homme sur ses jambes, ainsi il pourrait éviter de ce faire mal.

Pendant cette attente, elle fût une seconde remarque. Bizarrement, cette situation ne la dérangeait absolument pas et en plus, son cœur avait retrouvé un rythme normal.

— Quelle situation assez étonnante, je ne suis même pas emballé......de mieux en mieux ! Ahhhhh, alors il n'y a vraiment que lui ? Quelle sacré désillusion....

Après un moment, le bus arriva. À ce même moment, Raja venait elle aussi de trouver le sommeil.

Le chauffeur leur fît signe à l'aide de son klaxon, ce fit sursauter nos deux amis.

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